Non seulement je ne pensais pas qu’il me ferait la fête, mais je pensais qu’il ne me verrait pas. D’habitude, j’étais transparent, on ne me prêtait pas attention. Selon les nazis, j’appartenais à une race inférieure, bonne à mourir, ou à trimer avant de mourir. Une race en dessous de la sienne puisque les soldats appréciaient les animaux. Quand il m’avait marqué sa joie, j’étais redevenu un homme.
à propos de sa première rencontre avec le chien Argos...