Le premier coup de fouet arrache la peau. Le cinquième déchire les muscles, et les os sont dénudés avant d’arriver à dix. Après quinze coups, des hommes meurent et personne n’a survécu au-delà de cinquante.
C’est un fait.
[...]
Griller dans la cage n’est pas une mort agréable. Je viens déjà de prendre quinze aperçus d’une autre mort bien pire. Je suis nu, attaché à un poteau, et la chair de mon dos se décolle comme du papier mouillé.