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4.11/5 (sur 303 notes)

Nationalité : Australie
Né(e) à : Bulawayo, Rhodésie du Sud , 1954
Biographie :

Elizabeth Haran est romancière.

Née en Zimbabwe où son père travaillé dans l'industrie du bâtiment, elle rejoint l’Australie en 1963.

Elle est l’auteure de plus de quinze romans publiés dans dix pays, dont l’Australie et l’Allemagne, où ils sont des best-sellers.

Elle vit avec sa famille à Adelaïde.

site officiel : http://elizabethharan.com/

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Bibliographie de Elizabeth Haran   (4)Voir plus

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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
- J'ai la conviction que je peux enrichir leur vie en leur apportant mon savoir, et ce tout autant qu'un homme. Je ne fuirai pas, et je ne laisserai pas non plus Langford Reinhart me chasser. Quelles que soient les conditions de vie que vous ayez à endurer ici, je les endurerai aussi. Je sais que je ne suis pas parfaite, mais vous allez devoir composer avec mes failles, comme moi avec les vôtres. En ce qui concerne vos enfants, je veux ce qu'il y a de mieux pour eux. Si l'un d'eux exprime clairement que ma présence est superflue, voire indésirable, j'accepterai de partir. Mais uniquement à leur demande, monsieur Hartford.
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"C'est vrai que des fois, on se dit que nos vies sont planifiées à l'avance. Mais, d'autres fois, c'est nous qui commettons des erreurs, et après, il faut bien s'en accommoder." # Betty
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Si c’étaient les hommes qui devaient accoucher, je crois que la population terrestre déclinerait très rapidement. (Elle se tourna vers Ethan, qui avait bien vu que leur petite plaisanterie ne la faisait pas rire.) Quand partons-nous pour Tambora, monsieur Hunter ?
— Il faut voir… Préférez-vous bivouaquer une nuit ou deux ?
Tara se méfia.
— C’est une question piège ?
— Pas du tout. C’est une question pratique.
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Un autre soir, au pied d'un mulga, l'Aborigène se mit à creuser au moyen d'un bâton. Quelques minutes lui suffirent pour localiser un nid de fourmis. Estella constata qu'il s'agissait de fourmis à miel.
- Mange, fit sa compagne.
L'Anglaise tordit le nez en regardant Mai s'emparer d'un insecte, qu'elle tint par la tête et les pattes avant de dévorer son abdomen. La perspective d'ingurgiter une créature vivante, susceptible, par surcroît, de mordre pour se défendre, répugnait à Estelle, mais la douce odeur du miel lui mettait l'eau à la bouche. Binnie ayant son tour, avec des gestes experts, avalé quelques fourmis, la jeune femme se sentit obligée de s'y mettre, sous peine, de passer pour une poltronne. Les insectes, selon elle, possédaient à la fois la suavité du miel et l'acidité du citron.
- Toi faire du bon thé avec, lui sourit Mai.
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Des rafales d'un vent brûlant soulevèrent les rideaux dans la chambre d'Estella, lui offrant une vue plus vaste sur le paysage aride, d'un brun rougeâtre, qui s'étendait par-delà l'hôpital, sur le magasin général, ainsi que deux maisons au loin. De temps à autre, des tourbillons de poussière serpentaient à travers le décor, cependant qu'à l'horizon tremblait un mirage d'eau. Elle ne se trouvait à Kangaroo Crossing que depuis la veille, mais déjà elle ne rêvait plus que de se promener au bord d'un lac, d'une rivière ou de l'océan. Hélas, il n'y avait pas, ici, d'autre humidité que celle de la sueur exsudée, sans répit semblait-il, par chacun des pores de sa peau.
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- Vous avez habillé Georgina et Magdalene en garçons et vous les avez inscrites dans l’un des clubs de cricket les plus huppés de Londres ? C’est inconcevable… même venant de vous !
- Comment cela ? Les femmes doivent apprendre à s’affirmer, et puis j’ai cru rendre service au vieux Gareth. De toute évidence, il aurait préféré avoir deux fils, et les enfants aiment le cricket.
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- Tu es vivant, murmura l'institutrice d'une voix à peine audible.
Elle s'avança, tendit une main tremblante, désireuse d'effleurer son visage. Rick tressaillit.
- Je te croyais mort.
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Ses pensées se tournèrent de nouveau vers Galen Hartford, dont la lettre laissait transparaître qu'il s'agissait d'un homme intransigeant, pétri de principes et d'idéaux. Difficile d'imaginer sa réaction lorsqu'il se retrouverait nez à nez avec Nola Grayson. Tilden était cependant sûr d'une chose : leur cohabitation, à l'instar de la vie sur ce domaine reculé de l'outback australien, ne serait pas de tout repos.
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- Ce qui me laisse pantois, c’est que vous, l’institutrice londonienne, croyez savoir à quel point notre quotidien est difficile. Mademoiselle Grayson.
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Quand on vit dans un tel environnement, on se découvre des qualités qu’on ne pensait pas posséder. Si vous tenez suffisamment longtemps, vous comprendrez ce que je veux dire.
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