Claude Lelouch

Bon, je suis grand amateur des fims de Lelouch, que je classe parmi les meilleurs cinéastes, n'en déplaise à une certaine intelligentsia. Mon jugement sur le livre est dès lors peut être faussé par cet a priori favorable. J'ai en tout cas dégusté chaque épisode, chaque page et, à la dernière, je n'avais qu'un seul regret : qu'il n'y en ait pas de nombreuses autres. Dans un langage sobre et direct (le livre est constitué de conversations avec deux journalistes), qui a un inimitable ton de vérité, on est plongé dans le monde du cinéma de Lelouch. Les anecdotes sont parfois drôles, parfois surprenantes, mais toujours intéressantes. On découvre aussi cette formidable faculté de traverser des difficultés et de résilience, animée par sa passion du 7e art.

La dernière page tournée, on n'a qu'une envie : revoir et revoir encore les réalisations de l'homme aux 13 vies.

Olivier Assayas, Youssef Chahine, Patrice Chéreau, Michel Deville, Karim Dridi, Bruno Dumont, Claude Lelouch, Daniel Mesguich nous racontent leurs manières de travailler avec les acteurs, la différence entre jouer au théâtre et pour la caméra. S'ils nous donnent chacun une approche personnelle, ils s'accordent sur plusieurs points, comme pour dire qu'il y a "direction" en l'absence des acteurs, à la table de montage. Serge Regourd évoque les incidences du financement des films sur le casting, en France, aujourd'hui. Il dénonce la fausse valeur des acteurs "bankables". Yves Afonso, Michel Archimbaud, N T Binh, Jean Mottet, Jacqueline Nacache et Luis Rego participent également au volume, apportant leurs réflexions et leurs expériences autour de la direction d'acteur.

Ce livre retrace l’histoire de trois générations, unies par l'amour de la musique et de la danse, d'avant-guerre aux années 1980, dans quatre pays : France, Allemagne, Russie, États-Unis. Les quatre histoires se rejoignent à Paris. Comme beaucoup de gens , j'ai découvert ce film en salle avant d'acheter le livre. Sans doute un des meilleurs Lelouch. L'émotion est au rendez-vous, avec de bonnes idées. Personnellement, j'ai préféré le film au livre. Lelouch est réalisateur avant d'être écrivain et, on le sait, il aime leur accorder une part d'improvisation dans les dialogues. Comme souvent, ses histoires sont bouleversantes.

Lorsque Lelouch fait du cinéma, c'est du cinéma de Lelouch. Lorsque Lelouch se fait scénariste de BD, c'est du cinéma de Lelouch. Au premier coups d'oeil, on devine qui est derrière cette histoire, une histoire de vie.

Alors quand, comme moi, on aime le cinéma de Claude Lelouch, on entre dans cette bande dessinée.

L'histoire, en deux tomes est simple. Deux personnages principaux. L'une, Sarah qui donne son prénom au titre au tome 1, est une femme qui a tout, beauté, argent, avenir tout tracé mais qui rejette tout cela en bloc et n'a qu'un désir : être dans la classe moyenne. L'autre, c'est le parfait contraire de Sarah, il rêve de réussite, d'argent, de puissance. Pour y réussir il commencera par voler des disques pour les revendre. Et c'est en prison qu'il va rencontrer celui qui va l'aider a franchir de nouvelles étapes dont la production et le tournage de films pornographiques. Dès lors, les séjours en prison vont se succeder. Il dira d'ailleurs "La prison m'a tout appris".

Voila, deux albums qui retracent "toute une vie"

Honnêtement, il faut aimer le cinéma de Claude Lelouch sinon c'est foutu.

Intéressant pour son écriture franche et directe et qui permet de dé-couvrir l'univers de la mise en scène.

Lorsque Lelouch fait du cinéma, c'est du cinéma de Lelouch. Lorsque Lelouch se fait scénariste de BD, c'est du cinéma de Lelouch. Au premier coups d'oeil, on devine qui est derrière cette histoire, une histoire de vie.

Alors quand, comme moi, on aime le cinéma de Claude Lelouch, on entre dans cette bande dessinée.

L'histoire, en deux tomes est simple. Deux personnages principaux. L'une, Sarah qui donne son prénom au titre au tome 1, est une femme qui a tout, beauté, argent, avenir tout tracé mais qui rejette tout cela en bloc et n'a qu'un désir : être dans la classe moyenne. L'autre, c'est le parfait contraire de Sarah, il rêve de réussite, d'argent, de puissance. Pour y réussir il commencera par voler des disques pour les revendre. Et c'est en prison qu'il va rencontrer celui qui va l'aider a franchir de nouvelles étapes dont la production et le tournage de films pornographiques. Dès lors, les séjours en prison vont se succeder. Il dira d'ailleurs "La prison m'a tout appris".

Voila, deux albums qui retracent "toute une vie"

Honnêtement, il faut aimer le cinéma de Claude Lelouch sinon c'est foutu.