réponse à vilaindéfaut (critique du 05/07/2009 : on voit tout de suite que vous n'avez jamais naviguée (ée, je précise). Au contraire, l'écrivain est très simple dans ses termes de navigation. Nous, nous avons fait le tour du monde en voilier, et pas avec les derniers équipements technologiques de navigation : le vraiment basique (à vous lire, vous n'auriez pas résistée et seriez descendue à la première escale !). Vous auriez peut-être même voler le dinghy pour rejoindre la terre ferme. Jalouse ? Envie de descendre en flamme un BON écrivain, qui sait nous faire vibrer sans défaillir de la première à la dernière page ? Toujours est-il que nous avons hâte de lire un de ses prochains livres. Ayant pratiqué la navigation hauturière sur tous les océans et que nous aimons lire, nous attendons avec impatience son prochain livre. Nous ajoutons que l'intrigue policière est très réaliste (ne vous en déplaise, Mâdame !) même si elle ne situe pas dans le milieu nautique (Mâdame !). Merci à François FERBOS de nous faire naviguer aussi allègrement dans des eaux, troubles ?. Continuez, et n'écoutez pas ni ne lisez les mauvaises critiques. Nous on vous suit. Bonne nav. si vous le faites encore, on vous le souhaite.
La brouzine pleurniche nuit et jour, essayant de faire croire qu'il ne pleut pas vraiment. Elle fait se confondre le matin et le soir tandis que perfidement, elle trempe et détrempe. C'est alors que sort le Bordelais. Armé de son imperméable fripé, affublé d'un chapeau informe et de préférence ridicule, brandissant un parapluie assez grand pour se faire de la place sur les trottoirs - en crevant un œil si nécessaire -, le Bordelais, telle la cagouille, sort. Il voue aux gémonies les oracles météorologiques, il insulte le ciel, mais il sort.
Les autres occupants de l'ascenseur, muets, échangèrent des regards inquiets.