Nationalité : France
Né(e) à : Pau , le 01/04/1926
Mort(e) à : Anglet , le 06/12/2019
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Né(e) à : Pau , le 01/04/1926
Mort(e) à : Anglet , le 06/12/2019
Biographie :
Denis Lalanne est un journaliste sportif français spécialisé dans le rugby à XV.
Il passe l’essentiel de sa carrière au quotidien L’Équipe et, avec le fameux “ Le Grand Combat du Quinze de France”, publié en 1958, il ouvre la voie à une abondante production de livres de sport.
Il signera par la suite une quinzaine d’ouvrages, dont "La peau des Springboks", "Le temps des Boni", "Rue du Bac. Salut aux années Blondin", également deux romans, "La guerre à l’envers" et "Un long dimanche à la campagne".
Dans "Rue du Bac", il parle de son amitié et admiration pour son collègue écrivain et journaliste de l’Équipe, Antoine Blondin. On y retrouve les héros de la geste Blondinesque: les Boniface, Roger Nimier, Albert Vidalie et tant d'autres que l'on ne soupçonnait pas ou tout simplement ne connaissait pas.
Il invente en 2011, avec Jean Cormier, le Festival Singe-Germain. Un festival de rue, sportif, festif et culturel, en plein Saint Germain des Prés et qui rend hommage à Antoine Blondin.
Denis Lalanne tient toujours une chronique hebdomadaire à Midi olympique, sur l'actualité et le jeu.
Il a obtenu le Prix Henri-Desgrange, le Prix Antoine-Blondin, le Prix Georges-Brassens et autres distinctions.
+ Voir plusDenis Lalanne est un journaliste sportif français spécialisé dans le rugby à XV.
Il passe l’essentiel de sa carrière au quotidien L’Équipe et, avec le fameux “ Le Grand Combat du Quinze de France”, publié en 1958, il ouvre la voie à une abondante production de livres de sport.
Il signera par la suite une quinzaine d’ouvrages, dont "La peau des Springboks", "Le temps des Boni", "Rue du Bac. Salut aux années Blondin", également deux romans, "La guerre à l’envers" et "Un long dimanche à la campagne".
Dans "Rue du Bac", il parle de son amitié et admiration pour son collègue écrivain et journaliste de l’Équipe, Antoine Blondin. On y retrouve les héros de la geste Blondinesque: les Boniface, Roger Nimier, Albert Vidalie et tant d'autres que l'on ne soupçonnait pas ou tout simplement ne connaissait pas.
Il invente en 2011, avec Jean Cormier, le Festival Singe-Germain. Un festival de rue, sportif, festif et culturel, en plein Saint Germain des Prés et qui rend hommage à Antoine Blondin.
Denis Lalanne tient toujours une chronique hebdomadaire à Midi olympique, sur l'actualité et le jeu.
Il a obtenu le Prix Henri-Desgrange, le Prix Antoine-Blondin, le Prix Georges-Brassens et autres distinctions.
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Ecrits intimes : Jacques Bergerac, Denis Lalanne : Une table chez Romanoff
Olivier BARROT présente le livre de Denis LALANNE et Jacques BERGERAC, "Une table chez Romanoff".Détail d'une affiche avec Jacques BERGERACPhotos avec Ginger ROGERS, photos de tournage.Chanson en fonds sonore (chanteuse non identifiée)Lieu de tournage : Deauville.
Citations et extraits (3)
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On commençait à parler aussi d'un auteur qui s'appelait Antoine Blondin (..) Il écrivait des phrases de velours sur le duvet des choses.
C'est alors qu'Yvonne déclara :
- Moi, si la guerre finit bientôt, je vais à Lourdes à pied.
- Je vous accompagne, dit Dolly.
- Et moi, dit Odelin, je vais à Compostelle.
- Avec toi ! jura Robert.
A les entendre, ils auraient fait le tour du monde à la marche pourvu que le monde de son côté fût pris d'un bon mouvement.
- Moi, si la guerre finit bientôt, je vais à Lourdes à pied.
- Je vous accompagne, dit Dolly.
- Et moi, dit Odelin, je vais à Compostelle.
- Avec toi ! jura Robert.
A les entendre, ils auraient fait le tour du monde à la marche pourvu que le monde de son côté fût pris d'un bon mouvement.
"Passer son âge mûr à essayer de réparer les péchés commis par cette personne différente qui était soi-même dans sa jeunesse - tout cela, assurément, est vain et futile."
Vain et futile ! Tout ce qu'il venait expier au travers d'une guerre futile, voilà que ce n'était que gaminerie, un supplément d'âge bête. Mr. Aldous Huxley en parlait à son aise. Balzac n'était pas en reste lorsqu'il certifiait que, faire un homme plus coupable que de raison, c'était " jeter de l'encre sur le visage d'un More".
Vain et futile ! Tout ce qu'il venait expier au travers d'une guerre futile, voilà que ce n'était que gaminerie, un supplément d'âge bête. Mr. Aldous Huxley en parlait à son aise. Balzac n'était pas en reste lorsqu'il certifiait que, faire un homme plus coupable que de raison, c'était " jeter de l'encre sur le visage d'un More".
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Il connaissait les bons faiseurs de Paris, jugeait chacun d’eux d’un mot, parlait de la saveur des chapeaux d’un tel et de la logique des robes de tel autre. À dix-sept ans, il n’y avait pas une modiste qu’il n’eût approfondie, pas un bottier dont il n’eût étudié et pénétré le cœur. Indice : répondez questions 2 à 5 et revenez ensuite sur celle-ci que vous aurez par élimination
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