AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.69/5 (sur 25430 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Manhattan, New-York , le 01/01/1955
Biographie :

Douglas Kennedy est un écrivain américain qui décrit de manière très acerbe certains aspects des États-Unis d'Amérique.
En 1994, paraît son premier roman, "Cul-de-sac" (The Dead Heart). En 1997, il est porté à l’écran par Stephan Elliott, le réalisateur de "Priscilla, folle du désert". Son deuxième roman, "L'Homme qui voulait vivre sa vie" (The Big Picture, 1997), connaît un succès international. Traduit en seize langues, il s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires à travers le monde et a été adapté au cinéma en 2010 par Éric Lartigau avec Romain Duris, Marina Foïs et Catherine Deneuve.
Son troisième roman, "Les Désarrois de Ned Allen" (The Job, 1998) est aussi un best seller et un succès critique, traduit en quatorze langues.
En 2001, "La Poursuite du bonheur" (The Pursuit of Happiness) marque un changement radical. Après trois romans que l’on pourrait décrire comme des thrillers psychologiques, il opte pour une histoire d’amour tragique, qui reçoit un très bon accueil. Ont suivi "Rien ne va plus" (Losing It, 2002), Prix littéraire du Festival du cinéma américain de Deauville 2003, "La Femme du Ve" (The Woman in the Fifth, 2007), adapté au cinéma en 2011 par Pawel Pawlikowski, avec Kristin Scott Thomas et Ethan Hawke. Avec "La Symphonie du hasard" (The Great Wide Open), il se lance dans un ample projet: un roman fleuve couvrant une vingtaine d’années. Le premier volume est paru en 2017.

+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Douglas Kennedy   (47)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (83) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Créaterview 🎧 Douglas Kennedy

Podcasts (2) Voir tous


Citations et extraits (2613) Voir plus Ajouter une citation
Le premier, le tout premier souvenir de lui est un regard.

Un regard, ce n'est presque rien. Sans signification particulière, sans conséquence. Et c'est ce qui continue à me stupéfier, encore aujourd'hui : que l'existence d'un être puisse être bouleversée par quelque chose d'aussi éphémère, d'aussi périssable. Chaque jour, nous croisons des centaines de regards, dans la rue, dans le métro, au supermarché. C'est une réaction instinctive : vous remarquez quelqu'un en face de vous sur le trottoir, vos yeux se rencontrent une seconde et vous continuez votre chemin l'un et l'autre et c'est terminé.
Pourquoi ce regard là aurait-il dû tant compter? Il n'y avait aucune raison et cependant... Il a tout changé, irrévocablement.
Commenter  J’apprécie          1270
J'en suis venue à me rendre compte qu'il existe un énorme fossé entre "comprendre" un événement qui bouleverse votre vie et "accepter" sa terrible réalité.
Commenter  J’apprécie          1110
Un beau jour, on s'arrête, sans nécessité aucune, dans une station-service, on rencontre quelqu'un, et votre vie déraille. Le destin n'est pas cruel. Il est con.
Commenter  J’apprécie          930
On finit toujours par tout regretter. C’est l’essence de ce qu’on appelle la condition humaine. « J’aurais pu mais je ne l’ai pas fait », « je voulais mais me le suis interdit »…On en revient toujours à ça.
Commenter  J’apprécie          870
C'est à mon avis ce qu'il y a plus dur dans le deuil:découvrir ce qu'une relation aurait pu vous apporter si seulement vous aviez été capable de lui donner toute sa dimension.
Commenter  J’apprécie          720
Douglas Kennedy
Cela me touche beaucoup
lorsqu'un lecteur m'explique qu'après avoir lu un de mes romans, il se sent moins seul.
Commenter  J’apprécie          722
Douglas Kennedy
J'ai souvent pensé qu'on ne devient réellement adulte qu'au moment où l'on pardonne à ses parents d'être aussi imparfaits que le reste des humains et où l'on reconnaît que, avec leurs limites, ils ont fait de leur mieux pour vous.
dans "la poursuite du bonheur"
Commenter  J’apprécie          701
Il est incontestable que notre passé continue à définir notre existence. Certaines données sont immuables et continuent à peser sur nous quoi qu'il arrive, Il est horriblement difficile de s'en libérer.
Commenter  J’apprécie          643
Ah, comme nous sommes tous prisonniers de notre passé ! Pourquoi n'arrivons-nous jamais à nous libérer réellement du fardeau que nous transportons, de sorte que celui-ci finit par gouverner notre existence ?
Commenter  J’apprécie          630
Douglas Kennedy
La vie m'avait appris que si l'on n'attend rien tout devient une surprise.

Douglas Kennedy

dans : " La Poursuite du bonheur"

Commenter  J’apprécie          620

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Douglas Kennedy Voir plus

Quiz Voir plus

Douglas Kennedy

En quelle année parait son premier roman Cul de Sac (parfois titré Piège nuptial)?

1973
1987
1994
2003

10 questions
216 lecteurs ont répondu
Thème : Douglas KennedyCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..