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3.97/5 (sur 295 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) : 1960
Biographie :

Auteur de 12 romans d'espionnage à succès. Daniel Silva a débuté comme journaliste en 1984 à United Press International. Il a travaillé à Washington puis au Caire comme correspondant pour le Moyen-Orient. Il a couvert la guerre Iran-Irak, et le problème du terrorisme. Il a ensuite été engagé à CNN comme producteur. Il a écrit son premier roman en 1994, The Unlikely Spy, devenu un best-seller. En 1997, il a décidé d'écrire à plein temps. Ses héros sont Michael Osbourne pour deux livres et Gabriel Allon pour dix livres.

Classé n°1 sur les prestigieuses listes de best-sellers du New York Times, Daniel Silva a reçu de multiples récompenses internationales pour ses dix-sept romans publiés avec succès dans plus de trente pays. L’Espion anglais fait suite àL’Affaire Caravaggio, L’Espion qui n’existait pas, La Marque de l’assassin, L’Assassin anglais, Le Confesseur et Le Messager. Daniel Silva est membre du Conseil d’administration du Mémorial américain de l’Holocauste, et vit en Floride avec sa femme, Jamie Gangel, et leurs deux enfants, Lily et Nicholas.
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Voilà quelques années, je vous ai fait découvrir Gabriel Allon, espion du Mossad créé par Daniel Silva en 2000 Avec 19 aventures à ce jour, Silva est sans conteste le maître du genre. En 2005, paraissait le Confesseur, dont j'ai rapidement épuisé le tirage…… Le 15 juin, sortira le sixième roman traduit aux éditions HarperCollins France, L'IMPOSSIBLE ALLIANCE, directement en format poche LE roman d'espionnage de cet été. Addiction et insolation assurées. Silva est tellement proche de l'actualité, qu'en plus du suspens assuré, on traverse le Brexit, les Gilets jaunes, l'assassinat d'un journaliste en Arabie saoudite, …… Je vous souhaite autant de plaisir que j'en ai eu en lisant les épreuves de ce roman époustouflant….

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Citations et extraits (60) Voir plus Ajouter une citation
Cela parait difficile à imaginer mais il fut un temps où les êtres humains ne ressentaient pas le besoin de partager chacun de leurs moments avec des centaines de millions, voire des milliards, de parfaits inconnus. Quand on allait au centre commercial acheter des vêtements, on n’informait pas sur un réseau social ses congénères, minute par minute, des moindres détails de l’escapade. Et quand on se ridiculisait dans un fête trop arrosée, on se gardait bien de la laisser dans un album numérique en ligne, et pour l’éternité une preuve photographique de ce regrettable écart de conduite. Mais de nos jours, en cette époque nouvelle d’impudeur, de confusion et d’immédiateté, il semble qu’aucun détail de nos vies ne soit trop banal ou trop humiliant pour être livré à la publicité et partagé avec la planète tout entière. A l’ère numérique, il importe d’avantage de paraître, même en toute indignité, que de vivre dignement. On attache moins d’importance nos vrais amis en chair et en os qu’à nos « amis » et autre followers désincarnés sur internet, car ceux-ci entretiennent l’illusion de la célébrité, voire de l’immortalité. Si Descartes vivait de nos jours, il aurait pu écrire : « Je tweete donc je suis."
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- Vous êtes historien. Que connaissez vous de Sun Tzu ?
- Quatrième siècle avant Jésus-Christ. La Chine de cette époque n'est pas mon domaine, mais je l'ai lu.
- Vous savez ce qu'il a écrit à propos de la ruse militaire ?
- Que toute guerre est fondée sur l'art de tromper. Il prétendait que toute bataille est gagnée ou perdue avant même d'avoir été livrée. Sa méthode est simple : attaquer l'ennemi là où il est désarmé et surgir là où il ne s'y attend pas. Il disait qu'il était capital de miner l'ennemi, de le corrompre et de le circonvenir, de semer la discorde parmi ses chefs et de le détruire de l'intérieur sans le combattre.
- Excellent, Alfred ! s'exclama Boothby, visiblement impressionné. Malheureusement, nous ne pouvons espérer détruire Hitler sans le combattre. Mais pour avoir une chance de le vaincre au combat, nous devons d'abord le tromper. En un mot, suivre le sage conseil de Sun Tzu. Surgir là où on ne nous attend pas.
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- Tu ne me donne pas de conseil?
- C'est fini, les conseils, mon fils. Il m'arrive ce qui peut arriver de pire à un homme: je suis vieux et j'ai fait mon temps. Je suis un simple spectateur... je n'ai plus mon mot à dire.
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C'est vrai que beaucoup d'entre elles sont éduquées, beaucoup plus que les garçons qui rejoignent Daech. Comme il leur est interdit de combattre sur le champ de bataille, elles assument des fonctions de soutien, et leur rôle est important. Ce sont surtout les femmes qui sont en train de bâtir le califat. La plupart vont se marier à un combattant - qui a toutes ses chances de devenir rapidement un martyr ... Une femme sur quatre devient une veuve noire. Endoctrinée, amère, vindicative. Il suffit alors d'un bon recruteur pour les transformer en bombes à retardement...
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(...) ce qui mérite vraiment d’être accompli n’est jamais facile à entreprendre.
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Chaque année, des milliers de tableaux et d'autres objets d'art étaient volés ou soustraits dans des musées, des galeries, des institutions publiques ou des domiciles privés. Leur valeur totale estimée atteignait à peu près six milliards de dollars, ce qui faisait de cette branche de la criminalité la quatrième activité illégale dans le monde, précédée seulement par les trafics de drogue, le blanchiment d'argent et le trafic d'armes.
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Les services de renseignement des différents pays ne coopèrent pas pour le plaisir. Comme les couples divorcés, parents de jeunes enfants, ils trouvent parfois nécessaire d’œuvrer main dans la main pour le bien commun. Les vieilles rivalités ne s’évanouissent pas en une nuit. Elles sommeillent et affleurent, comme les blessures de l’infidélité, les anniversaires oubliés et les frustrations émotionnelles. La difficulté, pour deux services menant des missions conjointes, réside dans la création d’une zone de confiance — une chambre particulière, où il n’y a plus de secrets. En dehors de cette chambre commune, ils sont libres de veiller comme bon leur semble à leurs propres intérêts.
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Le Proche-Orient avait souvent cet effet sur les êtres humains. Il transformait l'espoir en découragement et les idéalistes en arrivistes manipulateurs.
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- Je vais vous confier un autre petit secret, Nathalie. Aucun de nous ne savait en quoi consistait ce métier avant de le pratiquer. Il n'existe pas de diplôme d'espionnage qui mène à la carrière d'officier de renseignement, ni même de profil particulier. Il faut être intelligent et imaginatif, avoir certains talents et certains traits de caractère... Le reste, on l'apprend sur le tas.
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Le boulevard du Roi-Saül, c’était l’adresse du siège des services secrets israéliens à Tel-Aviv. Leur nom officiel, long et trompeur, n’avait pas grand-chose à voir avec la nature exacte de leurs activités. Ceux qui y travaillaient l’appelaient entre eux le « Bureau » tout court. Comme Julian Isherwood. Il n’était pas directement employé par le Bureau, mais il était membre des sayanim, un réseau mondial d’agents dormants et bénévoles. C’est dans leurs rangs que se trouvaient les banquiers qui procuraient aux agents du Bureau de l’argent liquide quand ils en avaient un besoin urgent ; les médecins qui les soignaient secrètement quand ils étaient blessés ; les hôteliers qui les hébergeaient sous des noms d’emprunt ; les loueurs de voitures qui leur fournissaient des véhicules intraçables… Isherwood avait été recruté dans les années 1970, pendant une vague d’attentats terroristes palestiniens qui visaient des cibles israéliennes en Europe. On lui avait alors attribué une seule et unique mission : contribuer à assurer une couverture opérationnelle à un jeune restaurateur d’œuvres d’art nommé Gabriel Allon, par ailleurs tueur aux ordres de l’État hébreu.
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