Citations de Fred Bernard (208)
Toute la nuit... J’ai cru entendre le chromosome en plus qui tournait dans ma case en moins.
Page 63, Jungle, 2017.
Mon grand-père dit que "le snobisme, c'est la classe des cons".
Les hommes préfèrent les blondes...
Les hommes préfèrent les minces...
Les hommes préfèrent les petites...
Conneries, oui!
Ce qui compte avec le corps, c'est ce qu'on en fait! Hein, ma fille! Ce qu'on en donne! Comment on l'offre. Et ce qu'on prend à l'autre... Ou pas!
C'est ça que les hommes aiment!
Cerises, framboises, fraises, pommes, poires, coings, châtaignes, les saisons passaient lentement quand on était enfant. Ici, elles ne passent plus du tout. Ce sont les régiments qui défilent et roulent à terre comme des fruits pourris, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.
C'est touchant cette propension qu'ont les hommes à toujours vouloir se mesurer entre eux...
"Qui triomphe de son ennemi est fort. Mais qui triomphe de lui-même possède la force."
Demandez au vent quelle feuille tombera la première.
Sôseki
En gastronomie, c’est en multipliant les expériences qu’on développe et qu’on affine le goût. En amour, on le perd ! On se dégoûte de soi et des autres. On finit avec une gueule et un cœur de bois.
Jeanne, la sagesse des vieux c'est comme l'innocence des enfants : un fantasme d'adulte
Le corps moderne doit être actif et énergique. Minceur rime avec souplesse, mobilité, flexibilité, qualités exigées par notre société. Bouger vite, réfléchir vite, vivre vite et mourir jeune, dans longtemps. Le temps s’était accéléré considérablement pour moi. Je souffrais de l’anonymat des métropoles, de la brièveté des rencontres, des regards de propriétaires portés sur moi. J’étais mal à l’aise avec les privilèges et les dépenses inutiles. mais elles me permettaient de tenir le coup pour grimper encore. Atteindre, obtenir, conserver ce qui m’était dû, vite, avant d’être vieille
Dis, Lily ! Tu sais qu'aujourd'hui la fortune des 225 personnes les plus riches du monde correspond au revenu cumulé des 2,5 milliards les plus pauvres...
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- Arrêtez ! S'il vous plaît... Laissez-moi...
- On t'avait dit de rentrer à quelle heure, hein !!! Hein !? À quelle heure !?! Combien de fois faudra-t-il que ton père aille te chercher par la peau des fesses !? Hein, combien de fois !?! Combien de fois il faudra te le dire !? De cesser de renter aussi tard ! De t'habiller en petite salope !
- En petite pute, oui !!!
- Tu nous fais honte, à ton frère et à nous !
- Ne nie pas ! Tu as couché avec les fils Bernard ! Les deux !
- C'EST PAS VRAI ! C'EST FAUX !
- Ne mens pas !
- Notre fille est une traînée...
- On t'a vue ! Avec le grand et le petit Bernard !!! Tu as été vue !
- ARRÊTE, PAPA ! TU ME FAIS MAL !
- Et toi, tu fais pleurer ta mère !!!
- Tu vas nous rendre cinglés ! On s'est fait un sang d'encre avec ton père !
- Tu as le diable au corps ! Qu'est-ce qu'on a fait pour mériter ça !?!
- Je le ferai plus, je vous le promets ! Je vous le promets !!! ARRÊTEZ ! JE VOUS PROMETS ! VOUS ME FAITES MAL !
La beauté m’était tombée du ciel. Je n’avais aucun mérite. Elle m’ouvrait les visages, les portes et les portefeuilles. Comment ne pas devenir un mégalo-monstre dans ces conditions ? Nous naissons libres et égocentriques. Et le temps passe à l’attaque. Et nous vieillissons prisonniers d’un corps qui se dégrade. « L’esprit peut mieux vieillir que la peau des fesses », dixit mon amie Rubis. Mais on ne parle que de rajeunir les corps. Avoir les idées bien arrêtées n’entrave pas la course du temps
Maître Musashi m'enseigna donc la Voie de la tactique des samouraïs. L'Art de l'union de l'esprit et du sabre. Et, surtout, l'Art d'user de son esprit comme d'une arme.
Il m'apprit les neuf façons d'entrelacer les doigts pour multiplier la force des coups. A grimper sur un mur comme un lézard. A lire l'heure de la journée dans la pupille des chats. A marcher dans l'herbe comme le renard, sans la froisser, sur le bout des doigts et des orteils. Comme la pieuvre sur les planchers, sans les faire grincer. Comme le crabe sur le sable. A ramper comme le serpent. A respirer sous l'eau avec une tige de bambou. A me camoufler avec de la terre, des plantes ou du sable. A reconnaître et à suivre les sentiers des bêtes et à m'écarter de ceux des humains, comme le loup qui peut lire dans l'âme des hommes.
L'eau cuit le poisson. Où est la confiance ?
On pleure, on hurle, on jure, on prie autour de moi. Mais moi je ne crois plus en Dieu, ni en l'Homme, ni en rien au milieu de ce vacarme assourdissant
Qui n'est jamais parti vers le Grand Ouest américain peut se rendre dans l'est de la France. Il en aura une petite idée en errant sur un comice agricole.
Moi, je suis le temps. Pas le temps qu'il fait ! Le temps qui passe... Les femmes me craignent plus que les hommes, mais elles me résistent mieux et vivent plus longtemps qu'eux.
Yen-Yen mange beaucoup de bambou : plus de 25 kg par jour ! Mais il le digère mal… et fait beaucoup de grosses crottes ! Car les pandas sont des ours devenus herbivores il y a très longtemps. Les pauvres ne se sont jamais vraiment adaptés à ce régime.
"Sachez que vous pouvez m'appeler "Tome II" ! Je ne suis ni papa, ni roi, ni fils de roi, ni fils de rien, mais fils de marin !"