Le mendiant n'est qu'une verrue sur le corps social, qu'on tolère parce que nous vivons dans une ère civilisée, mais c'est un être essentiellement méprisable.
Pourtant, à y regarder de plus près, on s'aperçoit qu'il n'y a pas de différence "fondamentale" entre les moyens d'existence d'un mendiant et ceux de bon nombre de personnes respectables.