Edward Klein

Dialogue Bill/Hilary Clinton
"Je vais tout prévoir",
- "Je ne veux pas en entendre parler".
- "Si je meurs, porte des vêtements de deuil pour que les gens éprouvent de la compassion. Habille-toi en noir pendant une période convenable et fais de ma mort un atout. Les images à la télévision, les obsèques et la veuve en deuil seront d’une valeur inestimable. Après ma mort, les gens ne se rappelleront que de mes qualités et pardonneront mes défauts. C’est toujours le cas. Tout le monde le sait. Alors tu devras profiter de ma mort au maximum".
- "Bill..."
- "Elle devrait te valoir quelques millions de voix".

Quand je serai candidate, Bill prononcera un grand discours pour moi et en comparaison, ceux qu'il a fait pour Obama ressembleront à des discours de collégiens", (Hilary clinton)

"les enfants ne veulent pas aller dans le lit le matin avec lui faire un câlin, il ronfle et il a mauvaise haleine". (Michelle Obama en parlant de son mari)

"Pendant 8 années à la Maison blanche, nous avons apporté la paix et la prospérité. Quand je serai candidate, Bill prononcera un grand discours pour moi et en comparaison, ceux qu’il a fait pour Obama ressembleront à des discours de collégiens. C’est sur notre bilan que je m’appuierai, pas sur celui d’Obama. Et alors nous reprendrons la Maison blanche". ( Hilary Clinton)

La déconnexion entre ces deux Obama - le Candidat habile et le Directeur Général incompétent - a laissé perplexe de nombreuses personnes, qui se sont posé la question suivante : comment un candidat avec autant de talent et de réussite peut-il se révéler aussi lamentablement capable de gouverner?

Comme la plupart des hommes riches , il plaçait sa femme dans la même catégorie que ses maisons, son yacht et son avion. Son épouse n'était rien d'autre qu'une jolie possession de plus, destinée à impressionner ses amis. (p.274)

C'était comme la fin de tous les espoirs de la jeunesse, comme si on avait assassiné la jeunesse. J'avais l'impression que le pays avait symboliquement tué quelque chose. (.p.89)

Les fantasmes d'orgies collectives sont assez communs chez les hommes, mais peu d'entre eux ont l'audace de passer du rêve à la réalité comme le fait John.