Comme beaucoup de gens, j'avais essayé d'élever un cochon. Funeste initiative. Mon cochon répondait au prénom de Gruni, à quoi, dans un accès d'affection maternelle, j'avais ajouté mon nom de famille. Première erreur : lui donner un prénom.
Bomba, a cada rato pernoctaba en un calabozo, se pasaba la vida pendiente de juicio y su legajo penal se confundía, por el volumen, con el prontuario telefónico de Nueva York. De la cárcel no lo salvaba más que su historia clínica de paciente psiquiátrico, a la cual se añadía aquel prodigioso testimonio del Dr. Hermenegildo Frumento en el sentido de que Moisés no era, en el fondo, mala persona.
Je ne comprends pas pourquoi les humbles et inoffensifs gros dans mon genre sont victimes de la plus féroce intolérance, pourquoi on nous méprise, on nous stigmatise, on nous marginalise, on nous conspue, pourquoi on nous traite tout le temps de baleines, chars d'assaut, morues, armoire à linge, baffles, ballons dirigeables et autres gracieusetés stylistiques, pourquoi nous supportons cette persécution et pourquoi devons nous soumettre pieds et mains liés aux caprice des maigres.
J'étais une fanatique des singes, ces joyeux fouteurs de merde. J'aurais aimé en posséder un, même tout petit, mais ça n'était pas possible. Nous n'avions rien à lui donner à manger et puis papa disait qu'avec moi il était déjà servi en singe.