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Citations de Cyril Massarotto (488)


Je crois que tous les somnifères que l'on avale lorsqu'on est adulte, ce sont toutes les berceuses que l'on ne nous a pas chantées quand on était enfant.
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Je pose ma main sur la sienne, et nos doigts s’entrelacent immédiatement. Ce qui nous arrive est tellement fort et tellement inattendu que l’on fait comme si de rien n’était, on ne regarde pas nos mains qui, en une fraction de seconde, viennent de nous faire basculer dans autre chose. Une nouvelle réalité vient de naître, là, entre nos doigts liés…

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Un fou, c’est peut-être simplement quelqu’un qui sait une chose que les autres ignorent.
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Je t’aime. Si ces trois mots n’existaient pas, la moitié des films et les trois quarts des livres n’existeraient pas non plus.
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Certains décident d’acheter un livre après en avoir entendu une bonne critique, ou du moins, une critique qui donne envie (de plus en plus souvent, l’un n’implique pas l’autre) ; d’autres sont convaincus par le texte de quatrième de couverture, qu’ils jugent efficace ou bien écrit – ce qui au fond est aberrant car tout le monde sait que ce n’est pas l’auteur qui écrit ce texte mais l’éditeur, acheter un roman pour sa quatrième équivaut à épouser un homme parce que son patron vous en dit du bien.
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Acheter un livre estampillé Mercure de France dans une petite échoppe indépendante est aujourd’hui vu comme un acte de résistance culturelle, voire de résistance tout court. Mais pour vivre il faut écouler du Michel Bussi, alors on les empile par dizaines dans un coin près de l’entrée, à droite, sur un petit tréteau où ils côtoieront Marc Lévy et Virginie Grimaldi ; coin où les habitués ne vont jamais, de peur d’être contaminés par la médiocrité au pire, d’être surpris là par un autre habitué–le syndrome de la sortie du sex-shop.
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Pleurer de rire après un enterrement, c’est remettre un peu de chaleur dans ses yeux ; ensuite on peut repartir, et marcher droit devant sans cette buée qui nous empêchait de bien voir.
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L'enfant que j'étais n'aime pas l'adulte que je suis devenu. Y a-t-il pire chose qui puisse arriver, dans la vie ?
A trop me laisser porter par le cours des choses, à trop laisser la vie choisir à ma place, j'ai abandonné mes rêves : j'ai trahi mon âme d'enfance.
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Si lorsque naissent les sentiments, certains ont le rose qui monte aux joues, moi j'ai le noir qui monte au coeur. Noir de questions et noir de peur.
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Il y a des questions auxquelles on ne peut pas répondre. Et tu sais pourquoi? Parce qu’il ne faut tout simplement pas se les poser, dans la mesure où elles n’ont aucun sens. C’est la même chose pour toi. Tu trouves étrange d’être heureux de ce que tu as, de ne pas vouloir plus, et tu te demandes si c’est normal? Est-ce que tu te rends compte du saugrenu de ta réflexion? Ce que je veux te faire comprendre, c’est qu’il faut juste vivre, prendre les choses comme elles viennent. Le bonheur n’est pas un projet. Sois-en bien conscient. Vis, et ne t’encombre pas l’esprit de questions inutiles
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Le bonheur est un cadeau et, comme tout cadeau, il n’existe que s’il est offert à quelqu’un.
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Si j’étais l’attachée de presse d’Amélie Nothomb, par exemple, je lui demanderais de cesser de s’exprimer sur le sujet du labeur – ou de mentir, comme font les autres : elle claironne en effet à longueur d’interview qu’elle se lève à quatre heures du matin pour écrire, chaque jour que Dieu fait, pour y passer le plus clair de sa journée ; et dans le même temps elle se targue d’écrire trois romans par an, pour au final n’en publier qu’un. D’abord, on lui conseillerait de réécrire trois fois le même livre et de n’en garder que la meilleure version, le travail servirait à quelque chose ; car en l’état on s’imagine que les deux livres qu’elle met de côté sont a minima moins bons que celui qui sort, ou par raccourci, juste mauvais. Ensuite, l’on se demande où sont les milliers d’heures d’écriture quand on voit la brièveté extrême de ses romans qui ressemblent parfois à de longues nouvelles, et l’on finit par se demander : tout ça pour ça ? Et en cherchant à répondre à cette question, l’on finit mécaniquement par en arriver à celle du talent ; alors il est déjà trop tard.
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Pour emporter de grands souvenirs, il ne faut pas regarder en arrière.
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C'est étrange comme un coeur peut s'arrêter de battre,mais nous garder vivants encore.
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Profite de l'instant. Calme toi un peu, oublie ta colère contre moi. Et prends le temps d'admirer ce qui s'offre à ton regard.
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Un parent qui nous aime, c’est comme un sourire attendri qui plane au-dessus de nos têtes : quand on va mal, il suffit de lever les yeux pour être réchauffé à l’intérieur.
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Disons qu'aimer, c'est vouloir être avec quelqu'un le plus souvent possible, partager des choses avec cette personne, des rires, des conversations, de la tendresse, des petits riens ; surtout, c'est vouloir que cette personne soit heureuse, qu'il ne lui arrive rien de mal, jamais.
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Cyril Massarotto
Tu trouves étrange d’être heureux de ce que tu as , de ne pas vouloir plus , et tu te demandes si c’est normal? Est-ce que tu te rends compte du saugrenu de ta réflexion? Ce que je veux te faire comprendre, c’est qu’il faut juste vivre, prendre les choses comme elles viennent.
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Il faut juste vivre, prendre les choses comme elles viennent. Le bonheur n'est pas un projet. Sois-en conscient. Vis, et ne t'encombre pas l'esprit de questions inutiles.
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Elle est dans la galaxie lointaine des médecins, des avocats, des chefs d'entreprises... Un monde où les femmes ne se "font" pas belles, elles "sont" belles, un monde où elles n'ont pas mis ce soir "leur" belle robe, mais "une" belle robe, qu'elles portent bien, sans se sentir déguisées ni à moitié nues. Mais comment font ces femmes ? (...) Il y a des écoles pour ça ?
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