J’étais effondré. Jamais je n’avais imaginé que l’on pouvait tomber malade en buvant un livre. Je pensais que les p’tits bouquins ne faisaient que du bien. Je m’étais trompé. Il y avait aussi des livres effrayants...
À cause de Suceur de sang, Carmilla se laissait dépérir. Je devais lui redonner le goût des livres sans perdre une minute. Et, comme elle ne pouvait plus les boire, j’ai décidé de les lire pour elle à haute voix... Moi qui détestais lire !