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3.8/5 (sur 5 notes)

Nationalité : Canada
Biographie :

Charles-Philippe David est professeur de sciences politiques, directeur de l’Observatoire sur les États-Unis, et titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques à l’Université du Québec à Montréal. Il a été membre élu de l’Académie des lettres et des sciences de la Société Royale du Canada en 2001 et récipiendaire du prix Jean Finot de l’Institut de France en 2003. Il fut boursier Fulbright à deux reprises, d’abord à l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) en 1991-1992, puis à l’université Duke en 2002-2003. Il a également été chercheur invité à l’Institut du Canada au Woodrow Wilson international Center for Scholars à l’hiver 2003. De 1985 à 1995, il a été professeur d’études stratégiques à l’ancien Collège militaire royal de Saint-Jean sur Richelieu. Il a été professeur invité aux universités Laval, de Montréal, à Duke et à UCLA, de même qu’à Paris 2, Lyon 3, Grenoble et Nice. Il est détenteur d’un doctorat en science politique de l’Université Princeton.
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Source : PUF
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
La décision de groupe n'est pas toujours mauvaise. Il est d'ailleurs rare qu'un décideur prenne seul une décision, surtout en circonstance de crise. Le décideur recherche habituellement d'autres avis et il existe, un politique étrangère, des "cellules" de planification et d'expertise pour l'aider à concevoir des solutions à la crise.
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George Bush a utilisé durant son mandat (1989-1992) la très grande expérience qu'il a acquise durant ses années passées au gouvernement, surtout en tant que directeur des services de renseignements sous Ford et à titre de vice-président sous Reagan. Cette expérience lui a permis de s'entourer d'une équipe de conseillers experts et chevronnés, se moulant très bien à son style décisionnel. Le résultat fut un processus de prise de décision assez remarquable, où les conflits de personnalités furent rare et où la mécanisme du CNS fonctionnait rondement.
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L'espionnage interne deviendra même chose courante dans les activités du CNS, Nixon se fiant par exemple à Alexander Haig (l'adjoint du conseiller pour la sécurité nationale) pour surveiller Kissinger, tandis que celui-ci utilisera les tables d'écoute téléphonique du FBI pour s'assurer de la loyauté de certains membres de son personnel et que le président du comité des chefs d'État-major placera une taupe au sein de l'organisation du CNS pour découvrir les intentions réelles du conseiller pour la sécurité nationale...
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Par exemple, dans les crises de Cuba ou du Viêt-nam, les positions des conseillers ne reflètaient pas nécessairement celles de leurs organisations. Souvent, en fait, les militaires étaient davantage hostiles à l'idée d'utiliser la force armée, que certaines de leurs collègues civils (secrétaires d'État ou de la Défense).
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Parce que les proches du président sont souvent choisis en fonction de leur loyauté et non de leur expertise, le président doit recevoir l'aide de la bureaucratie et mettre sur pied un système consultatif qui l'assiste dans la réalisation de ses objectifs.
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