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3.33/5 (sur 496 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Saint-Louis , 1971
Biographie :

Diplômée de l'Université Harvard, Elizabeth Little a travaillé pour "The New York Times" et "the Wall Street Journal", entre autres.

Elle a écrit "Biting the Wax Tadpole: Confessions of a Language Fanatic" (2007) et "Trip of the Tongue: Cross-Country Travels in Search of America's Languages" (2012).

"Les Réponses" (Dear Daughter, 2014) est son premier roman.

site de l'auteur : http://elizabeth-little.com/about/
page Facebook : https://www.facebook.com/authorelizabethlittle/timeline?ref=page_internal

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Elizabeth Little - Dear Daughter


Citations et extraits (121) Voir plus Ajouter une citation
Ah les jeunes ! Ils s'imaginaient encore savoir des choses que le reste du monde ignorait, comme chaque génération s'imagine avoir inventé le sexe, comme chaque génération s'imagine que c'est elle que l'histoire retiendra. Ils avaient encore ces rêves de "je vaux mieux que ça", de "un jour on laissera tout ça derrière nous". Ce qu'ils ne comprenaient pas, c'est que d'où nous venons ou qui nous sommes n'a aucune importance. Personne ne laisse jamais rien derrière lui. Le mieux qu'on puisse espérer, c'est de naître dans l'endroit le moins pire possible. Le reste, on est bien obligés de faire avec.
(p. 201)
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"Certaines filles sont nées avec des paillettes dans les veines" .
Paris Hilton
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" Qu'est-ce qu'elle a eu ? murmura-t-il.
_ Oh, rien, un banal accident. Trois balles de Winchester dans la poitrine.
_ Doux Jesus.
_ Ah non, je ne pense pas que c'était lui.
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Je fis tourner mon whisky dans mon verre , songeuse. Puis je me carrai dans le fauteuil et m'allumai une deuxième cigarette. Au craquement de mon allumette , Ainsley pivota d'un coup...
-"Jane ! Je ne pensais pas que tu viendrais."
Je pris le temps de souffler trois cercles de fumée.
" Y'avait que des merdes à la télé."
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Quand je visionne des rushes pour travailler à un prémontage, j'entends ces mots mille fois par jour, plus, peut-être. "Action, coupez, action, coupez, action, coupez, action, coupez". Ce ne sont pas des ordres, pas pour moi. Plutôt une ponctuation routinière. Une majuscule. Un point. L'indication que je dois être attentive à ce qui se passe entre les deux. Mais les acteurs et les techniciens de plateau, eux, ont une réaction plus viscérale, pavlovienne. Je suis presque sûre que si vous entrez dans n'importe quel café de Santa Monica et que vous criez : " En place!", la moitié des clients se figent instantanément.
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Je lève une main, me tourne pour éteindre la radio, puis je m'octroie un moment afin de rassembler mes pensées. Comme je n'en ai pas beaucoup, ça ne me prend pas longtemps.
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Hollywood ne connaît que deux vitesses : " On vous rappellera" et "Il nous faut ça pour hier".
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Je parviens à trouver ma chambre sans me perdre, trébucher ni me couvrir de honte d'une façon ou d'une autre, et ce n'est pas sans un certain soulagement que je referme la porte derrière moi. Après quoi, je pose le front dessus et compte jusqu'à cent. C'est une technique qui m'aide. Je ne peux pas juste m'allumer et m'éteindre comme une ampoule. J'ai besoin de temps pour refroidir.
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Mais je n'avais pas plus le contrôle de mes actes qu'une mèche allumée n'a la contrôle de sa direction, et je lui crachai donc à la figure les cinq petits mots qui germent dans le cerveau d'une fille aussitôt qu'elle commence à avoir des seins :
"Je voudrais que tu meures."
Elle se retourna, son sourire une lame aiguisée.
"N'oublie jamais, Jane : les voeux, c'est pour les lâches."
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Je déteste quand ça sort de nulle part, comme ça. Par exemple, quand vous êtes juste en train d'essayer de changer votre abonnement Internet et que tout à coup, "bim", vous vous mettez à raconter à Myrtle, de la compagnie de téléphone, à quel point c'est dur de trouver des supers-tampons avec applicateur, tout en étant terriblement consciente, à chaque seconde qui passe, que Myrtle n'est pas contente, que ça ne fait pas partie de sa fiche de poste, mais vous ne pouvez pas vous en empêcher, ça vient tout seul, c'est comme la marée, la gravité ou les dernières minutes en salle de travail, parce que ça fait une semaine que vous n'avez parlé à personne à part votre mère.
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