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Citations de D.H. Lawrence (599)


D.H. Lawrence
Je n'arrive pas à décider si mes rêves sont le résultat de mes pensées ou si mes pensées sont le résultat de mes rêves.
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D.H. Lawrence
Toujours se fier à l’histoire, jamais à celui qui la raconte.
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Le ciel est tombé; il faut vivre malgré tout.
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[...] on ne peut pas vivre sans argent. On a besoin d'en avoir suffisamment pour vivre et pour s'en tirer... même pour être libre de penser, il faut en avoir assez, sinon ton ventre te l'interdit.
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D.H. Lawrence
Oui, même si l'humanité est détruite, si notre race est anéantie comme Sodome, il suffit qu'il y ait ce beau soir sur la terre et les arbres illuminés...
Ce qui l'anime est tout entier ici et ne peut jamais se perdre. Après tout, qu'est-ce que l'humanité sinon une expansion de l'incompréhensible ?

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Elles vivaient librement parmi les étudiants, elles discutaient philosophie, sociologie et art avec les hommes ; elles valaient bien les hommes ; elles valaient plus qu'eux puisqu'elles étaient femmes.
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D.H. Lawrence
La vie n'est acceptable que si l'esprit et le corps vivent en bonne intelligence, s'il y a un naturel équilibre entre eux, et s'ils éprouvent un respect naturel l'un pour l'autre.
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Je ne vois pas en quoi je fais plus de mal à une femme en couchant avec elle qu'en dansant avec elle, ou même en lui parlant de la pluie et du beau temps. C'est simplement un échange de sensations au lieu d'un échange d'idées. Alors, pourquoi pas?
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D.H. Lawrence
Les hommes modernes s'ennuient parce qu'ils n'éprouvent rien. Et ils n'éprouvent rien parce que l'émerveillement les a quittés. Et quand l'émerveillement quitre un homme, cet homme est mort. Il n'est plus alors qu'un insecte.
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D.H. Lawrence
Très loin, au plus profond du secret de notre âme, un cheval caracole... un cheval, le cheval ! Symbole de la force déferlante, de la puissance du mouvement, de l’action.
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Il n'y avait qu'une seule classe de nos jours: les gens d'argent. On ne différait que par la quantité d'argent qu'on avait ou dont on avait besoin.
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Quels menteurs, les poètes, et tous les autres ! Ils vous font croire qu'on a besoin de sentiment, quand, au contraire, ce dont on a suprêmement besoin, c'est de cette sensualité perçante, consumante, peut-être horrible.
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— Vous non plus, vous n'aimez pas les hommes. Et vous ne pouvez pas savoir : rien que penser à eux m'épuise. Vous dites qu'ils sont trop animaux. Mais ce n'est pas vrai, mère ! L'animal qui était en eux s'est perverti, humilié ; il est devenu servile, domestique, comme un chien. Je ne connais pas un homme qui ait la fierté d'un animal. À croire qu'ils ont cessé de penser. C'est ce qui arrive quand la dernière petite parcelle d'animalité sauvage meurt en eux.
— Mais nous avons un esprit…
— Nous n'avons plus d'esprit une fois que nous sommes apprivoisés, mère. Les hommes sont tous des femmes et ne font que tricoter des mots.
— Je ne peux pas être d'accord, vous le savez très bien, Louise.
— Oui, bien sûr, vous aimez les hommes intelligents. Mais le plus souvent, les hommes intelligents sont des animaux si déplaisants ! Chez des hommes comme Rico, l'animal s'est abîmé, dénaturé. Et chez ces jeunes gens élégants que vous aimiez tant pendant la guerre, il n'y a plus rien de l'animal sauvage. Ce sont tous des chiens dressés, même lorsqu'ils ont du courage et de la classe. Des chiens dressés par des maîtres humains. Il n'y a plus aucun mystère en eux.
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D.H. Lawrence
C'est très beau, le vent, les nuages, la mer déferlante qui explose sur l'île d'en face en s'épanouissant comme une fleur.
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Elle avait épousé Clifford Chatterley en 1917, pendant une permission d'un mois qu'il avait passée en Angleterre. Ils avaient eu un mois de lune de miel, après quoi il était reparti pour le front des Flandres. Et six mois plus tard, il était ramené en Angleterre plus ou moins en morceaux. (...) Il avait une merveilleuse emprise sur la vie.Il ne mourut pas; ses débris semblèrent se rejoindre. Il resta deux ans entre les mains des médecins. Puis on le déclara guéri, et on le renvoya à la vie avec la moitié inférieure de son corps, à partir des hanches, paralysées pour toujours.
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Elle n'avait ni la richesse ni le rang pour être princesse, aussi désirait-elle ardemment acquérir l'instruction, pour s'en faire une gloire. Car elle était différente des autres, et ne devait pas être mise dans le même filet que le menu fretin. Le savoir était la seule distinction à laquelle elle pouvait prétendre.
Sa beauté, qui était celle d'un être sauvage, timide, frémissant de sensibilité, ne comptait pour rien à ses yeux. Son âme même, aux imaginations si puissantes, ne lui suffisait pas. Il lui fallait quelque chose qui renforçât son orgueil, parce qu'elle se sentait différente des autres. Elles regardait Paul avec un vague désir. En général, elle méprisait les hommes. Mais c'était là un nouvel échantillon vif, léger, gracieux ; il pouvait être doux, ou triste ; il était intelligent, savait des tas de choses, et la mort avait visité sa famille. Elle portait le jeune garçon aux nues, à cause de son pauvre petit bagage de science. Cependant elle essayait de le mépriser, parce qu'il ne saurait pas deviner la princesse sous la gardeuse de cochons. D'ailleurs, il faisait à peine attention à elle.
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“I can't see I do a woman any more harm by sleeping with her than by dancing with her...or even talking to her about the weather. It's just an interchange of sensations instead of ideas, so why not?”
(Je ne vois pas que je fais plus de mal à une femme en couchant avec elle qu'en dansant avec elle... ou même en lui parlant du temps qu'il fait. C'est juste un échange de sensations au lieu d'idées, alors pourquoi pas ?)
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C'est la manière dont notre sympathie se répand, ou se retire, qui, réellement, détermine nos vies. Et de là l'immense importance du roman, s'il est bien employé. Il peut canaliser le flot de notre sympathie vers de nouveaux endroits et le retirer des choses devenues caduques. Ainsi le roman, bien employé, peut révéler les endroits les plus secrets de la vie.
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D.H. Lawrence
On perd ses maladies dans les livres - on y reproduit et revit ses émotions, pour en être les maîtres.
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- Tous les hommes sont des bébés, quand on va au fond d’eux-mêmes. J’ai soigné les plus terribles durs à cuire qui soient jamais descendus dans la mine de Tavershall. Mais que quelque chose n’aille pas, qu’ils aient besoin de vos soins, et ils deviennent des bébés, rien que de grands bébés. Oh ! tous les hommes sont les mêmes !
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