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3.75/5 (sur 227 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Louisiane , le 26/10/1962
Biographie :

Gwendolyn Faith Hunter est une écrivaine américaine.

Elle écrit de la fantasy (sous le pseudonyme Faith Hunter) et des thrillers (sous le pseudonyme Gwen Hunter ou encore, en collaboration avec Gary Leveille, Gary Hunter).

Diplômée en Allied Health technology (technologies paramédicales), Faith Hunter travaille à plein temps dans un hôpital rural.

Hunter a grandi dans le Bayou, où elle a appris la chasse au crabe, la pêche, et les techniques de survie, lesquelles (de même que les chiens et les chevaux) l'intéressaient plus que d'autres centres d'intérêts traditionnellement plus féminins.

Elle a commencé à écrire suite aux encouragements de ses professeurs au lycée. Ses hobbys incluent la confection de bijoux, le rafting, le yoga, la musculation, et la lecture.

Hunter travaille avec Christina Stiles et Raven Blackwell à la création d'un Jeu de rôle basé sur la série du "Rogue Mage".

Mariée à Rod Hunter, elle vit en Caroline du Sud.

site officiel : http://www.faithhunter.net/wp/
page Facebook : https://www.facebook.com/official.faith.hunter/

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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
_ Jane? balbutia-t-il.
Mon regard croisa le sien.
_ Ouais. Est-ce que tu as appelé une ambulance?
_ Des renforts. J'ai appelé... (Il marqua une pause pour respirer.) ... des renforts. (Je réfléchis un instant. Du vocabulaire de flic. Sans lui en demander la permission, je fouillai ses poches.) C'est pas le moment, bébé. Je ne suis pas vraiment en état pour... une partie de jambes en l'air.
ça me fit rire.
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_ Je suis venu voir si tu voulais monter.
_ Quoi?
Des images de félins en plein accouplement, de grognements et de morsures se bousculèrent dans mon esprit. Son sourire s'élargit encore plus, il était plein de sous-entendus. C'était une chose à laquelle j'avais du mal à résister.
_ A cheval, précisa-t-il comme à une demeurée et sur un ton qui laissait à supposer qu'il voyait défiler les images dans ma tête.
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— Vous pourriez vous joindre à moi. Votre présence dans mon lit me ravirait.
Et voilà, nous y étions. L’invitation que j’appréhendais. Heureusement, après avoir étudié les manières vamps’ sous toutes leurs coutures, j’avais ma réponse toute prête.
— Grégoire, vous êtes plus beau que tout ce que j’aie pu voir sur cette terre. (Il acquiesça comme si je ne faisais qu’énoncer la vérité. Je me retins de lever les yeux au ciel.) Mais j’ai un boulot à faire et grimper dans votre lit me tournerait sans aucun doute la tête, au point d’en oublier toutes mes responsabilités. (Une expression étrange traversa ses traits, comme s’il n’y avait jamais pensé.) Alors c’est la mort dans l’âme que je me vois obligée de décliner votre invitation pour aller m’assurer que le dispositif de sécurité est bien en place pour la journée.
Je me retirai et Grégoire n’essaya pas de me retenir. Je pris plaisir à l’imaginer sidéré. Abasourdi. Extrêêêêmement surpris. Mais peut-être était-il tout simplement fatigué ? Qu’est-ce que j’en savais ?
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La Bête ne fait, d'une certaine façon, pas partie de ma nature de porteuse de peau. C'est une entité à part entière: elle partage mon corps et parfois même mon esprit. Si j'essaye de la retenir quand elle veut sortir, elle force et se fraye un chemin quoi qu'il arrive. Je n'ai pas un contrôle total sur elle. Je suis intimement persuadée que si d'autres porteurs de peau existent, ils n'ont pas d'entité qui cohabite dans leur âme. Je ne sais pas comment nous nous sommes retrouvées ensemble. Y penser me laisse toujours un goût amer que je ne parviens pas à expliquer. J'ai l'impression que la Bête le sait mais qu'elle me le cache.
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un excellent roman! Original et bourré d'action comme on les aime!
je le recommande vivement à ceux qui souhaitent découvrir la Bit-lit, ceux qui veulent une héroïne pleine de charmes et ceux qui veulent juste passer un bon moment!
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Il ne me quittait pas des yeux. Je levai un sourcil interrogateur et, sans qu'il ne lève les yeux, un sourire complice éclaira son visage l'espace d'une seconde.
— Tu as des jambes incroyables.
— Et toi un joli cul.
J'avais répondu du tac au tac, sans réfléchir.
Je me mordis la langue. Attention, pensai-je.
La Bête, elle, haletait d'amusement. Elle entreprit de pétrir mon âme du bout des griffes, une patte après l'autre. C'était plutôt douloureux, ce qui était visiblement le but.Gros Bras éclata de rire et son regard finit par rencontrer le mien :
— Tu es une pub vivante pour le don du sang, dit-il sans détours. Tous les vamps' mâles de la soirée voudront y goûter, et sans doute au moins la moitié des femmes.Ma Bête s'immobilisa. Bête n'est pas une proie. Je plissai les yeux, mais Georges poursuivit:
— Je pourrai te protéger tant que tu resteras avec moi. Par contre, si tu te mets à vadrouiller toute seule, cela inversera la donne. Il n'est pas trop tard pour changer d'avis.
Comme je ne répondais pas, il soupira et reprit:
— Bien sûr, il existe d'autres méthodes pour assurer ta sécurité.
— D'autres méthodes ?
Il décroisa les bras et exhuma quelque chose de la poche intérieure de sa veste. Un morceau de tissu blanc qu'il me le tendit. Mes narines s'écartèrent. Vamp' ! hurla la Bête en reculant.
L'odeur poivrée du sang frais s'échappa de l'étoffe. J'entrouvris les lèvres pour que mon palais s'imprègne des différentes senteurs; le sang de Léo mêlé à la signature olfactive de Gros Bras. J'encastrai les pièces du puzzle et grimaçai de dégoût.
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Je me retournai et enfilai ma veste en cuir, avant de me harnacher avec suffisamment d’armes pour déclarer une guerre à moi toute seule. J’abandonnai la maison sans un mot de plus. Je rivai mon casque sur ma tête et m’élançai dans la nuit, par la grille de derrière. Comme d’habitude, les odeurs qui envahissaient le quartier étaient saisissantes. Le mélange de parfums était un délice pour ma partie bestiale: de la nourriture, des gens, des vamps’,du sexe, encore de la nourriture, des gaz d’échappement et de l’alcool à foison sous des formes diverses. Mais Bête se concentrait surtout sur la nourriture. Ces arômes, à présent familiers, m’aidèrent à la calmer, ce qui me permit de mieux me concentrer.
Je secouai la tête pour me défaire des restes de la rage qui s’était emparée de mon être. Seul resta un tourbillon de questionnements. Si Gros Bras ignorait que Gi appartenait peut-être à une race d’êtres vénérés par le passé comme des divinités mineures, Léo le savait-il ? Le maître de la ville n’était pas bavard en ce qui concernait son passé.
J’avais été menée en bateau par les informations partielles que Gi m’avait données sur ses parents, sur son père espagnol et cette femme française qui lui avait donné son nom... Mais Léo, lui, était français. Était-il possible qu’un Anzû ait juré fidélité à la famille Pellissier dans un passé lointain ? Ou aux vampires dans leur ensemble, en les considérant tous comme membres à part entière d’une grande famille ? J’avais cru tout ce que Gi m’avait raconté.
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— Ouais, répondis-je en l'emmenant loin de la cuisine où sa mère nous attendait, Evan sous le bras comme un sac de patates. Je vais te dire un nom secret : le nom que mon papa et ma maman me donnaient quand j'étais bébé.
— Ils ne t'appelaient pas Tante Jane ?
— Non, mon coeur.
— Est-ce que maman connaît ton nom secret?
— Nan.
Je la posai sur le canapé et m'agenouillai devant elle.
— Est-ce que tu veux le connaître? (Elle opina du chef.) C'est un nom très spécial, tu sais. Tu peux en parler à ta maman, si tu veux, mais à personne d'autre. Ça doit rester notre secret. D'accord ?
Elle hocha à nouveau la tête, silencieuse, les yeux grands ouverts.
— En plus, c'est un nom dans une autre langue. Il est un peu difficile, alors on va s'entraîner pour que tu le dises correctement.
Angie regarda derrière moi pour s'assurer que sa mère ne nous entendait pas.
— D'accord, Tante Jane, murmura-t-elle. On pourra le dire à maman après le repas. Mais pour l'instant, je veux être la seule à savoir.
— Alors, voilà : mon nom cherokee est Dalonige i Dagadoli. Ça veut dire «celle qui a les yeux d'or».
— C'est pasque tes yeux sont jaunes ?
— Exactement. Dalonige i Dagadoli. Est-ce que tu arrives à le répéter?
Elle s'y reprit à plusieurs fois avant de mettre les syllabes dans le bon ordre.
— Parfait. Mais il faut le dire tout bas, parce que les Cherokees ne parlent jamais fort.
— Comme si tout était secret? chuchota-telle.
— Oui, comme si tout était secret et chaque chose spéciale.
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Gronder de colère en pensant aux chatons et à Bliss. Il faut les retrouver, tuer le voleur de petits. Déchiqueter sa chair, faire couler son sang. C’est le devoir d’une mère.
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Roul se secoua comme un chien mouillé ; il avait recouvré son humanité mais pas son calme. Il ressemblait à un chien enragé. J’étouffai un éclat de rire nerveux. Un jour,mon humour me tuera. Roul, tête baissée,chargea contre un groupe de vamps’ et de loups en train de s’affronter, au moment même où eux rentraient dans une table pleine de victuailles. De la viande vola un peu partout. Le salon commençait à puer le sang versé tant par les vamps’, que par les humains ou les garous. Dans un coin, deux vamps’ de deux clans qui n’existaient même plus se battaient violemment, déchiquetant chairs et vêtements. D’autres bagarres suivirent et les domestiques nourriciers s’y mirent également. C’était pire qu’à la foire d’empoigne. Et, comme d’habitude, je n’étais pas habillée pour la circonstance. Kem était seul. Il observait la scène, l’air féroce. Il balayait la pièce du regard, à la recherche de Safia.
— Sourire d’Ange, donne-moi de bonnes nouvelles, demandai-je dans mon micro.
— J’en ai pas en stock, Jolies Jambes. Le petit homme vert s’est échappé.
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