J'ai toujours ton cur avec moi E.E. Cummings
Par Sérpahin Keats
J'ai toujours ton cœur avec moi
Je le garde dans mon cœur
Sans lui, jamais je ne suis
Là où je vais, tu vas ma chère
Et tout ce que je fais par moi-même,
Est ton fait, ma chérie.
Je ne crains pas le destin
Car tu es à jamais le mien, ma douce.
Je ne veux pas d'autre monde
Car, ma magnifique,
Tu es mon monde, en vrai.
C'est le secret profond que nul ne connaît.
C'est la racine de la racine,
Le bourgeon du bourgeon
Et le ciel du ciel d'un arbre appelé Vie
Qui croît plus haut que l'âme ne saurait l'espérer
Ou l'esprit le cacher.
C'est la merveille qui maintient les étoiles éparses.
Je garde ton cœur, je l'ai dans mon cœur.
Pour rester soi-même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin.
Fie-toi à ton cœur quand les océans s’embrasent, et ne vis que d’amour même si les étoiles vont à reculons.
J’ai toujours ton cœur avec moi
Je le garde dans mon cœur
Sans lui jamais je ne suis
Là ou je vais, tu vas…
Et tout ce que je fais par moi-même est ton fait…
Je ne crains pas le destin
Car tu es à jamais le mien
Je ne veux pas d’autre monde, car
Tu es mon monde, mon vrai…
Tu es tout ce que la lune a toujours voulu dire
Et tout ce que le soleil chantera
C’est le secret profond que nul ne connaît
C’est la racine de la racine
Le bourgeon du bourgeon
Et le ciel du ciel d’un arbre appelé vie
Qui croît plus haut que l’âme ne saurait l’espérer
Ou l’esprit le cacher…
C’est la merveille qui maintient les étoiles éparses.
Je garde ton cœur
Je l’ai dans mon cœur.
Il faut beaucoup de courage pour grandir et rester ce qu'on est réellement.
Car, ma magnifique, tu es mon monde, mon vrai monde.
C’est le secret profond que nul ne connait,
C’est la racine de la racine,
Le bourgeon du bourgeon,
Et le ciel du ciel d’un arbre appelé Vie,
Qui croît plus haut que l’âme ne saurait l’espérer
Et l’esprit le cacher.
C’est la merveille qui maintient les étoiles éparses.
(La mémoire de nos enfants)
puisse mon cœur être toujours ouvert aux petits
oiseaux qui sont les secrets du vivant
quoi qu’ils chantent vaut mieux que savoir
et si les hommes ne devaient les entendre les hommes sont vieux
puisse mon esprit flâner affamé
et sans crainte et assoiffé et souple
et même si c’est dimanche puissé-je avoir tort
car lorsqu’ils ont raison les hommes ne sont pas jeunes
et puisse moi-même ne rien faire inutilement
et t’aimer toi-même ainsi plus que vraiment
il n’y a jamais eu de tout à fait tel idiot qui puisse faillir
à tirer tout le ciel sur lui d’un unique sourire
J'ai toujours ton coeur avec moi
Je le garde dans mon coeur
Sans lui jamais je ne suis
Là où je vais , tu vas ma chère
Et tout ce que je fais
Est de ton fait, ma chérie.
Je ne crains pas le destin
Car tu es à jamais le mien, ma douce.
Je ne veux pas d'autre monde
Car, ma magnifique,
Tu es mon monde, en vrai.
C'est le secret profond que nul ne connaît ,
C'est la racine de la racine,
Le bourgeon du bourgeon,
Et le ciel du ciel d'un arbre appelé Vie
Qui croît plus haut que l'âme ne saurait l'espérer
Ou l'esprit le cacher.
C'est la merveille qui tient les étoiles éparses.
Je garde ton coeur, je l'ai dans mon coeur.
( "95 poèmes")
j’aime mon corps quand il est avec ton
corps. C’est une si toute nouvelle chose.
Muscle améliore et nerf plus donne.
j’aime ton corps. j’aime ce qu’il fait,
j’aime ses comments. j’aime sentir l’échine
de ton corps et ses os, et la tremblante
-ferme-douce eur et que je veux
encore et encore et encore
embrasser, j’aime de toi embrasser ci et ça,
j’aime, lentement caressant le, choc du duvet
de ta fourrure électrique, et qu’est-ce qui arrive
à la chair s’écartant…
fie-toi à ton cœur
quand s'embrasent les mers
(et ne vis que d'amour
même si le ciel tourne à l'envers)