Fanny Joly

Un album jeunesse qui colle parfaitement à cette saison. 🎃

De quoi faire « frissonner » en douceur nos petits bouts. Mais c’est surtout une belle leçon de tolérance, d’acceptation et de non jugement.

Les dessins sont très beaux, les écrits sont simples et avec de l’humour. Un excellent moment de lecture pour ma fille et moi même.

La mouette rieuse est le troisième tome de la série Les Couzz, avec Fanny Joly au scénario et Eglantine Ceulemans aux illustrations.



Les couzz, kézako? Une joyeuse tribu de cousins et cousines qui adorent se réunir chez Mamoush, leur formidable grand-mère, toujours prête à faire moults activités avec eux, le tout dans une ambiance toujours drôle et festive.



Dans cette troisième histoire, des thématiques propres aux vacances sont mises en lumière : la séparation avec les parents, le trajet en voiture où le fameux « on n’arrive bientôt ? » tient la vedette, les activités festives, la tolérance, le bien vivre ensemble et un seul mot d’ordre : être toujours tous ensemble et faire plaisir à chacun d’entre eux.



Mamoush, emmène ses cinq petits-enfants en vacances à la mer, dans une résidence de vacances en bord de mer, La mouette rieuse, qui fourmille d’activités. Les fabuleuses illustrations d’Eglantine Ceulemans nous immergent immédiatement dans cette ambiance festive, détendue et ensoleillée que sont les vacances d’été.



Cet album destiné aux 3 / 6 ans nous immerge dans la joie des grandes vacances avec Mamoush, cette grand-mère que nous aimerions tous avoir !



Le scénario est vraiment chouette et les dessins d’Eglantine Ceulemans sont toujours dynamiques, colorés et fourmillant de détails, imprimant une ambiance délicieusement estivale à ce récit.



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: Nous avions bien accroché d'emblée sur le graphisme et les bouilles des personnages en première de couverture, signé Églantine Ceulemans. Notre première motivation à découvrir cette série d'albums des " Couzz".

Le sujet parlera, on s'y était penché avec les " Cousins Karlson" de Katarina Mazetti: la cousinade des vacances, une vraie confrérie de sang, le bonus des "frangins et frangines" par extension, les retrouvailles de gosses et sur rdv réguliers pour jouer et profiter, se raconter surtout.



Les "Couzz" sont évidemment cousins, notre première rencontre tombera sur la période de la Toussaint ( c'est la présence des citrouilles qui nous le dit. L'album ne vendra pas directement la tradition américaine d'Halloween et on doit bien l'avouer, l'annonce de la fête des défunts n'aura rien de très excitants pour les enfants).

Tous les "Couzz" sont envoyés chez la grand-mère Mamousch pour l'occasion et il faudra bien les occuper ( c'est aussi là que l'on réalise qu'avoir des enfants sur des vacances, c'est tout un programme).

L'auteure Fanny Joly va user de raccourcis, nous faisant directement sauter dans l'activité, au fil des pages et desjours, il faudra amuser la troupe et prévoir des activités: recette de gâteaux, courses d'escargots peints, journée déguisée etc...

Cela donnera un bon rythme à l'album et nous ne perdons pas de temps.

Mamousch est une personne tonique, on le voit, ne se laissant pas abattre par les trombes d'eau qui s'acharnent tous les jours du séjour. Rien n'est râté d'avance, il suffira de trouver de bonnes idées.

On souriait déja de la fantaisie de cette Mamoysch et de sa technique de baguette de selfie avec le manche à balai sur la courverture.

Les auteures entreront aussi dans les sentiments avec Mamousch et son ami voisin, Monsieur Ivan.

Les " Couzz" n'apprécieront pas au début cette intrusion étrangère qui les coupera un peu dans leur ambiance en huis clos familial. Mamousch leur montrera que Monsieur Ivan est une personne qui gagne à être connu.

C'est simple, tendre et sympa.

On a déja sous le bras l'autre album. Et vous?

Le contenant ? Il est sympathique que ce soit dans sa police, ses illustrations ou encore sa taille mais côté texte en revanche, c'est une autre histoire...



En parlant d'histoire, celle-ci est bien, même très bien, très commune aussi ! Beaucoup de personnes peuvent s'identifier à cette petite qui n'est pas contente d'avoir un petit frère qui grandit dans sa maman.



Ce livre a, comme beaucoup de livre de cette collection, une très belle morale et j'ai même eu un peu d'émotions !



Le seul point négatif en est un qui m'exaspère beaucoup dans les livres...Ce sont les auteurs qui font parler leur personnages ados ou enfants mais ne savent pas se mettre entièrement dans le contexte.



La petite utilise des expressions pas fréquentes chez les enfants de son âge et même chez les adolescents et pourtant j'ai le recul, je sais que ce livre date mais même quand celui-ci est sortie je tiens à préciser ! C'est le seul point qui est dommage.

J'étais emballée par le début, jusqu'à ce que je m'aperçoive que les "chapitres" étaient en fait des "aventures" différentes, sans aucun lien les unes avec les autres (si ce n'est l'héroïne), et que l'on passait du coq à l'âne, ce qui est peut être très bien pour des lecteurs qui lisent de façon hachée et qui découvrent Marion comme s'ils regardaient des épisodes d'une série quelconque. Ils ont le plaisir de retrouver Marion, ses amis, sa famille. Pour moi, c'est exactement ce qui ne me convient pas, d'autant que le style ne m'a pas emballée des masses, malgré son humour et sa légèreté. J'ai quand même été jusqu'à la p.219 !

Des cadeaux par milliers est le premier tome d’une toute nouvelle série chez Little Urban : les Couzz, avec Fanny Joly au scénario et Eglantine Ceulemans aux illustrations.



Les couzz, kézako? Une joyeuse tribu de cousins et cousines qui adorent se réunir chez Mamoush, leur formidable grand-mère. Dans cette première histoire, de belles valeurs sont mises en scène : l’écologie et la préservation de la planète. Et comment ? En disant stop au gaspillage et à la surconsommation, préservant ainsi le dos fragile de ce pauvre père Noël qui parcourt la planète en quelques heures seulement et qui commence sérieusement à fatiguer.



Une belle idée à prôner en cette période de fêtes où la consommation est souvent excessive, sur les tables mais surtout au pied du sapin, une fois le père Noël passé. A croire que les enfants ne seront heureux qu’à la seule condition de crouleer sous les paquets cadeaux, les yeux encore ensommeillés.



Of course les enfants ont tendance à cocher l’intégralité des catalogues de jouets que l’on trouve dans nos boites aux lettres mais pourquoi pas leur proposer cette démarche de Noël écolo ? Les enfants sont souvent plus soucieux que nous de notre planète et peuvent sans doute nous réserver bien des surprises.



Cet album destiné pour les 3 / 6 ans renferme donc un beau message mais aussi de très belles illustrations ! J’ai adoré les dessins d’Eglantine Ceulemans qui sont dynamiques, colorées et fourmillant de détails, imprimant une ambiance douillette à ce récit.



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La grande méchante Lou terrorise tous les enfants de la classe. Elle les tyrannise, les effraie, les martyrise. Comment venir à bout de cette dictatrice terrifiante ?

Ce roman est plein d’humour ! On ressent parfaitement la frayeur que l’on peut ressentir face à un enfant plus grand et plus fort qui semble avoir les pleins pouvoirs sur l’ensemble des élèves. Et la ruse maligne pour mettre un terme à ce règne de l’effroi est très intelligente et bien pensée. De quoi donner une solution aux enfants pour se sortir d’une situation désagréable, le tout accompagné par un récit fort bien écrit et intensément rythmé.
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Sur le livre, il est indiqué "A partir de 9 ans", je pense qu'il serait plus juste qu'il soit indiqué "A partir de 7 ans". Un brin naïf et quelques situations qui m'ont fait sourire mais sans plus. Peut-être n'étais-je pas bien disposée à cet humour !

Le Père Lëno déteste son cousin, le célébrissime père Noël. Un terrible jour, il parvient à subtiliser les cadeaux et à en fournir à son tour aux enfants. Adieux jouets et doudous, place aux « cadeaux » utiles et pratiques. Bien sûr, cela ne plait guère aux enfants…

Cette histoire de Noël amusera grandement les plus jeunes : on s’attache bien sûr au gros père Noël que l’on connait, on espère voir perdre le méchant et on vit comme si on y était chaque rebondissement. La construction et les personnages sont classiques mais, brillamment narré, le texte fonctionne parfaitement !
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Un récit à mi-chemin entre le roman et la bande dessinée qui ne manque ni d'humour ni de rebondissements. Il parle de solidarité devant l'adversité sans aucune visée pédagogique, juste avec l'envie de passer un excellent moment en compagnie de trois chats décidément trop forts ! Seul bémol : le côté un poil trop stéréotypé des héros.
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La cuisine de Gudule est un album jeunesse de Fanny Joly et Roser Capdevila mettant en scène une petite fille prénommée Gudule et son petit frère Gaston.

Cette fois-ci, pour aider leurs parents qui travaillent beaucoup, la fillette a une brillante idée... faire la cuisine :)

Evidemment, quand une petite fille et son petit frère décident de faire la cuisine, cela tourne vite à la catastrophe ... même si tout se termine bien.

La cuisine de Gudule est un album jeunesse amusant, à lire avec les enfants. Je pense qu'il est nécessaire de bien leur expliquer que ce que font les deux enfants sont des bêtises ! C'est un livre pas la réalité, du moins j'espère car si mon fils m'avait fait un truc pareil j'aurais moyennement rit lol

J'ai bien aimé cette aventure de Gudule, il y a toujours autant d'humour et je lui mets quatre étoiles et demie.

On s'enfonce de plus en plus dans la gaminerie, mais je suis bien obligé de passer par là si je veux recenser tous les livres que j'ai lus. À l'époque de "Pingu sur la lune", j'avais entre 3 et 5 ans, je regardais ça sur les VHS de ma grand-mère, et j'adorais ce livre auquel j'ai fait toutes sortes de misères. À présent que je le relis, je me dis qu'il n'y avait pas tellement d'humour que ça, mais que c'était drôle tout de même. La pauvre petite Pinga se fait victimiser, le papa de Pingu a un masque hideux, et la fusée est faite avec des éléments de la décharge. Quoi de plus jubilatoire à cet âge-ci, après tout ? C'est pourquoi je classerais plutôt cet album pour enfant dans les réussis.

Je déteste le rose. Le titre de l’album m’a donc interpelé. Certaines personnes, avec qui j’ai parlé de cet ouvrage, ont détesté les illustrations. Personnellement, les aquarelles sont belles. J’aime ce style un peu désuet.

A l’arrivée de la petite fille, le lecteur passe d’un monde à dominante bleu, pour un monde entièrement rose. Le choc est un peu rude, mais assumé. Comme la petite, je ne supporterais pas d’être élevé dans une bulle et coiffé comme une poupée. Le rythme rapide du récit ne m’a pas trop gêné.

Le texte, par contre, est lourd. Il y a des rimes partout. Cet album ne répond pas aux attentes que j’avais. Rose, la fillette, aurait pu finir avec une robe bariolée et ses frères avec des vêtements d’un autre couleur que le bleu.

Le début commençait bien avec une petite nuance dans la phrase qui impose le rose pour le dernier enfant. Dommage que cette nuance disparaisse dans la suite de l’album.

A l'illustration, j'ai tout de suite été attirée par cet album, d'autant que le titre et la couverture laissent imaginer un propos intéressant, sur une petite fille à qui on impose le rose, mais qui le rejette. C'est effectivement ce qui se passe dans cet album. Pourtant, c'est un petit un coup de gueule que je pousse ici. D'abord parce que les choses vont trop vite, sont trop simples, et donc ce discours parait ici un peu stéréotypé (alors que le but était inverse). Et surtout pour la fin (désolée, je vous la dévoile... ALERTE SPOILER donc). A la fin, la petite fille est autorisée à ne plus s'habiller en rose. Le texte dit qu'elle choisit toutes les couleurs, mais sur l'illustration, on la voit habillée en bleu, sur un vélo bleu, etc. Un peu facile donc, d'un stéréotype, on court dans le stéréotype opposé. Ici ça n'est pas "tout blanc tout noir", mais "tout rose tout bleu"... j'aurais préféré voir une petite fille habillée de toutes les couleurs, histoire d'éviter ce piège !
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C'est avec plaisir que je redécouvre la série "délire" aujourd'hui appelé "Ri go lire.



Mireille Pichard est une toute jeune maîtresse qui a beaucoup de difficulté à faire sa classe.Grâce à un élève, ils vont réussir à résoudre le mystère de la classe7.

Chapristi, l’adolescence, ce n’est pas fachile, euh facile, même pour une petite chatonne !



Dans la série livre musical, un joli coup de coeur à la verve aiguisée – et toujours drôle – de Fanny JOLY et aux arrangements de Pierre-Gérard VERNY : un bel alliage entre les mésaventures d’une Chat’Ado et des notes de JazzàParis !



Un CD de 45 minutes (27 pistes) permet de suivre l’histoire au gré des chat-pitres (ok c’était facile) et des paroles des chansons interprétées en duo.



Décor : les toits de Paris, une nuit où tous les chats sont gris… ou presque. Dans la maison bien nommée “Do mi si la do ré” des chats-musiciens Rémi et Sido, les notes s’envolent. Forcément, un saxophoniste et une violoniste qui vivent ensemble, ça swingue ! Et voici que dans ce nid d’amour pointe un jour le museau d’une mignonne chatonne, Superminouche.



Ambiance : des parents ravis tout d’abord, mais avec le temps le joli bébé sage grandit puis s’affirme en faisant ses vocalises et les caprices de Diva s’enchaînent.



“Nan, niet, nein, y en a marre marre et re-marre.



Sur un couac, la chatonne se carapatte à quatre pattes et se retrouve sous terre, à l’Opé-rats. Prise au piège par le chef d’orchestre tyran Raligula, Superminouche enchaîne les concerts jusqu’à l’épuisement.



Elle ne doit son chalut, non zut son salut, qu’à Gérard (tiens tiens ce prénom me dit quelque chose), un rat(ma)chiniste, avec lequel elle s’évade pour une vie de bohème ensuite.



Mais Superminouche est triste loin de ses Chabadabada de parents qui lui manquent tant… les retrouvera-t-elle ? Le temps des caprices a un petit goût amer…



Côté son, c’est de Haute Qualité ! Des chansons aux rimes rigolotes que l’on reprend en famille et des parties instrumentales qui vous emmène à l’époque du Swing, un poil Zazou !



Côté images, Caroline Hüe nous croque ici une famille de chats musiciens façon AristoCats des plus endiablés, et avec leur petit caractère bien trempée. Sur les toits ou sous terre, on se plait à suivre Superminouche et son Gérard. Mignonne chatonne au petit noeud rouge et aux envies de liberté et d’émancipation.



Côté format, c’est à la “portée” de tous et de chacun surtout, et on peut choisir son mode d’expérience : une lecture active, à une ou deux ou plusieurs voix ; une écoute passive langoureusement bercée par la voix de la talentueuse comédienne Raphaéline Goupilleau ; ou bien un mélange des deux pour chanter en famille.



Petit plus pour les parents, les 6 dernières pistes du CD sont instrumentales, soit pour s’exercer à chatonner, etuh non chantonner, ou tout simplement pour profiter d’un petit moment Jazzy Swing, le sourire aux lèvres.



Gardez le rythme !


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Le principe de retrouver la célèbre BD de Boule et Bill en format roman est très juste et bien pensée pour les jeunes lecteurs. Les histoires restes drôles et convaincantes.

Félicité est débordée, elle qui voudrait tant être une princesse, doit ranger sa chambre et écosser des petits pois !

Quelle horreur…



Mais heureusement, son père qui est boulanger passe devant elle. Au beau milieu de la fournée des pains, une baguette magique….et voilà notre petite héroïne emportée dans ses rêves que nous suivons au fil des pages …et au gré de la fameuse phrase magique qui permet à Félicité de goûter à tous les avantages d’être une princesse : jolies robes, bijoux, carrosse…mais la dure réalité ne va pas tarder à revenir.



Ce petit album tout simple permet soit par la lecture de l’enfant à retrouver des rêves qu’il fait peut-être ou à un parent qui lui lira l’histoire de partager cette douce rêverie.

Les dessins sont tout en douceur, façon aquarelle, le format carré est confortable aussi bien pour un adulte que pour un enfant.

Une petite histoire toute simple, même si elle ne renouvelle pas le genre, qui accompagnera les rêves de nombreuses petites filles. D’ailleurs, je le testerai sur ma petite-fille aux prochaines vacances !

Cunégonde est une râleuse, mais au fond, elle a bon cœur. Aussi lorsque son papa se fait arrêter par les gardes du château, parce qu'il braconnait, afin de nourrir sa famille.



Cunégonde, va trouver le moyen de passer les portes du château pour le délivrer.



Une histoire agréable, avec quelques suspens, mais dans l'ensemble, je n'ai pas été plus emportée que ça.

Même Cunégonde, et son sale caractère, ne sont pas attachant.

Tout se déroule beaucoup trop vite, avec parfois un manque de profondeur, il s'agit d'un premier roman jeunesse, mais une ou deux pages, avec un peu plus d'informations, l'auraient rendu meilleur, sans l’alourdir.



Le style quant à lui, est à la fois, fluide et riche en vocabulaire. Le texte de Fanny Joly, est agréablement mis en valeur, grâce aux illustrations de Jean-Pierre Gibbat, à la fois expressives et réalistes. Je trouve intéressant, le fait qu'il l'ait représenté en garçon manqué.


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Cette histoire illustre la vie de Marion, dans un livre bien édité. Je l'ai bien aimé car il est drôle. J'ai surtout aimé le chapitre « Magic Marion »

En conclusion : Super livre ! pour parfait lecteurs de longs romans.