Quand Alice avait eu sa deuxième grave crise de neurasthénie, vers la fin des années 70, et demandé à leur père si elle avait tort de songer au suicide, le vieil homme répondit sereinement qu'il ne voyait aucune objection à ce qu'elle mît fin à ses jours, pourvu qu'elle le fît "d'une manière assez douce pour ne point horrifier ses amis"