Pourquoi suis-je si profondément convaincue que ces filles qui se laissent mourir ont une raison commune et secrète, qu’elles cherchent à savoir où est la vie et où est la mort, à cause de quelque chose qu’il fallait leur dire, qu’on n’a pas pu leur dire, quelque chose qui leur fait peur.
Le poids déplacé d’une faute ?