Il faut bien l'avouer, il y a pitwak et pitwak. Certains deviennent de bons compagnons, pour la vie, si on s'en occupe bien, mais d'autres vous font des misères, et on est obligé de s'en débarrasser.
Celui que je reçus à mon anniversaire était plutôt de la deuxième catégorie. Il était imparfait, imprévisible, susceptible, coléreux et, en plus, même pas beau.