Citations de Darwyn Cooke (29)
Le temps passe et on ne peut décrypter les mystères de l’univers, mais ça, il faut l’accepter et tirer sa force des vérités que l’on détient.
Avec de la sagesse, si on accepte en toute humilité cette impasse, on peut même trouver un bonheur au long cours.
-Et qu'est-ce que tu feras de ta vie ?
-Eh bien...je...euh...je voudrais être gardienne de zoo, ou véto.
-Oh, ma chérie. Si je t'enseigne tout ça, ce n'est pas pour que tu passes ta vie le poing fourré dans le cul d'un chien.
- Sauf votre respect, monsieur, je vous emmerde.
- On est sur la même putain longueur d’onde.
-Dis donc, c'est chouette, ici.
-C'est vrai, tu n'es jamais venue. En dehors de l'école, on ne te voit jamais.
-Eh oui. Ma mère m'a mise sur la liste des espèces en voie de disparition.
Quand on découvre ce monde, on n’a qu’un point de vue étroit.
Avec de la chance, on s’y sent aimé, protégé.
En grandissant, la vision s’élargit et il faut se battre pour y trouver sa place.
Avec de la force, on apprend à y survivre.
- Ça peut pas être un méchant, il est végétarien quoi !
- Hitler était végétarien !
La vérité ?
Putain, tu es drôle, Mason.
La vérité ?
Ça n’existe pas, la vérité. Il y a les vérités.
[Le Comédien]
On raconte toujours que Byron était le maillon faible. Celui qui a craqué.
Je vois ça autrement.
Byron Lewis avait le courage de dix hommes. Ensuite, il a craqué.
Les gens sont étonnamment capables de faire face aux folies de la vie.
Ça s’appelle le déni. Ça peut vous mener loin, pourvu que les horreurs de la vie restent cantonnées dans les pages des journaux.
J’ai appris tout ça en écoutant la sagesse d’une femme dénommée Gretchen.
Par exemple : « Les Nazis ont tué six millions de juifs ». C’est grave. Monstrueux. Mais mentalement on peut l’entendre.
Mais : « Ils ont arraché mes enfants des bras de mon épouse morte, et les ont tirés, hurlants, jusqu’aux fours ».
Ou : « Ils l’ont violée devant nous, puis ont jeté son corps dans une fosse pleine de cadavres puants, où elle a agonisé jusqu’à la mort ». Vous voyez ce que je veux dire ?
Ce sont les petites horreurs intimes de la vie… On les retrouve en tout temps, en tout lieu… Nul n’est à l’abri… Elles grouillent sous la surface du symbolique. Ce sont ses mots, pas les miens.
Combien une personne peut-elle encaisser de ces horribles petites vérités, avant de vouloir se terrer dans un trou ?
Il y a toutes ces histoires scabreuses dans les feuilles à scandale et tous ces sous-entendus qui font appel aux bas instincts des gens.
Aux yeux du monde, on vous réduit à une blague humiliante et on vous met de côté pour les occasions où il faut rire en société.
Ne prenez pas ma gentillesse pour une faiblesse, je suis aimable avec tout le monde, mais lorsque quelqu'un ne l'est pas avec moi, "faible" n'est pas le mot dont vous vous souviendrez à propos de moi.
Le Spectre Soyeux : John, je t'en prie, tu dois tout faire pour empêcher ça. Tout le monde va mourir. Docteur Manhattan : Et l'univers ne se rendra compte de rien.
Ton monde n'est pas fait pour moi, je peux être gentille… très gentille, mais je peux aussi être méchante… oh oui très méchante.
Ursula disait que le problème, avec les hommes, c’est qu’ils croient que les gens fonctionnent comme les voitures. Que si on trouve ce qui ne va pas, on peut le réparer.
Cet automne-là, New York était plein de gens qui avaient fui l’Europe pour la sécurité et les promesses de l’Amérique. Hitler avait entamé une guerre mondiale, mais vue d’ici elle aurait tout aussi bien pu se dérouler sur la lune.
Par malheur, mon fils, la vie n'est pas juste, dit mon père en caressant mes doux cheveux.
Ce qui compte c'est de s'en sortir.
Chaque fois que nous l'attrapons et le laissons vivre, il s'échappe et tue à nouveau. Toutes ces horreurs, ces tragédies, au nom de ton "code d'honneur". Ou serait-ce parce que le grand Batman a besoin de sa Némésis pour sentir complet ? Quoiqu'il en soit, nous ne pouvons y échapper : il nous faudra bien un jour tuer cet assassin.
Parker n'avait pas d'armes sur lui, à part ses mains. C'était des mains énormes, comme le reste.
Au bout du compte, la guerre s’était achevée sur une horreur si absolue que le monde tout entier avait baissé les bras.
À l’époque, peu d’Américains ont vraiment réfléchi aux conséquences d’avoir libéré une force destructrice aussi horrible.
Nous étions trop occupés à faire la fête.
Un homme qui met un tel fardeau sur une femme à qui il tient ... Pour moi, ce n'est pas un homme.