« Au soir de ma longue vie, je voudrais être le pauvre et souriant témoin de ce monde rural révolu ou presque. Je me considère comme un homme limité et conscient de mes limites. J’ai été curé de campagne, balancé entre le diable et le bon Dieu, ni un héros, ni un saint, loin de là (…) J’essaie de porter un regard chaleureux sur l’Eglise et la vie des humains de ce pays (…) »
La chapelle embellie par les peintures de saint Charles Boromé de Faravel me portait à la méditation, davantage en tout cas que les leçons de religion, qui étaient données sur un ton monocorde.
Au soir de ma longue vie, je voudrais être le pauvre et souriant témoin de ce monde rural révolu ou presque. Je me considère comme un homme limité et conscient de mes limites. J’ai été curé de campagne, balancé entre le diable et le bon Dieu, ni un héros, ni un saint, loin de là (…) J’essaie de porter un regard chaleureux sur l’Église et la vie des humains de ce pays (…).