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3.48/5 (sur 51 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Auvergne
Biographie :

Éric Mouzat a suivi des études de lettres modernes, puis de linguistique et philosophie du langage en troisième cycle universitaire.

Professeur à l'Université Blaise Pascal (Clermont II), il enseigne l'Expression-Communication à Polytech'Clermont-Ferrand (École d'ingénieurs).

En plus de l'écriture, il a réalisé et produit plusieurs courts-métrages. Éric Mouzat défend en outre les droits de l'Homme en œuvrant depuis de nombreuses années pour Amnesty International.

Il a publié, entre autres, "Tes désirs sont des ordres", "L'appel du désir", "Scènes d'amour à trois personnages" et "La Connexionneuse".

Il vit en Auvergne dans l'agglomération de Clermont-Ferrand.

Source : Wikipédia
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Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
Tu ferais mieux de suivre la femme qui ne te fuirait pas, qui désirerait ce que tu désires et brûlerait avec toi des mêmes feux.
Ovide.
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La sensualité émanait de moi comme une odeur, comme un trait de caractère. Après tout, on repère bien les gens méchants au premier coup d’œil. Pourquoi n’en serait-il pas de même avec la volupté ?
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Toi qui t’étais ouvertement déclarée hétérosexuelle +++ , tu t’essayais à séduire une gamine de dix-neuf ans, d’allure masculine certes, mais sans conteste une femme avec un sexe de femme, des gros seins de femme, un corps de femme, des doigts de femme, une bouche de femme.
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J’ignorais qu’il était bisexuel, un vrai, pas un fantasmeur qui aimerait l’être et se dégonfle au dernier mo­ment. Jeff hocha la tête en me voyant. Je pris cela pour une moquerie. Je faisais erreur. Les gens différents font souvent des erreurs. Le monde s’évertue à les rendre normaux, à ce qu’ils pensent et agissent comme il faut, mais ils ne le peuvent pas. Lui et moi étions anormaux.
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Il y avait à peine dix minutes que nous étions assis l’un à côté de l’autre que je sentais déjà ton genou effleurer le mien. Nous ne nous connaissions pas encore, je me demande même si nous avions échangé plus qu’un bonsoir et un sourire. Une longue nappe blanche tombait sur nos cuisses, sur les miennes en pantalon de toile écrue, sur les tiennes, nues jusqu’à la lisière de ta jupe moulante, et nul autre que nous ne pouvait savoir quelle merveilleuse aventure naissait alors dans l’invisible dessous d’une table conviviale. La lumière vacillante de quelques bougies donnait à cette soirée une ambiance irréelle et feutrée. Tout flottait dans la chaleur ouatée d’une fin d’été orageuse.
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Ton enseignement était à la fois progressif et raisonné, tantôt vigoureux et violent, tantôt subtil et doux. Je devins pour toi la chose de ton plaisir, le jouet de tes matins, le soldat de tes moindres envies.
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Quoi qu'il en soit, il y a toujours avec toi un fond de vérité. Je t'ai si souvent surprise avec les autres, ambiguë, équivoque, licencieuse et tellement belle, tellement comme je t aime, à me tourmenter de l'extase de te voir profiter de la faiblesse des hommes, à leur promettre monts et merveilles devant moi, à choquer leur femme impuissante et à les abandonner ensuite dès que tu les savais prêts.
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Désormais, tu pouvais tout me dire, tout me demander. J'étais sous le charme de ta folie érotique. J'avais rêvé d'une femme comme toi, comme d'un idéal de perfection perverse, et tu étais à côté de moi, fine et gracieuse, lissant de temps à autre tes longs cheveux blonds de tes doigts graciles tous ornés d'une ou de plusieurs bagues.
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Tout ce que tu me racontais n'était peut-être pas vrai, mais les mots qui sortent de ta bouche ont un tel pouvoir sur mes fantasmes, sur ma peau, sur mon corps, que j’y crois chaque fois, que j'y croyais alors que je ne sais plus très bien aujourd'hui ce qui est imaginaire et ce qui ne l'est pas.
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Ma joie était intense parce que je te voyais heureuse, parce qu'elle l'était aussi, et qu'une complicité de toujours, ravivée ce soir, certainement jamais éteinte, se lisait dans vos yeux malicieux.
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