La vérité est que j’ai besoin d’abolir en moi cette angoisse que j’éprouve chaque fois que je quitte Creezy et que, pour cela, je n’ai d’autre ressource que de croire en une Creezy ramenée à sa définition la plus simple, la Creezy des magazines et des affiches, la Creezy que, dans les boîtes de nuit, on salue d’un roulement de grosse caisse, la Creezy en acier qui, jusqu’ici, a su vivre sans moi.