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Critiques de Gilles Hertzog (15)
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Le dernier Vénitien

Comment exister fin dix-huitième siècle, à Venise, alors que les fils épousent la profession des pères, comment exister dans l'ombre d'un grand ?

Giandomenico n'a pas pu s'émanciper de Giambattista Tiepolo, peintre de génie de style rococo, dont l'ombre immense a obscurci sa vie. Ce sont les mémoires apocryphes du fils que reconstitue Gilles Hertzog, réalisés à partir de feuillets manuscrits épars trouvés chez un antiquaire, tellement heureux de donner sens à ce fatras qu'il l'offrit à l'auteur.



Comment le destin s'est-il acharné à effacer la notoriété de celui qui eût pu être aussi grand que son père mais qui restera méconnu et oublié. Il signait ses œuvres de Dom. T. fils de Tiepolo ; d'autres œuvres, qui n'avaient pas été signées, étaient datées de 1757 mais avec le temps le 5 finit par se déliter en un 3 ; or, Giandomenico avait 10 ans en 1737 et les œuvres furent attribuées à son père !



Le style est alambiqué, avec de longues phrases et un vocabulaire choisi. Ce roman illustre bien le rapport entre la peinture et son époque, mêlant politique et art dans le cadre de la Sérénissime.

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Le dernier Vénitien

C’est un cri!

De révolte, de frustration, de rancœur mais aussi d’amour filial inconditionnel.



Celui d’un homme qui a passé sa vie dans l’ombre d’un grand nom, fils «de », ouvrier tâcheron de la fabrique Tiepolo, quand on n’attribue pas carrément ses propres œuvres picturales au père, artiste très illustre, Giambattista Tiepolo.



Vieil homme au seuil de la mort, Giandomenico Tiepolo écrit une confession en autobiograpie, comme une dernière tentative d’exister. Il crie justice des hommes et des Arts.



L’écriture m’a ravie autant qu’étouffée, très surannée, travaillée, ampoulée. Une plume enveloppante au phrasé long qui fait faire un saut arrière temporel. Sur le fond, c’est un voyage dans la Venise du 18è siècle , dans les derniers fastes de la Sérénissime, avant que Napoléon ne vienne mettre un terme à une période de fêtes et créations artistiques flamboyantes.



Par une approche érudite de l’époque, peuplée de contemporains fameux, l’auteur nous offre un récit vivant de connaissances picturales dans les techniques et symbolismes, de coutumes populaires, de réflexions critiques sur l’histoire politique, sur la religion et la société.



Une lecture qui donne des codes pour comprendre les œuvres et le contexte de leur création, accompagnée du regret de ne pas les avoir eus au cours de certaines visites touristiques entre Italie, Espagne et Allemagne.



J’ai dégusté cette leçon de peinture et la destinée d’un homme partagé entre chance d’avoir appris dans l’ombre d’un maître et calamité de n’avoir pu saisir sa propre renommée.

Au delà de se réapproprier le talent du père, c’est une belle façon de découvrir l’œuvre du fils discret, aimant et fidèle, artiste inspiré par la vie de ses contemporains dans la décadente Venise à qui il voue un amour inconditionnel.



#netgalley#lederniervenitien

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Le dernier Vénitien

Rentrer dans l'intimité d'un peintre vénitien lorsque l'on est un simple spectateur à s'émerveiller devant les nombreuses œuvres que l'on peut découvrir en visitant Venise : quelle promesse alléchante nous est offerte avec ce roman de Gilles Hertzog narrant la vie de Tiepolo, non pas le grand Tiepolo, Giambattista de son prénom , mais l'un de ses fils, Giandomenico , et c'est de là que vient mon désappointement.



L'auteur présente la vie de ce peintre de la fin du XVIII eme siècle à un tournant de l'histoire de la Sérénissime précipité par l'arrivée de Bonaparte sous forme d'une longue confession écrite au crépuscule de sa vie , par cet homme qui , comme fils de peintre n'a pas eu le choix de sa carrière puisque très jeune, de même que son frère cadet, il sera apprenti dans l'atelier de son père et subira toute sa vie de n'être que le fils du Grand Tiepolo , n'arrivant que ponctuellement à avoir son propre style et une reconnaissance personnelle pour quelques unes de ses œuvres.



On arrive déjà avec Giambattista Tiepolo , premier peintre du nom, à la fin de l'époque des peintres vénitiens , il sera qualifié de peintre rococo , ce qui dans notre vision actuelle n'est pas forcément des plus flatteurs. Vivant dans une Europe au siècle des Lumières, il est appelé dans les différentes cours européennes pour réaliser des fresques généralement de sujets mythologiques ou religieux , suivi et aidé de ses fils . Difficile pour les plus jeunes de s'affranchir d'une préférence d'époque et d'imposer un style nouveau , Mais quand on regarde certaines œuvres de Giandomenico , on sent une évolution moderne et plus originale .



Le personnage n'est pas sympathique, assez imbu de lui-même, complexé et même désabusé comme ce qu'il nous décrit de la société de la Sérénissime, vieillissante et décadente ne vivant que d'apparences , de futilités et de fêtes , balayée par les troupes napoléoniennes dont la représentation post-révolutionnaire était effrayante pour ce monde privilégié .



Une lecture ,donc , au plaisir très mitigé vu le peu d'empathie du personnage et d'une écriture souvent alambiquée .



J'ai apprécié les représentations de quelques tableaux en fin d'ouvrage .



Je remercie NetGalley et les Editions Grasset de leur confiance.



#LeDernierVénitien #NetGalleyFrance
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Le dernier Vénitien



Ce roman invite le lecteur à se translater auXVIIIe dans la vie de la Sérénissime, Venise.

C’est en 18O1, que Giandomenico Tiepolo décide de transcrire sa vie; il a75 ans, voit arriver sa fin ainsi que celle de sa ville tant aimée. L’arrivée des troupes de Bonaparte signe l’arrêt de mort de la République de Venise, de ses frasques et de ses excès.

Le livre commence par un long prologue où Giandomenico, peintre comme son père le grand Tiepolo se lamente de n’avoir éte considéré que comme « le fils de ».

Vient ensuite le récit de sa vie , de sa carrière faite de hauts et de bas, souvent, voire toujours entravée par celle de son père qu’il aime et admire profondément et avec qui il a tout appris, mais il y a là un complexe et une frustation définitifs.

C’est à Würzburg en Bavière que se trouvent certaines de ses plus belles œuvres, il a beaucoup voyagé, on y rencontre Molière, Goldoni, en Espagne il rencontre un gredin, Goya, ils deviendrons amis.

Cette lecture est un beau voyage à une époque révolue, la Sérénissime n’est plus, mais les peintres heureuseusement l’ont immortalisée.

Merci aux Edts Grasset et à @Netgalley pour cette lecture
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Le dernier Vénitien



Découverte d'un peintre (Giandomenco Tiepolo) méconnu, voire totalement inconnu car ayant toujours vécu dans l'ombre de son père, Gianbattista Tiepolo, y compris après la mort de ce dernier.



Il s'agit plus d'un récit écrit à la première personne - que l'on peut également qualifié de mémoire - dans lequel Tiepolo fils évoque la Venise du XVIIIe siècle au point de vue politique, social, artistique ainsi qu'une réflexion sur l'art en général.



Une large part est également donnée aux rapports difficiles de Giandomenico Tiepolo avec son père. Au fil des mots, Tiepolo fils laisse transparaître une certaine rancœur,, une certaine "jalousie" envers celui-ci, tout en avouant, à mots couverts, que son père l'aurait écrasé, empêchant ainsi que son talent n'éclose, et soit reconnu par ses pairs, et, ses concitoyens.

Mais n'est il pas responsable de cet état de fait indirectement ?



Bien qu'ayant trouvé Tiepolo fils antipathique au possible, imbu de sa personne, dédaigneux envers les autres, voire quelque peu "mollasson" car incapable de réagir devant le talent, la personnalité de son père, et ,surtout faire en sorte d'exister par lui même en tant qu'individu et surtout de peintre, ce récit / roman est un magnifique portrait de la Venise du XVIIIe siècle, dite décadente, et, prête à tout pour s'amuser, vivant ainsi sur son "glorieux" passé jusqu'à sa chute lors du traité de Campoformio, signé le 18 octobre 1797, par le général Bonaparte, livrant ainsi Venise aux autrichiens.



Malgré tout, j'avoue une petite préférence pour le Séjour des Dieux du même auteur évoquant la la rivalité entre le Titien et Michel Ange. Pour la petite histoire, Tiepolo fils est le neveu du peintre Guardi.

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Le dernier Vénitien

Ce roman aurait pu tout aussi bien s'appeler « le Monde nouveau », comme la fresque réalisée par Giandomenico Tiepolo en 1791, qui orne sa couverture. Fils du « Grand » Gianbattista Tiepolo, celui-ci a toujours souffert d'être, en sa défaveur, sans cesse comparé à son père, du moins si l'on en croit Gilles Hertzog, qui dans un exercice de quasi-ventriloquie lui donne parole tout au long du roman. le style est donc particulièrement soigné, puisqu'il a l'ambition d'être un manuscrit de Tiepolo fils, retrouvé par l'auteur et publié en l'état !

Si Tiepolo père a été un artiste renommé dans toute l'Europe pour ses fresques baroques, toutes en allégories et apothéoses, Giandomenico a eu l'intention lui de créer une oeuvre qui reflète les derniers feux de l'ancien monde avant qu'il ne disparaisse après la conquête Napoléonienne de 1797. Une oeuvre marquée par des scènes de genre, aristocratiques et populaires, tenues luxueuses et Polichinelles…

La progression du roman est quasi chronologique. Au début Giandomenico Tiepolo est un vieil homme de 75 ans, reclus dans sa villa de Zianigo. On est en 1801 et il entreprend de revenir sur sa vie entière, ce qu'il fera tout du long. Il se considère comme le dernier représentant du monde ancien, d'où le titre de dernier Vénitien.

J'ai été impressionné par la profondeur de ce roman, qui mêle questionnements artistiques et politiques. Si cette lecture a été pour moi source de plaisir, il me faut toutefois prévenir que son rythme est lent, les redites nombreuses comme le ferait un homme parvenu au bout du chemin, qui revient sans cesse sur ses échecs.

Ce serait donc une erreur d'attendre de multiples rebondissements. Dès le début les dés sont jetés, et la suite approfondira ces thématiques.

Gilles Hertzog est sûrement un de ces amoureux de Venise, qui ne se sont jamais vraiment remis de ne pas l'avoir connue au temps de sa splendeur. Cette passion se sent à chaque page.

#LeDernierVénitien #NetGalleyFrance
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Le dernier Vénitien

Ce roman érudit et passionné retrace la vie de Giandomenico Tiepolo. Ce peintre vénitien apprend son art auprès de son père, le très connu, Gianbattista Tiepolo. Un apprentissage qui n’est pas sans poser problème à Giandomenico qui restera durant plus de trente ans dans l’ombre de son génial géniteur.



Le roman de Gilles Hertzog nous emmène dans la Venise du XVIIIème siècle, avant la fin des fastes d’une époque flamboyante.



Le récit est incroyablement vivant, émaillé de dialogues savoureux, nous faisant entrer dans l’intimité de ce peintre qui souffre de se retrouver dans l’ombre de son père mais qui nous conte avec une grande lucidité son époque.



J’ai appris plein de choses sur Venise, les Tiepolo, l’histoire de ce siècle et certains contemporains de Giandomenico dans ce récit au ton intime où se mêlent vie artistique et politique.

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Le dernier Vénitien

Aucun roman n'a jamais été dédié à Gian Domenico Tiepolo, pourtant le dernier grand peintre qu'a donné Venise, la Sérénissime, patrie de tant d'artistes de génie, avant de tomber, en 1797, face aux armées révolutionnaires de Bonaparte. Aucun roman n'a jamais été dédié à cette figure singulière, fils aîné du peintre italien le plus célèbre du XVIIIe siècle, Giovanni Battista Tiepolo. L'histoire est pourtant passionnante : la relation entre le père et le fils, qui cherche sa vie durant à se singulariser du style paternel, l'originalité de ce fils qui, contrairement au père et aux autres peintres de son temps, raconte à travers ses pinceaux la vie quotidienne et délaisse peu à peu la mythologie et la peinture religieuse pour mettre en scène le peuple vénitien, ses divertissements, les loisirs de l'aristocratie, les jeux et moqueries des Polichinelles, doubles ironiques des Vénitiens décadents, le tout avec un trait d'une criante lucidité. La conscience de ce Tiepolo deuxième du nom que Venise court à sa perte. Son amertume de ne pas être reconnu pour autre chose que le fils de son père alors que son art, ses sujets, sont si différents, si modernes...



Tout cela est parfaitement raconté dans ce roman écrit à la première personne mené avec un style ample, précis, éminemment littéraire, qui ne cède à aucune facilité pas plus qu'à la préciosité. Une lecture exigeante mais qui, à travers le destin d'un artiste de génie, témoin infortuné de son époque, fils malheureux d'un père au génie écrasant, nous replonge dans le dernier siècle de splendeur de Venise, dans cette cité-république millénaire qui voit venir sa fin imminente et préfère se murer dans une résignation désabusée et un décadentisme feutré.
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Le Séjour des dieux

Ce roman raconte la lutte fratricide se livrent entre eux, deux peintres de génie : Titien et Michel Ange... ... deux peintres essayant d’imposer leurs talents respectifs et leurs villes c’est à dire Venise et Rome.

Mais à quel prix ???

C’est aussi une réflexion sur l’art, le beau, l’esthétique, la religion, etc.



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Le dernier Vénitien

Dommage : ça m'arrive rarement et je n'aime pas ça mais j'ai abandonné ma lecture. Un personnage hautain et imbu de sa personne, un vocabulaire alambiqué inutilement, une histoire qui peine à démarrer.

Pourtant, j'aime les histoires italiennes autour de l'art et je me faisais une joie. Tant pis.
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Le dernier Vénitien

Gilles Hertzog nous entraîne à Venise et dans la région de Vicence, sur les traces du peintre Giandomenico Tiepolo (1727-1804) pas évident en effet d'exister en tant qu'artiste quand on est le fils du grand Tiepolo...

Entre deux chantiers où il assiste son père, il parvient à trouver sa voie et à peindre par exemple ses Menuets ou son Charlatan (longtemps attribué à son père) , il dessine, grave..., lit Goldoni et Marivaux, qui vont marquer ses oeuvres personnelles.

Fixer la Venise d'hier, de liesse, du carnaval, des fastes avant qu'elle ne soit plus qu'un songe... entre nostalgie et inquiétude face à l'avenir.

Peindre autre chose que des scènes religieuses ou mythologiques, représenter les "vrais gens".

Il finit par se retirer près de Padoue, où il peint des Polichinelles, pour mieux dépeindre ses contemporains à travers eux...

Dans ce roman, c'est Giandomenico qui parle et qui, dans une langue pas toujours simple à lire, surtout au début, revient sur sa vie, les œuvres peintes avec son père , les siennes aussi, ses rencontres , les échos de la Révolution française, mais surtout ses regrets, son amertume, son mal de reconnaissance... peut-être quelques longueurs auraient pu être gommées.

Cela en fait un personnage pour lequel on éprouve finalement assez peu d'empathie.



Bref, un texte intéressant à lire pour le regard posé sur cette période vénitienne, mais qui ne m'a pas totalement convaincue par son choix narratif.
Lien : https://lecture-spectacle.bl..
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Le Séjour des dieux

Le combat des géants aura-t-il lieu? Nous sommes au XVIème siècle, la Renaissance italienne est en son point culminant et deux artistes aux visions opposées brillent plus que les autres Michel Ange à Rome et Titien à Venise. le premier a pour élève disciple et ami Vasari tandis que le second a pour défenseur et publicitaire l'arétin. Chacun a sa ville et ses défenseurs pourtant Titien veut se mesurer au maitre, quittera-t-il Venise pour Rome et le service du Pape ou sera-t-il victime des ambitions des autres. Michel Ange et Titien se rencontreront mais les deux talents tout en s'admirant ne se comprendront malheureusement pas. Nous assistons silencieux à ce dialogue de sourd provoqué par des intérêts extérieurs.

Certains passages de ce livre sont très agréables lire et l'idée de Vasari e narrateur est intéressante mais je ne me suis malheureusement pas passionnée. Il manque un "je ne sais quoi" qui rend un bon livre fantastique.
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Le Séjour des dieux

Narré à la première personne par Giorgio Vasari, le célèbre chroniqueur de la vie des peintres italiens de la Renaissance, ce roman raconte la rivalité qui surgit à Rome entre Michel-Ange, le Florentin, artiste favori des papes, et Titien, le Vénitien, protégés des rois d'Europe, rivalité dont Vasari aurait été, sa vie durant, le témoin privilégié. Un roman où l'on assiste à des débats artistiques sur la philosophie néoplatonicienne, où sont mises en scènes amours vénales et courtisanes dénudées tandis que manigances et complots sont ourdis pour obtenir les commandes les plus prestigieuses. On y rencontre tour à tour le facétieux poète L'Arétin, à la plume d'une persifleuse acidité, le magnanime Paul III Farnèse, souverain pontife qui recourt tour à tour aux services de Michel-Ange et de Titien ou encore le terrible cardinal Carafa, censeur des images licencieuses et ennemi acharné des artistes insoumis.Un roman mené avec un style recherché et documenté qui éclaire au lecteur le contexte d'une époque où se mouvaient deux génies de l'art, très conscients de leur talent et entendant sciemment laisser une trace indélébile dans l'Histoire. Mais ce récit est aussi celui d'une opposition philosophique, entre Michel-Ange le Florentin, sculpteur de la forme parfaite, peintre de la ligne, en quête de la Beauté idéale et Titien, peintre de la couleur, peintre de la femme et des beautés terrestres, rejeton de Venise la libre, cité de tous les plaisirs. Voilà une lecture exigeante qui nous porte au coeur de la pensée - et de la vie - de la civilisation de la Renaissance et qui, contrairement à bien des romans campés à la même époque, connaît son sujet aussi bien que le ferait un historien.
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Le dernier Vénitien

Ça traîne tellement en longueur, c’est tellement répétitif (je vous jure que ça tourne mine de rien très vite en rond !) que j'ai abandonné vers la centième page. J'en attendais tellement ; mais dès le début tu sens que ça brode beaucoup trop pour dire sans arrêt la même chose.

Je rêvais de lire ce livre depuis sa sortie, je l'ai (heureusement) acheté d'occasion.
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Le Séjour des dieux

Une excellente manière d’entrer dans la controverse qui opposa les tenants du dessin à ceux de la couleur... et de découvrir aussi la face caché de ces géants. Une belle ballade dans le passé.
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