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3.74/5 (sur 18 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Licencié en lettres modernes et en philosophie, diplômé du Centre de formation des journalistes (CJF), Eric Aeschimann travaille au quotidien Libération depuis 1990.

Au sein du service économique, il a suivi en particulier les questions monétaires et macro-économiques et a publié en 1996, avec Pascal Riché, "La guerre de Sept ans, Histoire secrète du franc fort". A partir de 1997, sous le mandat de Premier ministre de Lionel Jospin, Eric Aeschimann a été le correspondant de Libération à l'hôtel Matignon et chef-adjoint du service politique. En 2001, il a raconté les coulisses du quinquennat Jospin dans un roman intitulé "L'étoile de Matignon".

Il a publié aussi "Chirac d'Arabie ou les mirages d'une politique", avec Christophe Boltanski (Grasset, 2006) ; "Libération et ses fantômes" (Le Seuil, 2007).

Il fait partie de l'équipe des Papous dans la tête, sur France Culture.
Il est en charge de la critique des essais au quotidien Libération.
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Source : http://editions.flammarion.com
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Angoulême jour 3 - les dédicaces du samedi matin Nicoby et Eric Aeschimann dédicacent à 4 mains la révolution Pilote, Matthieu Lauffray et Ralph Meyer dédicacent respectivement Long John Silver et Undertaker.


Citations et extraits (4) Ajouter une citation
t quand on évoque mai 68, elle a une vision bien à elle. "Je fais partie des gens qui considèrent que les révolutionnaires de 68 étaient des cons. C'était tous des fils à papa, des opportunistes apolitiques. J'avais des potes hippies engagés qui rasaient les murs pour qu'on ne les reconnaisse pas. C'était du grand Guignol! C'est mieux qu'il y ait un vent de liberté qu'un vent de restriction. Je ne dis pas le contraire... Mais eux, les pseudo-révolutionnaires... leurs discours était imbécile et ils parlaient tout le temps.
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On a agi avec lui comme un mec dont on attendait une riposte et donc un échange, un progrès. Mais non, Goscinny n'était pas comme ça. Chaque attaque portait en profondeur, il encaissait, se crispait... Depuis cette époque, il est resté méfiant vis-à-vis de ses collaborateurs et de moi en particulier, puisque j'étais le seul présent de l'équipe Pilote et que je l'ai pris à partie.
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Mais du fait des destructions environnementales, nous sommes en train de perdre ces "émotions de la Terre", qui nous meuvent et nous affectent. D'où la création d'une "typologie psychoterratique" : nommer, c'est faire exister, rendre visible ce qui est en train de s'éroder.
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le capitalisme a hérité du naturalisme l'idée que le monde est un système de ressources infinies. [...] L'hubris du naturalisme, c'est de voir le monde comme un vaste entrepôt dans lequel nous pourrions puiser sans limites. Avec les conséquences que l'on voit aujourd'hui.
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