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Citations de Derf Backderf (119)


La seule manière de réduire significativement nos déchets ? Modifier nos habitudes de vie. Renverser soixante ans de culture du jetable. Préférer le bon sens au confort. En d'autres termes, ça ne va sans doute pas arriver.
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- Pauvre Bone. Pour un mec supra-intelligent, c'est vraiment un paumé.
- C'est vrai que son surnom, c'est parce que...
- Il a un énorme engin ? C'est la légende. Tu notes qu'il ne proteste pas quand on l'appelle "Bone".
- Mais pourquoi son envergure génitale est-elle connue de tous ?
- Aucune idée. On peut rien cacher dans les petits bleds. Pas même la taille de sa quéquette.
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A partir de 1960, les déchets augmentent aux USA de manière drastique. La consommation à outrance et l'obsolescence programmée devenant la norme, nous sommes devenus une société du gaspillage. Quelle quantité d'ordures produisons-nous ? Avec les déchets générés par les seuls Américains, l'agence de protection de l'environnement estime qu'on pourrait former en 18 mois une ligne continue de camions poubelles pleins allant jusqu'à la lune* ! Les Européens ne valent pas mieux, et les Canadiens produisent plus de déchets par tête que n'importe qui d'autre.
[*384 400 km]
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Je n’ai jamais pu trouver une quelconque signification à ma vie et la prison n’y a rien changé. Mon existence a été insignifiante et la fin en est encore plus déprimante. Tout ça peut se résumer en quelques mots : malade, pathétique, misérable, un point c’est tout.
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Cinquième, quatrième, troisième… au cours des années collège, Dahmer ne s’était pas trop fait remarquer. Il se fondait dans la masse adolescente, faisait partie des meubles. Il parlait peu, travaillait, jouait de la trompette dans l’orchestre, était membre de l’équipe de tennis… Il ne faisait jamais parler de lui. Et puis… il changea.
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Un de mes voisins est proviseur adjoint dans un lycée du coin…
Il passe une bonne partie de ses journées debout au milieu de la rue devant son école, à faire signe aux voitures qui arrivent. POURQUOI ?
Pour qu'elles n'écrasent pas les élèves abrutis qui se baladent sur la chaussée sans regarder...Parce qu'ils sont TROP OCCUPES A BLABLATER AU TELEPHONE !!!
Oui, notre avenir est prometteur.
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Je n'ai jamais pu trouver une quelconque signification à ma vie et la prison n'y a rien changé. Mon existence a été insignifiante et la fin en est encore + déprimante. Tout ça peut se résumer en quelques mots: malade, pathétique, misérable, un point c'est tout.
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Vingt-sept millions de jeunes hommes vivent dans la peur constante d’être envoyés au Vietnam. C’est le cauchemar de leur génération. Quand les corps commencent à être rapatriés la panique s’accroît et nourrit le mouvement pacifiste.
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— Music Central, bonjour.
— J'ai besoin qu'un réparateur vienne chez moi tout de suite !
— Eh bien madame... En général on ne se rend pas chez les gens. Vous ne pouvez pas apporter l'instrument au magasin ?
— NON !! Vous ne comprenez pas ! C'est urgent !! Le pénis de mon fils est coincé dans sa clarinette !!
— QUOIIIII !?! M-m-mais qu'est-ce que vous voulez que j'y fasse, moi ?!?
— Je veux que vous l'enleviez !!!
— Écoutez... Il faut appeler les secours...
— NON !!! Je ne veux pas qu'on abîme la clarinette ! On n'a pas fini de la payer !
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C'était un être insignifiant. Un de ces gamins timides qui, submergés par la masse adolescente, se transforment en handicapés sociaux, se résignent à leur sort et deviennent invisibles. Plusieurs mois s'étaient écoulés depuis la rentrée sans même que je le remarque. Et ceux qui remarquaient Dahmer... n'avaient que mépris pour lui.
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C'est de la pire répression militaire ! C'est le rêve érotique de Nixon qui se réalise !
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— Eh bien, tu es très chic en tailleur ! En quelle occasion ?
— Je travaille sur mes locations, aujourd'hui... C'est le jour des expulsions ! J'essaie d'être présentable pour les travailleurs pauvres, le jour des expulsions !
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— Je cherche un réveil. Un qui fasse BIIIP, pas BRRRR... Et je veux une horloge, pas des chiffres.
— Ben, voilà c'qu'on a... Moi, je préfère les chiffres. Parce qu'avec les chiffres, on n'a pas besoin de lire l'heure... on n'a qu'à la regarder !!!
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Depuis cette nuit-là dans l’Ohio, depuis cette impulsion nocturne, plus rien n’a été pareil. Ça vous marque à vie. Après cet évènement, je me disais que j’allais essayer de vivre aussi normalement que possible et d’enterrer tout ça, mais ces choses-là ne restent pas enterrées.

-Jeff Dahmer, Entretien avec le Dr Kenneth Smail, psychologue-
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Mais là-bas, à la campagne, il faisait bon vivre, surtout quand on était enfant. De belles forêts épaisses et vertes, des champs et des prairies à perte de vue dans toutes les directions et des villages agréables où tout le monde se connaissait.
Autrement dit, un terreau parfaitement improbable pour le tueur en série le plus dépravé depuis Jack l'éventreur.
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p.283-4.
C'est l'éditorialiste Clayton Fritchey qui a le mieux résumé la chose, en notant qu'à chaque fois que les forces de l'ordre tirent sur une foule désarmée, un " sniper invisible " est cité comme raison.  Source : Clayton Fritchey, éditorial, Cleveland Press, 28 mai 1970.
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p.215.
- J'ai lu que des économistes se basent sur les ordures comme indicateur économique ! Plus il y en a sur le trottoir, plus l'économie est saine !
- Ouais ? Si c'est ça... Revoilà les jours meilleurs !
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– Qui c'est qu'on va voir déjà, Wes ?
– KLAUS NOMI !!! C'est un allemand grandiloquent et prétentiard qui chante avec une étrange voix de fausset !
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(extrait en américain traduit ensuite en français)

It was 1975, my sophomore year at Revere High School.
My friends and I, a small group of band nerds and advanced-placement brains, became fascinated by this strange guy who threw fake epileptic fits and mimicked the slurred speech and spastic tics of someone with cerebral palsy.
[...]
Looking back on it now, knowing what we know, it seems incomprehensible that Dahmer could get away with such bizarre behavior. But it's not as if he was the only freak at school.
- Dahmer is normal compared to that maniac, Lloyd Figg !

C'était en 1975, mon année de terminale à Revere High School.
Mes amis et moi-même, un petit groupe de bande de têtes d'ampoules à lunettes et de cerveaux surdoués, devinrent fascinés par cet étrange type qui se mettait à faire de fausses crises d'épilepsie et imiter le discours mal articulé et les tics spasmodiques de quelqu'un atteint de paralysie cérébrale.
[...]
Regardant en arrière, sachant ce qu'on sait, il paraît incompréhensible que Dahmer s'en soit tiré avec un tel comportement. Mais ce n'est pas comme s'il avait été le seul type bizarre à l'école.
- Dahmer est normal comparé à ce maniaque, Lloyd Figg !
(en parlant d'un élève bizarre, hurlant et gesticulant, s'énervant pour rien à la cafétéria. ndt)
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Si seulement un adulte, un seul, avait fait le pas et dit clairement : « Oups, ce gamin a besoin d’aide… » Aurait-on pu sauver Dahmer ? Ou épargner une fin sordide à ses victimes ? Je ne dis pas qu’il aurait eu une vie normale. Il aurait probablement passé le reste de ses jours sous anti-dépresseurs. A vivre chez son père. Une vie triste et solitaire, mais que Dahmer aurait volontiers troquée contre l’avenir infernal qui l’attendait.
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