Il ne revint pas, il ne revint pas et il ne revint pas. [...] Au travail, je dupais tout le monde. C'était stupéfiant. En apparence, je ressemblais à moi-même, et je m'exprimais comme elle. Je mangeais ce qu'elle mangeait. Je portais ses affaires, même si je n'en aimais pas certaines. Je mettais même son maquillage. Mais à l'intérieur, je pataugeais. Pas facile dans ces conditions d'utiliser mon ordinateur et de répondre au téléphone, mais je me débrouillais. Je ne savais pas combien de temps je pourrais continuer comme ça. (p.171)
comme si la partie de mon cerveau qui connaissait les décisions bénéfiques pour moi était en désaccord avec la partie de mon coeur qui le connaissait, lui