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3.39/5 (sur 48 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New York , le 31/01/1946
Mort(e) à : New York , le 09.06.2020
Biographie :

Michael Drosnin est un journaliste et écrivain américain, connu pour ses ouvrages concernant le Code de la Bible.

Il a travaillé en tant que journaliste pour le Washington Post (1966-1968) et ensuite pour le Wall Street Journal (1969-1970), avant de devenir journaliste indépendant.

Son premier livre, "Citizen Hughes", publié en 1985, est une biographie du milliardaire américain Howard Hughes basée sur des documents volés.

A partir de 1992, il se consacre à l'étude du Code de la Bible et publie plusieurs ouvrages sur le sujet. En 1997, Michael Drosnin publie son livre le plus connu, "La Bible : Le Code secret" ("The Bible Code").

En 2002, il publie un deuxième livre sur le sujet : "La Bible : le Code secret II - Le compte à rebours a commencé" ("The Bible Code II: The Countdown").

Un troisième livre, intitulé "La Bible : le Code secret III - La Quête" ("The Bible Code III: Saving the World"), est sorti en 2010.

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Source : Wikipedia
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Bibliographie de Michael Drosnin   (6)Voir plus

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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Un mathématicien israélien a découvert un code secret dans la Bible qui semble décrire en détail des événements qui se sont produits des milliers d'années après que la Bible a été rédigée...
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Notre galaxie à elle seule, la Voie lactée, compte cent milliards d'étoiles, et il y a plusieurs milliards de galaxies... (...)
Dans notre imaginaire, une soucoupe volante arrive sur terre et il en sort un extraterrestre.
Mais les scientifiques qui recherchent une forme de vie intelligente ailleurs dans l'Univers ne pensent pas que cela se passera ainsi (...)
Il existe une autre possibilité.
C'est cette forme de contact que les scientifiques estiment la plus probable : la découverte sur terre ou dans les environs d'un objet extraterrestre.
Mais pourquoi un tel contact ne se serait-il pas déjà produit il y a longtemps ? Et si le code de la Bible était, en fait, le signe de ce contact ?
Depuis le tout début de mon entreprise, je savais que le code avait quelque chose qui n'était "pas de ce monde" Quel être humain aurait pu sonder l'avenir il y a trois mille ans et en coder les détails dans la Bible ?
En fait, l'existence même d'une "clé du code" ancienne donne à penser que quelqu'un sur terre disposait d'une connaissance scientifique plus avancée que la nôtre il y a des milliers d'années.
Dans son livre "Sommes-nous seuls ?", l'astrophysicien Paul Davies imagine un objet laissé sur place par des extraterrestres, programmé pour se manifester seulement lorsque la civilisation terrestre aura atteint un certain stade d'avancement. Un tel dispositif serait une sorte de "capsule temporelle" d'origine extraterrestre et pourrait contenir des masses d'informations vitales pour nous.
N'est-ce pas une description parfaite de ce que pourrait être la "clé du code" ?
L'astrophysicien Carl Sagan a déclaré un jour que, s'il existait des formes de vie intelligente ailleurs que sur terre, il y en aurait forcément qui auraient émergé bien avant la nôtre, et qu'elles auraient donc des centaines, des milliers, voire des millions d'années d'avance technologique par rapport à nous.
< < Ce qui peut nous sembler difficile ou impossible d'un point de vue technologique, expliquait Sagan, voire magique, pourrait pour ces extraterrestres, être trivialement facile. > >
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Newton cherchait toujours le code de la Bible quand il mourut. Mais cette recherche de toute une vie échouait toujours, quel que fût le modèle mathématique dont il se servait.
Rips, lui, réussit. La découverte qui a échappé à Sir Isaac Newton fut faite par Eliyahu Rips parce que ce dernier avait à sa disposition un outil que Newton n'avait pas, un ordinateur. Le texte caché de la Bible était codé à l'aide d'une serrure à retardement qui ne s'ouvrirait que lorsque le premier ordinateur aurait été inventé.
[...] Le programme d'ordinateur qui révèle le code de la Bible n'est certainement pas la forme ultime que prendra la Bible. Sa prochaine matérialisation existe sans doute déjà, et elle attend que nous inventions la machine qui la révèlera.
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Les astronomes savaient que la comète heurterait Jupiter parce qu'ils pouvaient en déterminer la trajectoire, de même que la date de l'impact, parce qu'ils connaissaient la vitesse du corps céleste. Mais celui qui avait codé la Bible avait disposé de la même information avant que ce fût possible, des milliers d'années avant que Shoemaker et Lévy eussent découvert la comète, alors comment la Bible avait-elle pu coder la date de l'impact ?
C'était là, bien sûr, la grande question : comment pouvait-on connaître l'avenir ? (...)
Rips avança d'abord une réponse théologique.
< < Le monde a été créé, dit-il. Le Créateur n'est pas restreint par le temps ou l'espace. Pour nous, le futur n'existe pas. Pour le Créateur, l'univers entier a été vu en une seule fois, du commencement à la fin. > >
Kazhdan, lui, avança une explication newtonienne.
< < La science admet que, si nous connaissons la position de chaque molécule et de chaque atome, nous pouvons tout prévoir, dit-il. En mécanique, si nous connaissons la position et la vélocité d'un objet, une balle ou une fusée qui se dirige vers Mars, nous pouvons également prédire où et quand il atteindra son but. Sous cet angle-là, il n'y a donc pas de difficulté à connaître l'avenir > >
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Ce que le code de la Bible révèle est que, sous tous les "miracles" de l'Ancien Testament, il y avait une civilisation avancée.
Le code l'appelle un "ordinateur". Mais il utilise peut-être simplement un langage que nous comprenons.
Étant donné que la racine du mot qui signifie "ordinateur" en hébreu signifie aussi "pensée", quand le code de la Bible révèle un "ordinateur" sous les "miracles", il pourrait en fait révéler un "esprit"

Nous avons oublié que la Bible est l'histoire la plus connue d'une rencontre du troisième type. Ce contact avec une autre intelligence que nous attendons a déjà eu lieu il y a longtemps.
[...] Nous disposons bien de la première preuve scientifique qu'il existe une intelligence au-delà de la nôtre, ou du moins que celle-ci existait à l'époque où la Bible fut écrite.
J'ignore si c'est Dieu. Je sais seulement qu'aucun être humain n'aurait pu, il y a trois mille ans, coder la Bible et prévoir le futur.
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Nous avons oublié que la Bible est l'histoire la plus connue d'une rencontre du troisième type. Ce contact avec une autre intelligence que nous attendons a déjà eu lieu il y a longtemps.
Selon la Bible, il s'est produit une première fois quand une voix venue de nulle part s'est adressé à Abraham et, une seconde fois, quand elle a parlé à Moïse du cœur d'un buisson ardent.
Le code de la Bible est en fait une autre forme de contact que les savants en quête d'une vie extraterrestre intelligente ont suggéré : "La découverte de l'artefact ou du message étranger sur la Terre ou dans son voisinage".
Ce que le code de la Bible révèle est que, derrière les "miracles" de l'Ancien Testament, il y avait une technologie avancée.
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J'ai de nouveau étudié la grille où "véhicule d'acier" apparaît à la fois avec "Mazra'a" et "Lisan". Et j'ai vu que, juste au-dessus de "véhicule d'acier", le texte caché dit : < < forcé d'atterrir, intercepté > >
En hébreu, ce mot n'a qu'un seul sens : l'interception d'un engin aérien.
C'était de la science-fiction. Cela ne pouvait être vrai. Comment un engin spatial avait-il pu exister en des temps si reculés ? Il ne pouvait venir que d'une autre planète.
"Extraterrestre sur terre" est codé à une reprise dans la Bible et ce, de manière surprenante, une nouvelle fois avec "Mazra'a". Et on retrouve encore la suggestion que l'arrivée sur terre était accidentelle : les mots "par erreur" croisent "extraterrestre sur terre".
Dans la Bible, ce qui semble le plus clairement être un vaisseau extraterrestre est décrit dans le livre d'Ezéchiel. On l'appelle "la vision du char".
Or, au même endroit du livre d'Ezéchiel sont codés les mots "extraterrestre humain"
Et exactement au même endroit, on trouve "Lisan", épelé sans sauts de lettres, et, chevauchant ce mot, à l'envers, on peut lire : < < humain près de là dans une crypte > >
Un autre codage dans la Torah semble confirmer qu'une créature d'apparence humaine est venue sur terre il y a longtemps et nous a légué le code de la Bible.
"L'extraterrestre est un homme" figure une seule fois dans la Bible.
Au même endroit, dans le texte même de la Bible, apparaissent les deux expressions que j'avais trouvées au départ avec "clé du code", "bouche des obélisques" et "seigneur du code".
Cela suggèrerait de manière assez transparente que le codeur était un humain, mais pas un des nôtres. Et, une nouvelle fois, au même endroit, le code disait : < < il a été intercepté, obligé de descendre > >
Qui ou quoi, aurait pu forcer le vaisseau spatial à atterrir ? Le code ne disait rien sur le sujet.
Par contre, l'affirmation était sans doute que le code avait été apporté sur terre par un vaisseau spatial.
Le vaisseau spatial était-il une "arche en acier" ?
Pourtant, plus les preuves s'accumulaient, plus je doutais de tout.
Je voulais bien croire que le clé du code de la Bible était gravée sur un obélisque, que l'obélisque était enfoui dans une péninsule désertique qui n'avait pas été habitée depuis les temps bibliques. Mais je ne parvenais pas à croire qu'il avait été amené là par un vaisseau spatial.
Or Crick, qui a découvert la structure de l'ADN, assure que que l'ADN a été apporté sur terre par des extraterrestres. Si c'est vrai pour le code génétique, pourquoi ne le serait-ce pas pour celui de la Bible ?
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Le code de la Bible était muni d'un système de verrouillage temporel, d'une sorte de serrure à retardement. Il était impossible à déchiffrer avant l'invention de l'ordinateur.
Ce code était destiné, sans doute par une forme d'intelligence capable d'anticiper l'avenir, à être décrypté aujourd'hui. Il a été mis au point pour que nous le déchiffrions en cet instant précis de l'histoire de l'humanité. Voilà pourquoi Isaac Newton n'a pas réussi. Il fallait un ordinateur pour lire le code.
(...) Rips (Eliyahu Rips) a découvert le code dans la version originale hébraïque de l'Ancien Testament, celle que Dieu a, selon les Écritures mêmes, données à Moïse sur le mont Sinaï, il y a trois mille deux cents ans.
Rips a supprimé tous les espaces entre les mots, transformant l'intégralité du texte biblique original en une unique séquence continue... Il a mis au point un programme informatique capable de chercher dans cette longue séquence des informations nouvelles. (...)
Les évènements codés dans la Bible sont écrits en hébreu, la langue dans laquelle la Bible elle-même a été rédigée et qui est également celle que parlent aujourd'hui les Israéliens.
Les années indiquées dans le code sont celles du calendrier hébreu ancien, qui commence aux temps bibliques, soit trois mille sept cent soixante années avant le calendrier moderne.
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Ronald Latanison est une autorité pour tout ce qui concerne la durée de vie du fer et de l'acier. Je lui ai donc demandé si un objet métallique pourrait se conserver sous l'eau durant des millénaires.
< < Cela dépend de la teneur en sel > >, a été sa réponse.
Je n'osais pas lui avouer qu'il s'agissait de la mer Morte, l'endroit le plus salé de la planète. Mais je n'avais pas le choix.
< < Alors, il est peut-être toujours là > >, m'a dit Latanison.
Dans l'environnement exceptionnel de Lisan, de la mer Morte, toutes les règles étaient inversées. C'était la seule exception à tout ce que l'on m'avait affirmé jusque-là.
< < Il est vrai que le fer rouille dans l'eau, et le sel accélère le processus, m'a expliqué Latanison. Or, au delà d'une certaine concentration, cela empêche en fait la corrosion. Quand l'eau contient plus de 35% de sel, la teneur en oxygène chute très rapidement. Sans oxygène, pas de rouille. > >
J'ai appelé Davide Neev en Israël. J'ai demandé à cet expert international de la mer Morte si la concentration de sel y dépassait les 35%.
< < Bien sûr. C'est même le seul endroit sur terre où c'est le cas. > >
Et Neev m'a confirmé ce que m'avait dit Latanison : un objet en fer aurait très certainement subsisté au fond de la mer Morte, car cette eau ne contient pas une trace d'oxygène.
Et si l'objet était enfoui dans le sol ? J'ai posé la question à Latanison et à Neev.
Un objet en fer enterré dans le sous-sol de péninsule de Lisan serait sans doute aussi intact, parce que le sol y est pratiquement imperméable à l'air. Latanison me l'a certifié : un objet métallique enterré dans la roche saline qui se trouve sous la péninsule de Lisan ne serait pas attaqué par la rouille.
< < Une grotte salée absorberait l'humidité, m'a assuré le professeur du MIT. Or, sans humidité, pas de rouille. Et, sans oxygène, pas de rouille non plus. Une grotte un tant soit peu hermétique préserverait indéfiniment un objet métallique. > >
Et l'endroit auquel je m'intéressais était le seul au monde où une "arche d'acier" aurait pu rester intacte des millénaires durant.
Je me suis tourné une nouvelle fois vers le code de la Bible pour obtenir une confirmation finale. La phrase "l'acier n'a pas rouillé" apparaît une fois. "Préservé" et "détection, révélation" figurent au même endroit.
Mais le texte caché semblait suggérer quelque chose de manière répété.
"Sauvé dans l'acier" est également codé avec le nom du site, "de l'autre côté de la mer, sur la frontière de Moab", le nom biblique de la Jordanie. Et, à cet endroit précis, le texte caché dit : < < tu l'apercevras de là, une petite extrémité > >
Cela semblait signifier que l'on pourrait déceler facilement, voire accidentellement, la clé du code, que la pointe de l'obélisque jaillissait peut-être du sol.
"L'obélisque pointe évident" est aussi codé avec "Mazra'a" et "Lisan".
"De Lisan, il pointe" apparaît à côté des mots de la Bible qui recoupent aussi "arche d'acier" et "arche de fer" : "ceci est la solution", chevauchant "Lisan".
Et la géographie exceptionnelle de la péninsule faisait que tout cela était plausible. Je cherchais la clé du code sur une terre qui avait été sous l'eau pendant cinq mille ans. La mer Morte se trouvait à son plus bas niveau depuis l'aube de la civilisation, et elle baissait encore rapidement. Un géologue israélien venait même de rendre public un rapport intitulé : "Le point le plus bas de la planète baisse encore"
Il était tout à fait possible qu'un objet enfoui depuis les millénaires refasse surface tout seul.
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Les simples mots de l'Ancien Testament et du Nouveau Testament prédisent que la "Bataille finale" commencera en Israël, avec une attaque sur la Ville sainte, Jérusalem, et qu'elle s'étendra à la fin au monde entier.
Dans la Révélation, elle est annoncée de cette manière :
"Satan s'échappera de sa prison et partira pour tromper les nations des quatre coins de la Terre, Gog et Magog, pour les engager dans la guerre. Ils ont entouré le camp des gens de Dieu, la cité qu'il aime. Mais le feu descendit du ciel et les dévora".
(Apocalypse de Jean, VII, 10)
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