Merci pour tes dessins.
Ils sont naïfs, approximatifs, inaboutis.
Mais je les aime pour la puissance de leur promesse.
Je les aime car j’ai entendu ta voix en les regardant.
J’ai ressenti une forme de perte et une incertitude aussi.
Peut-être même l’esquisse d’une folie.
Une folie douce et docile, sage et polie, mais réelle.