Eiki Eiki

Ayant vu dans un premier temps l'animé de ce manga je m'attendais à ce que ce soit la copie confirme mais quelle ne fut pas ma surprise en voyant qu'a partir du tome 4 l'histoire allait plus loin.

C'est donc avec plaisir que j'ai continué la romance entre ces deux personnages. Le graphisme me fait toujours tombé de haut tant il est qualitatif. Izumi sort enfin de sa bulle et évolue un peu à taton dans le monde du cinéma. Il y va avec prudence, on s'attend à du positif au regard ce qu'on vécu les personnages mais la surprise est que non tout ne va pas bien dans le meilleur des mondes et que ça sent les complications à venir.

J'ai beaucoup aimé cette histoire.

Deux personnes, qui par hasard ,se retrouvent à utiliser exactement la même nuance de couleur pour un tableau, se retrouvent dans le même établissement et vont finir par tomber amoureux l'un de l'autre.

On y retrouve tous les codes du Yaoi, avec des très beaux dessins en prime.

Encore une fois la lecture de cette tomaison me fait partir dans un monde de paillettes et de photographes.

Le graphisme est tout simplement magnifique, travaillé, sans aucune zone de flou et surtout l'érotisme n'est pas trop présent.

J'apprécie la romance qui s'installe entre Ryoma et Izumi, elle est douce et assez hilarante. Aucune étape n'est sautée et surtout on sent que les sentiments sont présents et bien loin de naître que pour avoir une page érotique derrière.

C'est une lecture facile et que dire des quelques pages de bonus sur Shogo et Rei qui ont ravis mon coeur de fan.

Je retire toute fois une étoile pour l'aspect un trop immature de Izumi qui peut parfois me taper sur le système, mais c'est bien parce qu'il faut trouver un défaut.

Un tome plus triste que les autres entre la dispute et l'amnésie de Ryoma. J'ai eu beaucoup de peine pour Izumi face au rejet plus que brutal de son copain.

Le bonheur aura été de courte durée. Les amoureux doivent faire face à la vie de tous les jours. Il va falloir beaucoup de patiente et d'amour pour qu'Izumi passe cette première expérience dans les bras de Ryoma. Toujours aussi drôle comme manga.

Ryoma arrive enfin à séduire son amour. Toujours beaucoup d'humour surtout avec le personnage d'Izumi, un manga surtout drôle mais aussi romantique.

On retrouve Izumi et surtout Ryoma qui veux absolument séduire son amour d'enfance même si celui ci en plus d'être un geek est un homme. Drôle et loufoque, ce manga est une bouchée d'air frais. J'adore le frère Shougo avec son sérieux 'brother complex'

Belle retrouvaille avec Hirofumi et Daigo, une histoire toujours aussi complexe mais moins touchante cette fois ci, un peu plus passe partout. Les petites histoires annexes de fin de tomes complète agréablement ce volume.

Dear myself c'est l'histoire d'un jeune homme, Hirofumi, qui perd la mémoire des deux dernière années de sa vie. Années durant lesquelles il était tombé amoureux d'un garçon, Daigo, qui lui n'a rien oublié. Une histoire somme toute banale pour un yaoi mais chargé d'un certaine dose de tendresse en plus. J'ai adoré la façon dont Daigo ne se décourage pas pour reconquérir l'homme qu'il aime, c'est choupinou tout plein !!

En revanche les graphismes de Eiki Eiki me posent problème. On dirait des esquisses ou des croquis. Ils me laissent un goût d'inachevé comme si une amélioration est encore possible. J'aurai aimé plus de finesse. Ce qui ne m'a pas empêché d'acheter World's end...

Pour le volume 2 on retrouve nos deux héros dans une relation pas des plus joyeuse, en effet, si on se souvient bien du volume 1, Ryoma avait été à deux doigts de faire passer Izumi à la casserole, mais Shogo le magnifique est arrivé à temps et a sauvé les fesses de son mignon petit frère. Leur relation n'est pas au beau fice et cela se comprend, Ryoma va devoir se plier pour se faire accepter, mais sa petite tête de caliméro fait presque tout passer.



Dans ce volume on découvre un Izumi dans son élément naturel, il n'est pas une timide petite fleur comme on peut le voir lorsqu'on l'oblige à être en tournage, non, c'est un féroce. (ne riez pas si vous aussi vous avez eu l'image d'un chaton en train de rugir). Sérieusement, nos mangakas arrivent à le rendre totalement dominant quand il s'agit de Ryoma sur certains points. En parlant de lui, plus nous avançons dans ce manga, plus on se dit que ce mec est un cœur, il est parfois un peu sauvage, mais il a un très bon self-controle (par contre quand y' pas de témoins... c'est la teuf). Franchement il est très mignon avec Izumi, il ne veut pas le brusquer, il cède assez facilement à ses caprices, mais il arrive aussi à le remettre un peu sur terre. Il est aussi très agréable dans le fait qu'il est amoureux, et l'est vraiment, cela lui donne énormément de charme.



Ce volume met aussi en lumière Rei, la maman poule de substitution d'Izumi, c'est un personnage tout à fait fantastique, il est vraiment très sympa, on le découvre plus jeune. Plus je le vois avec Shogo, plus j'ai envie de pouvoir avoir Back Stage !! entre les mains. C'est d'un frustrant...



Il y a aussi l'arrivée de nouveaux personnages, comme le patron de Ryoma, toujours et encore des bishonens (oui y'a son bras droit aussi) ! On les verra sûrement plus dans le volume suivant car ici dans la péripétie on amorce un nouveau tournant dans la vie de Izumi car en effet, tout le monde se demande qui est vraiment la Izumi de la publicité, est-elle la petite amie de Ryoma ? Quelle est leur relation ?



Mais peut-on vraiment forcer Izumi à rentrer dans ce monde ? Ce qui lui serait peut-être profitable, mais celui-ci veut réaliser son rêve de devenir mangaka, chemin dont on a forcément des doutes quand on voit ses planches. Chemin qu'il empruntera dans ce volume et qui forme un bon fil conducteur.



Comme pour le premier volume, celui-ci ne me déçoit pas, c'est un plaisir de suivre cette histoire fraîche et fun. Elle est franchement très plaisante, on a quelques scènes un peu chaudes mais heureusement ce n'est que par touche. J'aime beaucoup lorsqu'ils sont en tout-mimi-mignon, c'est vraiment craquant. Bref, c'est une histoire qui m'accroche, et l'attente du volume trois va se faire sentir de mon coté !

(PS : les bonus sont justes hilarants ! )
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Ce tome est plus passionnant que les autres, la relation entre Izumi et Ryôma commence enfin à évoluer (fallait juste attendre qu'Izumi ait une révélation).

J'ai hâte de lire la suite !

Izumi et Ryôma commence par devenir amis, au grand bonheur de Ryôma. Celui-ci est toujours amoureux d'Izumi, même après avoir appris que c'est un garçon. Comme quoi, le cœur a ses raisons fu fu fu. Mais le pauvre quand même, qu'il doit souffrir dès qu'il voit Izumi x) Ce dernier est d'ailleurs assez chiant dans ce volume, avec ses histoires de mangaka... Il est assez capricieux et susceptible (bon j'avoue que si on me dit ce qu'on lui a dit je pars aussi en dépression), mais pas besoin d'aller embêter Ryôma avec ça quoi... Quelle bonne poire celui-là ! On n'aurait pas dit comme ça, en lisant le premier volume ^^ Les rôles s'inversent un peu en quelques sorte, Izumi a un peu le caractère du Seme (mais ce rôle ne lui va pas du tout !).

Ahh ce One Shot, je l'ai lu beaucoup de fois et encore maintenant il n'arrive pas à me lasser.



Franchement, ce OS est un des mes préférés OS Yaoi, il est mignon juste ce qu'il faut, il est touchant juste ce qu'il faut, il a de l'humour juste ce qu'il faut.



Je dirai que ses plus gros défauts est le manque de développement de la dernière partie sur leur avenir ensemble, sur leur famille à chacun, ils posent les bases des questionnements, mais ils s'en foutent une fois les problèmes réglés, ils vivront le jour au jour.



L'histoire en elle-même est simple, une rencontre de deux personnes étant comme des âmes-sœurs, ils se comprennent, se connaissent si bien, ils sont fusionnels et agréable.



Ce qui est sympathique ici, c'est qu'ils y vont pas à pas, c'est pas du genre, "wow je craque sur toi, viens on va baiser dans les chiottes", j'avoue que ce genre là me déplait pas toujours, mais là, ils avancent tranquillement, ils découvrent ensemble doucement leur sexualité. Il y a le côté mignon/romantique qui fait fondre mon petit cœur de bisounours. Ils ont une telle relation qu'ils rendent tout le monde jaloux, ils ont leur monde, leur bulle, que la réalité va exploser.



Ce qui est cool ici, c'est qu'on a vraiment un développement sympathique de leur relation amoureuse, la transition du milieu de bouquin en est la limite. Le seconde partie bien que toujours légères est tout de même plus sérieuse, les problèmes de la vie, l'arrivée de la fin du lycée, les choses évolues.



Après du côté dessins je ne peux que me plier, j'adore le style des deux auteurs alors ensemble, ça ne peut faire que du bon. Je n'ai pas relevé de gros problème, on aura encore les hommes hyper minces, mais j'aime bien le genre. De plus, nous avons une belle évolution entre les deux personnages principaux au début du lycée et à leur fin de lycée. On voit la maturité du visage et du corps, ils ne dégagent pas la même candeur mais ils ne se défont pas de leur douceur et de leurs sentiments. Je trouve que les deux auteurs transmettent bien et facilement les sentiments des personnages, ils sont justes et naturels.



En défaut, j'avoue que là je suis une vendue, j'aime vraiment énormément ce one shot, je regrette qu'il soit aussi court, j'aurais bien voulu découvrir leur évolution dans la vie professionnelle et leur développement après le lycée, mais non. Je trouve ça aussi dommage que les personnages secondaires soient aussi peu exploiter, même s'ils sont là. En effet, ils manquent un peu en profondeur et en développement, ils sont mignons, sympas, mais à part à mettre de l'humour, on ne sait que très peu de choses sur eux. Le dénouement est peut-être aussi un peu trop "facile" ou "simple".



Mais bon, c'est un yaoi que je conseillerai sans problème aux débutants dans le genre (il y a quelques scènes de sexe mais pas tant que ça et surtout elles ne choquent pas), et puis même aux expérimentés c'est un peu de douceur très agréable !
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Manga sympathique dont l'intrigue tourne autour d'une peinture. Étant moi-même peintre, j'ai beaucoup aimé l'histoire même si je ne suis pas très fan de ces dessins.

Hirofumi, jeune lycéen, vient de perdre le souvenir des deux dernières années de sa vie. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'il se rend compte que pendant ce temps, il a entretenu une relation avec un homme, Daigo ! Ce dernier n'a quant à lui rien oublié de ces années et vit très mal la perte de son seul proche.



Commençons par l'aspect le plus marquant : les dessins sont vraiment rebutants. Le style des shojos des années 2000 n'est pas pour tout le monde, c'est vrai, mais Dear Myself est particulièrement mal dessiné. Tout est brouillon, peu de planches donnent l'impression d'avoir été réellement terminées.



Au delà de ça, le livre est sympathique. Certes le scénario n'est pas très recherché mais l'histoire prend son temps et c'est une force. Les personnages sont assez banals, excepté Daigo qui est très touchant et finalement le plus humain de tous. Ce livre est une belle illustration de la quête de soi (de "myself"), surtout dans un Japon où l'homosexualité est peu acceptée.

Une jolie saga qui se termine sur une belle note ♥

J’aime beaucoup cette saga, qui a ses défauts pour sûr mais qui reste agréable, mignonne, les dessins sont jolis et j’apprécie les personnages qu’ils soient principaux ou secondaires ! L’histoire d’amour ne sort pas énormément des sentiers battus mais elle reste agréable, et nouvelle à sa manière

Un tome deux qui se porte dans la continuité du un sans faux pas ni de précipitations. J'ai apprécié le graphisme travaillé et sans passage incompréhensible.

La romance ce met doucement en place est n'est pas bâclée ce que l'on apprécie d'autant plus.

Le petit bonus n'est toujours le bienvenu est humoristique.

Manga coup de cœur ! Un très bon Yuri. Détails de la critique sur mon blog.
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Izumi est enfin révélé. Du coup, il ne peut plus vivre sa petite vie bien tranquille d’otaku. Il est vraiment mignon et naïf. Il cherche à se renseigner sur Ryôma et sur les relations homosexuelles. Ryôma fait tout pour qu’il ait la meilleure vie possible. Il le protège et essais de ne pas trop l’étouffer avec son amour. Cela laisse la place à l’introspection des sentiments d’Izumi. Rei est vraiment un super-personnage secondaire. Il est un peu comme un ange gardien. Il conseille Izumi et le protège de son grand-frère surprotecteur en faisant usage de son corps. Dans ce tome, on voit Izumi et Ryôma mûrir et entamer une relation amoureuse. Si je ne savais pas que la série comporte cinq tomes, et n’est toujours pas terminé au Japon, je dirais que c’est le dernier tome d’une trilogie. Maintenant, je suis intriguée de découvrir la suite.
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Dans ce tome, il y a moins de raisons de rire. L’histoire se concentre sur la relation entre Izumi et Ryôma. L’otaku a son propre caractère. Il n’est pas qu’une jolie poupée de porcelaine. Son rêve est montré, mais aussi brisé, ainsi que tout ce qu’il a fait pour y arriver. Les rôles au sein du couple étaient distribués. Ici, les cartes sont mélangées. Izumi prend l’ascendant sur Ryôma, qui se laisse totalement faire. Tout redevient normal quand l’acteur saute sur l’otaku pour bafouer sa vertu. La célébrité de Ryoma va forcer Izumi à faire son entrée dans le monde artistique. Rei, le manager, est une vraie mère poule pour Izumi. Je le vois bien en couple avec Shogo. Du coup, j’ai beaucoup d’hypothèses pour la suite du récit. Il faut que je mette la main sur le tome 3 pour les vérifier. Les dessins sont toujours aussi beau. L’histoire s’approfondit. Elle a réussit à m’accroché.
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