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Critiques de Eoin Colfer (603)
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Artemis Fowl, tome 1

Quel roman original, amusant et déroutant à la fois ! À mi-chemin entre le fantastique, le roman policier et celui d'aventure, un mélange assez inusité. Décidément, l'auteur Eoin Colfer a trouvé un filon. Mais ce n'est que le début. Son protagoniste, Artemis Fowl, est un gamin de douze ans comme pas un : il est extrêment intelligent, particulièrement ingénieux et surtout plein de ressources. Enfin, il est prêt à tout pour obtenir ce qu'il veut. Et, pour le moment, il a besoin d'argent pour secourir son père. Quel est le meilleur moyen d'en obtenir rapidement ? Kidnapper une fée et demander une rançon, tout le monde sait cela. Rarement un tel personnage, jouant le rôle du méchant, m'aura autant charmé. Il faut avouer que son némésis, le commandant Roots, n'est pas particulièrement sympathique. Mais il y a plus, Fowl est à la limite du crédible. Voyons donc, à un si jeune âge, être à ce point manipulateur, fin négociateur, machiavélique. Ici, il faut peut-être préciser que son père est un joueur important du crime organisé. Mais bon, si on est prêt à accepter un monde avec des fées, des nains, des centaures et des trolls… pourquoi pas un génie du mal ?



Parlons-en, de cet univers. Il est riche, composé d'une quantité inépuisable de créatures surnaturelles, de pouvoirs spéciaux, de sorts magiques, d'armes aux propriétés étranges, etc. Ceci dit, je suis un peu déçu d'y voir si peu de magie et autant de technologies. C'était le pari de l'auteur et je suppose, vu la popularité du roman, qu'il a fait le bon choix. Si l'oeuvre y perd un peu, elle gagne énormément en modernisant le monde poussiéreux des fées. le commandant des FARFAdets (Force Armée de Régulation des Fées aériennes de détection) a plus d'une technologie dans son sac… Cet homme a la responsabilité de libérer Holly Short, la fée captive, tout en protégeant l'anonymat du monde surnaturel, et il est prêt à tout pour y parvenir. Négocier, un peu, mais surtout lancer des attaques. Et c'est l'autre aspect du roman qui m'a un peu déçu : l'intrigue est plutôt simple. Très vite, Artemis Fowl s'emmure dans son château familial (comme les Troyens dans leur cité) et l'essentiel du roman consiste pour lui à déjouer les assauts des adversaires. Il n'y a pas vraiment de progression à partir de ce point, une attaque suit l'autre. On s'en lasse rapidement. En tous cas, ce fut le cas pour moi.



D'autant plus que la narration est assez étrange. D'un début assez prometteur où Artemis réussit à découvrir en Thaïlande quelques secrets relatifs au monde des fées, on passe sans transition ni explication à Holly Short et à ses péripéties somme toute assez anodines. Bon, on se rend compte assez vite que ce nouveau personnage sera la fameuse fée qui sera kidnappée mais on s'y attarde trop longuement. Ce n'est pas elle qui intéresse le lecteur, c'est Artemis Fowl ! Trop de longueurs. Même situation plus loin avec le commandant Roots. Bien sur, il faut situer le monde des fées mais, à tout vouloir expliquer (et démystifier), l'oeuvre y perd au change. Et, en prévenant ainsi d'avance le lecteur des pièges que préparent les FARFAdets, le suspense s'en trouve réduit. Donc, au final, même si je lirai les prochaines aventures de Fowl, ce sera surtout par curiosité ou obligation professionnelle, pas par engouement.
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Artemis Fowl, tome 2 : Mission polaire

J’ai découvert la série Artémis Fowl il y a peu de temps. Aussi, enchaîner assez rapidement avec le 2eme tome m’a semblé normal, surtout qu’il y avait encore plein de questions sans réponses.

Comme déjà évoqué dans le tome précédent, le père d’Artémis a disparu et a été déclaré présumé mort. Seul son fils se raccroche à l’espoir qu’il est encore vivant…L’histoire va lui donner raison, puisqu’un gang de Russes va se faire connaitre et réclamer une rançon en échange de papa Fowl…

Artémis ne voit pas d’autres solutions que de solliciter le petit peuple à l’aide ….Mais histoire de compliquer les choses, la révolte gronde chez les gobelins, et finalement tout va vite se compliquer de manière assez catastrophique…

J’ai aimé cet épisode qui permet de connaitre un peu mieux Artémis, qui bien qu’encore assez dans le genre « sale gosse » comme il a su nous le montrer dans le premier tome, nous montre d’autres facettes de son caractères…facettes qui sont d’ailleurs presque sympathiques…Ce qui permet d’apprécier ce jeune petit génie à sa juste valeur….

Retrouver les autres personnages déjà présents dans le tome précédent a été un plaisir. Oui, j’aime beaucoup Holly, Foaly le centaure un rien paranoïaque et je reconnais que malgré ses pratiques plus que discutables, le nain Mulch me fait bien rire !

En résumé, je dirais que ce fut une histoire plaisante à lire, et j’ai bien l’intention de ne pas m’arrêter là dans la découverte de cette série !





Challenge Mauvais genres 2020

Challenge Séries 2020

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Migrant

C'est une histoire d'aujourd'hui, de tous les jours, qui se passe pas si loin de chez nous.



C'est l'histoire du petit Ebo, orphelin de 12 ans, qui avec son frère Kwame rêve d'une vie meilleure. Ils sont nés au Ghana, dans un petit village pauvre et sans avenir. Leur grande soeur Sisi est déjà partie tenter sa chance en Europe et depuis, ils n'ont aucune nouvelle. Est-elle mariée ? A-t-elle fini dan un bordel comme les camarades d'Ebo le disent ? Quand Kwame part sans le prévenir, Ebo est persuadé que son grand-frère est lui aussi parti rejoindre cette Europe si pleine de belles promesses. A son tour, le jeune garçon prend la route. Des pièges du désert saharien à sa frêle embarcation sur la mer Méditerranée, Ebo va affronter mille dangers, guidé par un seul espoir : démarrer une nouvelle vie en Europe, avec sa famille.



Une bande dessinée au graphisme doux et agréable au service d'un sujet grave et terriblement d'actualité : le périple des migrants. Grâce à un petit héros lumineux et positif, les deux scénaristes ne tombent jamais dans le pathos et permettent aux plus jeunes lecteurs de prendre conscience de cette réalité. Ebo, le petit migrant à la voix d'ange, et son grand frère Kwame, très protecteur, nous émeuvent par leur relation fraternelle et attachante. Les amis rencontrés au gré de leur périple révèlent la solidarité qui lie tous ces compagnons d'infortune, victimes de violences et de racket quand ce n'est pas la mort qui met un point final à leurs rêves de vie meilleure.

L'alternance des deux récits passé/présent permet au lecteur de suivre chaque étape du périple des deux frères. Car si bien souvent le dénouement dramatique en mer Méditerranée nous rappelle à ces gens, il faut prendre conscience que bien avant cela, ils affrontent les dangers du Sahara, la violence des passeurs, la menace des autorités, ... avec une seule motivation en bannière : l'espoir.



Une bande dessinée intelligente et émouvante, à mettre dans les mains des plus jeunes... et des moins jeunes.

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Artemis Fowl, tome 1

Quelle belle surprise ce roman !

Ecouté en version audio, c'est un pur régal. Plusieurs voix. Des arrangements musicaux. J'ai été happée par l'histoire.

J'ai d'abord beaucoup aimé l'idée de base. Un antihéros de 12 ans Artémis Fowl. Très intelligent. prêt à tout pour parvenir à ses fins. Imbu de sa petite personne. Légèrement tête à claques. Malicieux. Astucieux. Voleur. Kidnappeur. Il m'a bien plu !

Artémis est accompagné de Butler un garde du corps costaud et de sa soeur Juliette .

En face le clan des fées au sens large : farfadet, nain, centaure, gobelin et cie

J'ai trouvé l'histoire très originale, amusante. Des dialogues hilarants.

Artémis décide de kidnapper une fée pour obtenir l'argent de la rançon (en lingots d'or). Holly la fée est kidnappée. Artémis se retranche dans son château et toute une armée de fées emmenée par le commandant Roots va engager une guerre contre les humains façon mission impossible. C'est assez délirant mais pour moi ça a bien fonctionné. Je n'ai pas vu le temps passer à écouter cette histoire.

J'ai eu un coup de coeur pour Foaly le Centaure qui est trop drôle, Le commandant Root qui se met souvent en rogne et le nain (celui là m'a fait mourir de rire !).









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Artemis Fowl, tome 3 : Code éternité

Les 150 premières pages du 3e tome d’Artemis Fowl, Code éternité, se résument ainsi : «Vendre la technologie des fées avait failli coûter la vie à Butler» (p. 126) Que de longueurs ! Et lorsque l’histoire démarre enfin, ce n’est qu’une suite d’actions et de péripéties, au rythme effréné, qui semble essayer de surcompenser pour l’ennui du début. Autrement dit, l’intrigue manque de finesse. Un méchant multimillionnaire kidnappe Artemis Fowl d’en l’espoir de tirer de lui le secret d’une technologie que le garçon a lui-même subtilisée. Holly et d’autres personnages qu’on aime bien retrouver volent à son secours.



Ceci dit, la formule (ou recette) gagnante est bien exploitée par Eoin Colfer et fonctionne auprès de son public cible. Un méchant unidimensionnel prêt à tout pour gagner de l’argent, l’action au rendez-vous… par moments, quand il n’y a pas de dialogues inutiles et de digressions. Par exemple, tout l’épisode sur Juliet Butler en Tunisie, ça aurait pu être résumé brièvement. Après tout, ce n’est pas elle que les lecteurs veulent. Qu’on ramène les créatures fantastiques, fées, nains, gnomes, nains, centaures, et toutes les autres ! Et aussi Artemis Fowl.



D’ailleurs, c'est ce que j’ai surtout apprécié, ce jeune homme, un protagoniste assez original. Depuis le début de la série, Artemis Fowl est un garçon arrogant, et avec raison. Son intelligence est bien au-dessus de la moyenne, il est débrouillard, ingénieux, et surtout ambitieux. On est loin des superhéros humbles et gentils, prêts à tous les sacrifices pour le bien du monde. À des années-lumière des standards actuels. De ce fait, l’auteur marche sur une fine ligne : d’un côté, Artemis veut à tout prix sauver son garde du corps/ami, même le cryogéniser en attendant la technologie capable de le sauver, mais d’un autre côté, il est disposé à couper un doigt à son nemesis. Ça aurait pu être très mal reçu. Mais ça passe, fiou !



Au final, Code éternité est un tome pas trop mal, mais pas à la hauteur des précédents non plus. Une lecture facile et divertissante mais qu’on oublie rapidement. Parfois, je me dis que les jeunes méritent un peu mieux...
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Artemis Fowl, tome 1

Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2015-2016.



Roman découvert grâce à Babelio et enterré dans ma PAL après achat. Je l'ai donc ressorti pour ce challenge car il me faisait envie depuis un moment. Malheureusement, la bonne découverte attendue n'a pas été au rendez-vous.



Le résumé semblait pourtant prometteur nous parlant de jeune héros à l'intelligence illimitée mais détournée du bien. Une histoire sortant donc de l'ordinaire, tout pour m'intéresser. Mais la mayonnaise n'a finalement pas prise car au moment où Artemis commençait à m'intriguer, on a changé de personnage. L'auteur nous fait ainsi découvrir Holly, une fée appartenant aux FARfadets, à savoir une sorte de police qui essaye d'éviter que leur peuple (vivant sous terre) soit découvert par le Peuple de la Boue (nous). Du coup, l'auteur nous parle d'elle en long, en large et en travers alors qu'il a sauté du coq à l'âne entre Artemis et elle... Par ailleurs, là où j'ai abandonné cette histoire, on passait d'Artemis à Holly dans le même chapitre sans changement de paragraphe alors qu'ils se trouvent à deux endroits bien distincts et sans se connaître. Cela a donc fini de mettre ma patience à rude épreuve et j'ai définitivement abandonné. Mais à en croire certaines critiques, il semblerait que si on ne le lit pas adolescent, on n'apprécie beaucoup moins ce premier tome une fois adulte. Dommage donc car cela semblait être une bonne série.



Autre chose, au niveau de l'écriture de l'auteur. Pour Artemis, il utilise un narrateur omniscient un peu foldingue et pour Holly, c'est elle qui nous raconte sa journée. L'auteur utilise donc deux méthodes d'écriture qui alourdissent et surtout, pour ma part, qui coupent l'envie de lecture... Par ailleurs, pour Artemis, il le suit pendant une journée sans tout détailler alors qu'il est censé être le personnage principal et pour Holly, il détaille tout, cela plombe bien l'histoire du coup. Je pense que par ce biais, il souhaitait faire découvrir le monde des fées qu'il a créé mais pour ma part, il aurait été préférable qu'il le fasse plus en finesse et qu'il s'accorde sur son narrateur...



Comme vous l'aurez compris, la déception a été au rendez-vous pour cette lecture. Depuis le temps que je voulais lire ce tome, j'en attendais peut-être un peu trop. Je vous conseille néanmoins de le découvrir, surtout si vous êtes dans la bonne période, sinon je vous souhaite d'être moins critique que moi pour l'apprécier à sa juste valeur. Pour ma part, ça me fais toujours une série de moins à lire et un peu plus de place dans ma PAL.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Climat

Club N°52 : BD non sélectionnée

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Parallèle entre 2 endroits du monde où l'impact du changement climatique est déjà fort, on y suit 2 jeunes enfants confrontés aux éléments.



S'adresse à un public plus ado.



Mel

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Bien pensé, bien réalisé, même si parfois un peu chargé.



Morgane R.

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Artemis Fowl, tome 4 : Opération Opale

Coïncidence, c'est en lisant ce quatrième épisode des aventures d'Artemis Fowl, le héros créé par l'auteur irlandais Eoin Colfer, que j'ai enfin vu le film du même nom. (Hier soir pour être précise)

Bon, même si j'aime bien les livres, je ne m'attendais pas à être déçue en visionnant le film qui après tout a été réalisé par Kenneth Brannagh, ce qui est pour moi un gage de réussite au vu de sa filmographie que j'aime beaucoup….Mais, mais, cette fois ci la sauce n'a pas pris…en tout cas pour moi…..Ce n'est certes pas la daube de l'année, mais le film est fade par rapport aux livres de la série…

Bon, revenons au quatrième tome de cette série qui en comporte huit (ce qui veut d'ailleurs dire que j'en suis juste à la moitié). La couleur est annoncée grâce au titre, « Opération Opale »…Donc oui, Opale Koboï est de retour après une évasion magistrale….Et évidemment, cette fée lutine un rien psychopathe n'est pas vraiment animée des meilleures intentions du monde envers ceux qui ont contribué à son arrestation dans un des épisodes précédents. Ses victimes désignées sont donc Holly Short , Julius Root et l'humain Artemis Fowl. Ce dernier qui est devenu amnésique ( rappelez-vous le livre précédent )va devoir être contacté par les fées et plus précisément par Holly, mais réussira-t-elle à le convaincre et surtout à lui ranimer sa mémoire ?

J'ai été assez surprise que l'un des personnages secondaires a été sacrifié dans cet épisode, j'avoue que je ne m'y attendais pas du tout….

Cependant, retrouver les autres héros de cette série fort sympathique reste un plaisir, même si j'ai l'impression que Opale n'aura toujours pas dit son dernier mot à l'issue de cette histoire…







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Artemis Fowl, tome 1

Pour moi, Artemis c’est la déesse grecque de la chasse, aussi, quand en flânant sur Babelio j’ai vu ce prénom ma curiosité a été attisée…Et encore lus quand j’ai découvert en lisant des critiques et la quatrième de couverture qu’il s’agissait non seulement du prénom d’un héros tout ce qu’il y a de masculin, mais en plus d’un adolescent ayant une appétence réelle pour le vol et doté d’une intelligence supérieure à la moyenne.

Donc, une fois ma curiosité alléchée, il n’a plus fallu très longtemps pour que je me lance dans la lecture du premier tome de cette série créée par Eoin Colfer.

J’ai vraiment apprécié le monde dans lequel évolue Artemis, jeune irlandais, qui avec son Q.I. très supérieur à la moyenne, envisage froidement de voler le peuple des fées…Il veut de l’or, beaucoup d’or et il n’a pas imaginé un autre moyen pour s’enrichir rapidement…

Le rythme est soutenu, je dirais même trépidant, et on ne s’ennuie pas une seconde à suivre les personnages de cette histoire.

Une petite mention spéciale à la dénomination « peuple de la boue » qui désigne les humains, j’adore !

J’ai beaucoup apprécié le personnage de Holly Short. Cette « jeune » personne a recueilli toute ma sympathie tout au long de ma lecture…je trouve d’ailleurs que j’en oubliais un peu Artemis, qui finalement, faisait presque pale figure face à elle, malgré tout son génie…Je suppose qu’il prendra un peu plus d’ampleur et sera développé dans les tomes suivants.



En conclusion, j’ai bien l’intention de poursuivre ma lecture des aventures d’Artemis Fowl, en espérant que j’y retrouverais aussi tous les personnages croisés lors de ce premier tome, car j’ai vraiment envie de savoir ce qu’ils vont devenir….



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Artemis Fowl, tome 2 : Mission polaire

«Le kidnappeur cherchant de l’aide pour délivrer la victime d’un kidnapping.» (p. 114) Assez ironique, c’est pourtant ainsi que se résume le deuxième tome de la série Artemis Fowl, Mission polaire. On se rappelle que, précédemment, le jeune malfras, du haut de ses treize ans, avait enlevé une fée pour obtenir des technologies… féériques ? (Parce que, dans cet univers, les créatures fantastiques n’ont pas de pouvoirs magiques mais des gadgets très utiles et, surtout, très au-delà des capacités des humains.) Cette aventure s’était terminée positivement pour chacun, même si les fées en sont reparties avec un goût amer…



Dans Mission polaire, Artemis Fowl souhaite délivrer son père, retenus prisonnier dans le nord de la Russie par la mafia. Et, malgré les moyens extraordinaires dont il dispose, il ne peut y arriver seul. Le jeune homme demande à son ancienne victime, la fée Holly, et à ses accolytes de lui prêter main forte. Des divisions surviennent simultanément dans le merveilleux monde des créatures fantastiques. C’est donc avec réticence que les anciens ennemis deviennent des frères d’armes même si la confiance ne règne pas complètement. C’est à en donner le tournis…



Je suis toujours un peu déçu que l’auteur Eoin Colfer ait pris le soin de faire intervenir des créatures fantastiques (fées, lutins, nains, centaures, etc.) tout en délaissant leur côté magique. C’est innovateur mais, en même temps, je me demande pourquoi se donner cette peine.



Mission polaire est rempli d’actions et de rebondissements. Il y a toujours ces longueurs mais elles étaient moins frustrantes que dans le premier tome. Au moins, on bouge un peu, on se déplace d’un univers à l’autre et d’une région à l’autre. Les enjeux se diversifient : la mafia russe d’un côté puis, le coup d’état de l’autre. Au final, ça donne une intrigue plus complexe et intéressante.



Il en va de même pour le personnage d’Artemis Fowl : un jeune homme calculateur, presque dépourvu d’émotions (mais ce n’est pas vraiment le cas). Et on l’aime malgré tout. Il n’a pas son pareil dans la littérature jeunesse. Un autre bon coup de l’auteur Eoin Colfer. Mention spéciale pour la couverture, que j’ai trouvée particulièrement appropriée, tirant des éléments important à l’intrigue.
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W.A.R.P., tome 1 : L'assassin malgré lui

Riley, apprenti meurtrier à l'époque Victorienne se retrouve malencontreusement projeté au xxième siècle. Riley avait été abandonné à sa naissance, laissé dans un sac de farine suspendu à une rampe de l'hospice des pauvres. Le magicien Garrick l'avait trouvé et arraché aux cannibales des bas fonds de Londres.

Il va se retrouver nez à nez avec Chevie, 17ans, agente du FBI, ou presque, enfin bientôt. Elle a fait un écart et a été « mutée » en Angleterre pour surveiller une capsule du WARP [ WARP : Witness Anonymous Relocation. Programme ou pour faire simple : Programme de relocalisation anonyme des témoins ]



Pour sauver leur vie, les deux ados, Riley et Chevie, doivent revenir à l'époque Victorienne pour s'y cacher. Mais tout n'est pas toujours aussi simple, car Albert Garrick, illusionniste et tueur à gage va les suivre aussi et va s'en suivre tout une aventure victorienne dans les bas fonds de Londres.



Un très bon premier tome qui laisse à présager que la saga qui suivra donnera des tomes très intéressants et rapides. Car celui-ci est assez bien documenté sur l'histoire et ne semble pas avoir d'anachronisme.

Sauf une petite longueur qui pourrait tout aussi bien ne pas être présente et qui n'apporte pas beaucoup plus à l'histoire, la lecture est fluide et rapide. L'histoire est passionnante et le lecteur a vraiment hâte d'être à la fin du livre pour en connaître le dénouement...

J'attendais encore plus de détail sur l'époque Victorienne, l'auteur, Eoin Colfer, a fait des recherches, mais ne m'a pas tout à fait plongée en 1898 à 100%, j'en attendais plus...



Une très belle aventure Victorienne !!!
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Artemis Fowl, tome 7 : Le complexe d'Atlantis

Le complexe d’Atlantis est le septième tome de la série écrite par Eoin Colfer mettant en scène le jeune prodige irlandais.

Si j’avais bien apprécié le tome précédent, je dois reconnaître que je suis beaucoup plus nuancée avec celui-ci.

Artémis est souffrant…Il est atteint d’une maladie psychiatrique connue dans le monde des elfes , fées, centaures et compagnie sous le nom de complexe d’Atlantis… Dans le monde des hommes de boue, c’est-à-dire le nôtre, on dirait qu’il est atteint de troubles obsessionnels compulsifs et de dédoublement de la personnalité….

Ce dédoublement de la personnalité va d’ailleurs se manifester sous la forme d’Orion, un autre Artemis, un rien pédant, voire précieux mais restant sympathique car il faut avouer que sa façon de s’adresser à Holly, ma fée lutine préférée est savoureuse….

Cependant, j’ai un peu été déçue lors de cette lecture par le tour que prenait cette histoire. En effet, alors que j’aurais bien aimé rester avec Artemis et ses compagnons, il y a eu bien trop de chapitres consacrés à d’autres personnages comme Butler par exemple. Même si ce dernier est un personnage que j’apprécie, je préfère le voir en compagnie de son protégé et non à l’autre bout du monde….Pardon ? Vous dites qu’il est allé là-bas envoyé par Artémis ? Mouaif….

Oui, mouaif, car clairement, je n’ai pas éprouvé le plaisir habituel à suivre les aventures du jeune Fowl….et je ressors clairement mitigée de cette lecture…

Peut-être un signe d’essoufflement de la série ? En tout cas, il ne me reste plus qu’un tome pour achever cette série…



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Artemis Fowl, tome 6 : Le paradoxe du temps

Le sixième tome des aventures d’Artemis Fowl, insupportable adolescent doublé d’un génie a un titre qui annonce fort bien la couleur de ce qui attend le lecteur (ou la lectrice). Nous allons voyager à travers le temps, ce qui, je dois l’avouer, m’a bien plu car j’adore les histoires avec cette thématique…

J’ai retrouvé avec plaisir Artémis et sa petite bande qui est un peu comme une seconde famille pour lui…A propos de famille, parlons un peu de la sienne : le fait qu’il soit maintenant affublé de deux petits frères jumeaux le rend un peu plus accessible je trouve. Et, restons encore dans le rayon famille, par contre l‘état de santé de sa mère est en train de s’aggraver de manière fort inquiétante… Inquiétante au point qu’il va devoir faire appel à ses amis lutins, et plus particulièrement à la fée lutine Holly.

Très vite, le diagnostic tombe : pour trouver un remède à la maladie mortelle dont est atteinte sa mère de notre jeune irlandais, ce dernier va devoir voyager dans le temps en compagnie de Holly.

Une fois arrivé à destination, son adversaire le plus redoutable ne sera pas des moindre puisqu’il s’agira de lui-même un peu plus jeune…Bon, il y aura encore d’autres troubles fêtes, mais je ne vais pas tout dévoiler, n’est-ce pas ….

J’ai bien aimé cet épisode qui en plus des aventures trépidantes d’Artémis est branché écolo et défense des espèces en voie de disparition…Le message est clair, et cela a rajouté selon moi à l’intérêt de cette histoire.

Bref, je ne vais pas m’arrêter en si bon chemin dans cette série puisque les deux derniers tomes sont bien au chaud sur le dessus de ma Pal…



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Artemis Fowl, tome 1

Et ben j'ai bien aimé. Autant que "A comme association", malgré quelques défauts dans ce premier tome, notamment dans la narration pour Artémis, qui devrait avoir quelques années de plus que douze ans, même s'il est supérieurement intelligent, pour être cohérent et relativement "réaliste". Là, franchement, il vaut mieux oublier qu'il a 12 ans... Ce que j'ai fait sans mal, lol, l'imagination, c'est cool, même si on ne suit pas l'auteur dans tout ce qu'il écrit.



Artémis est un jeune homme (on va dire), porté sur le mal et le banditisme. Et il n'a pas trouvé d'autre moyen de renflouer ses finances que d'enlever une fée contre rançon... Sympa le gars... Comme anti-héros, il se pose là, et il est en plus assez tête à claques, donc ça démange parfois de lui fiche des baffes, comme Holly (la fée), à laquelle on finit par s'identifier (enfin moi), tellement il est désagréable !



C'est bien écrit, c'est léger, le monde des fées est passionnant, les personnages secondaires extras (surtout Foaly le Centaure) (et le duo comique avec le commandant Root fonctionne bien !) côté fées, et Butler le garde du corps et sa soeur Juliet (allumée) côté humains, qui sont cependant moins développés dans ce tome (ce sera peut-être pour les suivants ?)).



Autant dire qu'ici les "héros" humains sont un peu à la ramasse niveau "sympathie du lecteur", et mon coeur était du côté du bouillant commandant Root, d'autant plus quand un fieffé imbécile qui a des ambitions politiques lui chourave sa place de commandant des FARfadets (Forces Armées de Régulation du peuple des fées) !



Et en écrivant cet avis, je me rends compte que les choix narratifs de l'auteur inclinent forcément dans ce sens. Tout du côté humain est froid, pensé, pesé, parfois moins détaillés (il s'attarde peu sur les émotions d'Artémis), alors que les courageuses petites fées trop émotives (et qu'il nous décrit dans le détail) font des bêtises pour les sauver ! J'ai lu des avis qui descendaient en flèche ces choix narratifs, mais pour ma part, je les ai bien appréciés !



C'était quasi des pioches "tout bon" pour finir cette semaine "compte double" du challenge "coupe des 4 maisons" de Facebook. Je n'ai plus qu'à achever ma série BD pour boucler l'année 6, ce que je vais faire. Demain.
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Artemis Fowl, tome 3 : Code éternité

Et de trois pour la série Artemis Fowl, crée par l’irlandais Eoin Colfer.

J’ai découvert il y a peu de temps cette série, et le moins que l’on puisse dire c’est que j’ai bien accroché à l’univers et aux personnages de cette série qui compte huit volumes.

Pour l’instant, je dois reconnaitre que le plaisir de retrouver tout ce petit monde est intact et que les sourires sont au rendez-vous lors de certaines reparties ou grâce à certains personnages hauts en couleurs. Pour n’en citer qu’un, et non des moindres, je baisse mon chapeau face au nain Mulch qui malgré ses démêlés avec la justice des hommes ( et celle des fées d ‘ailleurs ), arrive toujours à trouver une solution dans des situations extrêmes en réussissant le tour de force de donner un coup de main aux personnages principaux.

Nous allons retrouver Artemis, certes à nouveau pourvu d’un père, mais qui n’a pas complètement renoncé à vouloir s’enrichir de manière fort peu …heuh…conventionnelle, et je dirais même plus, légale….

Comme il a réussi à subtiliser du matériel de technologie féerique, une fois reproduit et maitrisé, il a bien l’intention de s’enrichir grâce à cet objet. Mais son plan va se retourner contre lui et non seulement le monde des fées risque d’être dévoilé aux yeux des humains, mais lui et son entourage proche sont en danger.

Une fois de plus, c’est Holly assistée du centaure Foaly qui vont devoir intervenir pour lui venir en aide, d’autant plus que le pourtant invincible garde du corps Butler semble être mis hors de combat…

Un épisode que j’ai lu avec le sourire aux lèvres et je reconnais avoir envie de lire la suite assez rapidement, histoire de rester dans l’ambiance….



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Mauvaise prise

« Mauvaise prise » est le second volet des aventures de Daniel McEvoy, un Irlandais installé à Cloisters dans le New Jersey. Après avoir exercé la profession de videur, il a repris un casino avec Jason, son associé. C'est une brute au grand coeur qui digère mal les traumatismes récoltés au cours d'une mission au Liban comme Casques bleu. Dans son proche entourage, on trouve Zebulon Kronski, son meilleur ami, un chirurgien esthétique loufoque et obsédé sexuel et Sofia, sa petite amie bipolaire, qui le confond avec son mari disparu vingt ans plus tôt. Mais Dan va voir le quotidien de sa vie si peu ordinaire brisé par la mort de la maman de Mike, un caïd de Cloisters, également Irlandais. Dan avait obtenu un pacte de non-agression en menaçant d'attenter à la vie de la pauvre femme mais cette dernière a perdu la vie accidentellement. Mike considère que Dan a désormais une dette envers lui et entend bien la lui faire régler. Et le voilà plongé au milieu d'un véritable noeud de vipères. Il lui faudra du courage surtout quand de vieilles histoires de famille viennent s'ajouter à ses péripéties... « Mauvaise prise » est un roman drôle et rythmé. Les scènes d'action et les réparties loufoques s'enchaînent à toute allure. Eoin Colfer s'amuse avec son lecteur notamment quand il évoque l'utilisation des perturbations météorologiques et des flash-backs dans le récit. Il lui sert également une pléthore de références en tout genre. Les romans déjantés servent parfois à distiller quelques messages mais ici, on trouve de l'humour, rien que de l'humour, et pas de sens profond si ce n'est la question de l'alcoolisme qui est présenté comme un vecteur de dévoiement et de violences conjugales. Pour ce qui est du divertissement, c'est une réussite. J'apprécie toujours les images qui ont cette tournure : « (elle) se verse un scotch assez grand pour faire mariner un cochon ». Un passage m'a fait particulièrement rire, c'est rare, mais malheureusement, il n'est pas très racontable… Un roman déjanté qui fait du bien ! Pour les amateurs du genre et tous les autres !
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Artemis Fowl, tome 5 : Colonie perdue

Et de cinq ! Oui, le tome intitulé « Colonie perdue » est effectivement le cinquième de la série mettant en scène le jeune héros surdoué Artemis Fowl.

J’ai replongé avec plaisir dans le monde de ce jeune adolescent irlandais pas comme les autres. Si après les aventures des épisodes précédents certains pensaient peut-être qu’il allait lever le pied et se reposer et profiter tranquillement de ses parents, eh ben, ils se sont vraiment trompés !

Retrouver le monde des fées incarné par les personnages aussi hauts en couleurs que Holly, Foaly le centaure et bien entendu le Mulch le nain est toujours un plaisir pour la lectrice que je suis.

Nous allons d’ailleurs retrouver Holly et Mulch associés, et plus précisément détectives privés. Leur duo semble commencer à se faire connaitre dans le petit monde des fées…mais leurs compétences vont bientôt être mis à contribution par une section un peu spéciale…

Pendant ce temps, Artemis, qui n’est jamais en reste d’imagination semble traquer avec son inséparable garde du corps Butler l’apparition de bien curieuses créatures….Il ne semble cependant pas remarquer que lui-même est peut-être le gibier … Mais de qui ?

Si le nouveau personnage de la jeune surdoué incarné par Minerva ne m’a pas complétement convaincue, j’avoue être cependant complètement tombée sous le charme de N°1, un jeune démon qui va se découvrir des talents bien particuliers….

Un épisode qui a un rythme soutenu et qui réserve des surprises jusqu’à la dernière page, ce qui laisse augurer une suite assez sympathique.









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Artemis Fowl, tome 8 : Le dernier gardien

Et voilà, pour moi, la page est tournée, je viens d’achever le huitième et dernier tome des aventures d’Artemis Fowl d’Eoin Colfer.

Terminé les ballades en compagnie de Holly, la dynamique fée lutine et de Foaly le centaure super doué mais surtout un brin parano…

Terminé les interventions fort personnalisés de Mulch Diggums, le nain si pittoresques qui marque les esprits de toutes les personnes qu’il croise.

Terminé le duo Artémis flanqué de son inénarrable garde du corps Butler.. Leurs aventures vont me manquer…

Terminé la pittoresque famille Fowl, et la je parle bien sur des jeunes frères jumeaux d’Artemis qui semblent fort prometteurs dans l’avenir…

Oui, mais avant de tourner la dernière page, je reconnais que j’ai lu fort rapidement cette dernière aventure ou l’on ne peut qu’apprécier le changement tout en nuance qui s’est opéré chez notre héros depuis sa première aventure…. Il est loin le jeune adolescent boutonneux imbu de lui-même et dénué de la moindre once d’empathie…

Il faut dire qu’une fois que l’on devine qu’une fois de plus la redoutable Opale Koboï est de retour, on sait bien que l’histoire risque d’être explosive et qu’il va falloir jouer serré pour contrecarrer cette criminelle.

Je reconnais être malgré tout contente que la série s’arrête, car après un avant dernier épisode en demi-teinte, je craignais vraiment que la série s’essouffle définitivement comme un soufflé qui retombe et que je ne sois déçue par l’épisode suivant…

Il n’en a rien été, heureusement….

Merci monsieur Colfer, pour ces beaux voyages au pays des fées …







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Migrant

Magnifique roman graphique !!!!!! Quel destin pour ce p'tit bonhomme à la voix merveilleuse. On nous raconte l'histoire de Ebo, un orphelin de 12 ans, qui décide de partir à la recherche de son frère qui rêvait d'Europe, tout comme sa soeur Sisi, dont ils sont sans nouvelle depuis qu'elle a quitté son village du Ghana. Ebo, donc, décide de quitter lui aussi et la route sera longue pour lui... Après bien des épreuves, il retrouvera enfin son frère, et partiront enfin pour cette terre de promesses....



Le roman est découpé en courts chapitres, qui alternent le présent et le passé... Le présent, c'est ce bateau pneumatique, au milieu de la Méditerranée, qui prend l'eau, mais vogue quand même vers la terre de tous les possibles... Le passé, c'est cette route semée d'embuches qui a conduit Ebo et son frère dans ce bateau minuscule... Mais même là, en voguant vers l'ailleurs, le voyage n'est pas tendre...



C'est une histoire très touchante et, malheureusement, une histoire véridique... Ou même devrais-je dire, des histoires véridiques... Tous ces gens qui décident de partir, de quitter la terre natale destructrice, vers un ailleurs qu'ils espèrent rempli d'espérances... Ces boats people qui risquent leurs vies en souhaitant la rendre meilleure... Un album qui fait réfléchir sur le risque pris, sur l'espoir, sur la solidarité... Une très belle lecture...
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Le Dernier Dragon sur Terre

Agréablement titiller par la proposition de lecture de Babelio, aussitôt acheté, bien qu'il ne soit pas en poche...Et oui entre le prix et la place que prend un grand format, je m’abstiens en général. La longueur a démarrer de l'intrigue m'a un peu refroidi au début de ma lecture, heureusement par la suite les protagonistes étant assez attachant, j'ai terminé le livre. Intriguée aussi par le faite qu'il était chaudement recommandé et dans un genre qui me plait qui se fait rare, j'espérais que l’atmosphère se réchauffe.

Plus la "photographie" d'une mentalité de la nouvelle Orléans et de ses bayous, qu'une histoire de dragon, même si celui ci est bien sympathique.
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