Grégoire Solotareff

Recherche bon vieux gars enjoué avec une barbe naturelle bien soignée, blanche ou teinte pour la saison, une excellente hygiène dentaire [indispensable contre la mauvaise haleine! Malgré le masque ?], capable de sourire souvent, de savoir écouter, de chanter fort et de soulever plus de 10 kilos". Lexpress.fr le 18/12/21.

Pénurie de Père Noël, à cause de la pandémie...





Un petit garçon nommé Noël trouve un sac rouge abandonné et rempli de jouets, avec un message.

- "A celui qui trouvera ce grand sac rouge, nous te donnons rendez vous demain!"





Quand Noël revint le lendemain auprès du sac, une lettre l'attendait. Des nains magiciens, fabricants de jouets arrivèrent.: Pomme, Pouce et Cochonnet.

"Mon cher Noël, nous t'avons aperçu hier soir ( déguisés en oiseau et en lapin" pas en lutin hein! ) STP, peux tu nous aider?

Pomme demanda à Noël de se pencher et lui chuchota quelque chose à l'oreille..."





Le petit garçon retourna chez lui en dansant de joie.

Les 3 nains magiciens fabriquèrent un traîneau et trouvèrent des rennes volants, dans un pays lointain. Le 24 décembre, Noël se mit au travail!

Si vous voyez un gamin avec une barbe blanche, c'est le petit Père Noël.





A l'approche des Fêtes, le monde est en crise. On ne trouve plus un seul Père Noël.

Un Papa Noël avec de l'expérience (qui a suivi plus de 100 heures de formation dans une des différentes écoles spécialisées où on lui apprend notamment à boucler sa barbe) peut toucher plus de 150 dollars.

On craint un scénario catastrophe, comme celui du film "Bad Santa "dans lequel le Père Noël du magasin est un petit escroc alcoolique accro au sexe. :)

Dur, dur #BalancetonPèreNoël !

C'est un « beau livre » comme les éditions de L'École des loisirs savent les faire : clair-obscur fascinant sur la couverture épaisse, dos tissé, beau papier. On tourne la première page et d'emblée, le suspense est au plus haut. On sait que quelque chose d'extraordinaire est sur le point d'arriver, le soir tombe, l'obscurité s'installe, des pas lourds se font entendre dans le grenier…



« J'habite avec mes parents une vieille maison isolée, au-dessus de la mer. Dans ces maisons-là, il se passe parfois des choses extraordinaires. Une nuit, voici ce qu'il est arrivé. »



C'est le coeur battant qu'avec le jeune narrateur, nous avons ouvert la porte qui y mène, nous demandant si nous avions atterri dans un conte (« une nuit » ne sonne-t-il pas un peu comme « il était une fois ? ») ou un thriller.



Les illustrations sont vraiment somptueuses (des extraits sont accessibles via le lien ci-dessous). Chaque page déborde de détails qui ravissent la rétine : une antique clé dans la serrure, des peluches désarmantes d'expressivité, le glaçage des pâtisseries…



Comme dans l'adoré Max et les Maximonstres de Maurice Sendak, cette expédition nocturne est initiatique. le protagoniste, qui rêve d'écrire, en apprend un rayon sur la fabrique des histoires. Nous avons été captivés de découvrir de quoi elles sont faites.



Certaines symboliques nous ont laissés un peu perplexes (nous nous sommes demandé ce que représentaient certains obstacles rencontrés, je n'en dis pas plus pour ne pas divulgâcher) mais cette histoire très visuelle, presque cinématographique, n'en est pas moins magnifiquement racontée. Les mots et les illustrations jouent chacun leur rôle pour placer ce récit sous tension. Les auteurs savent ralentir le rythme de la narration aux moments les plus tendus, jouer des points de suspension et de jeux de lumière ménageant d'inquiétantes zones d'ombres pour nous faire frissonner, mêler péripéties et leçons de vie jusqu'à un dénouement apaisant.



Une réussite graphique et scénique qui rend joliment hommage aux souvenirs d'enfance et aux pouvoirs de l'imagination !
Lien : http://ileauxtresors.blog/20..

« Il était une fois un lapin qui n’avait jamais vu de loup… et un jeune loup qui n’avait jamais vu de lapin. » Quand Loulou rencontre Tom, il n’y a donc aucune raison pour que le premier ne devienne pas ami avec le second. Ils vont à la pêche et jouent à se faire peur. Mais Tom a vraiment peur de Loulou, à tel point qu’il ne veut plus le voir. « La nuit venue, Tom rêve que Loulou était énorme, noir et rouge et qu’il le mangeait. » Pour que le jeune loup et le jeune lapin redeviennent amis, il faudrait que le loup comprenne la peur du lapin.



Voilà une belle histoire d’amitié qui met en avant les différences que peuvent rencontrer deux êtres qui ont pourtant très envie de se fréquenter. L’amitié n’est jamais gagnée d’avance, elle se travaille, elle se préserve. Il faut écouter les peurs de l’autre, ses doutes et ne pas le juger hâtivement.

Parce que différent des autres habitants, un "garçon" prénommé Jason souffre tant des moqueries qu'il décidera de s'extraire du monde des vivants pour partir vivre en solitaire (mi homme mi-bête) dans une grotte.



Quand une petite fille chute près de son refuge, c'est tout l'existence de Jason qui s'en trouvera changée.



Rien de mièvre dans cet album à la thématique originale,aux couleurs fortes et aux dessins très travaillés qui font penser à Olga Lecaye.



J'adore la stupéfaction des enfants face à cet être étrange en souffrance, et les échanges à caractère philosophique autour de cette lecture sont alors d'une grande richesse.


Lien : http://justelire.fr/le-diabl..

L'idée de la comparaison entre l'éléphant et le lion (qui est finalement le plus grand ?) est intéressante et passe assez bien auprès des enfants, mais j’avoue que je ne trouve pas le graphisme très élaboré.

C’est l’histoire de trois copains, un lapin, un chat et un loup, qui veulent se déguiser en fantôme, mais à cause de leurs oreilles ils sont trop identifiables et ne parviennent pas à se faire peur… Du coup, les voilà à attendre patiemment la tombée de la nuit pour aller hanter la forêt. Mais là, tout de suite, c’est plus la même histoire et, dans le noir, nos trois copains se sentent un peu moins téméraires…



Voilà un tout carton tout simple, imaginé par Grégoire Solotareff avec des fantômes pas vraiment inquiétants qui jouent à se faire peur et y parviennent à défaut de faire peur au petit lecteur, plus amusé qu’effrayé par leur déconvenue… Les illustrations sont claires et très épurées, le trait un peu grossier mais les couleurs vives plaisent aux petits. Bref, un petit album sympathique mais sans plus, idéal pour Halloween, même s’il ne laissera pas un souvenir impérissable.

Loulou part à la recherche de sa mère, Olympe de Wolfenberg. Il débarque dans un pays où les sans crocs n'ont pas leur place. Un monde où les rebelles tentent de déstabiliser le pouvoir en place.



Comme un chien dans un jeu de quille, Loulou et son ami, Tom le Lapin, vont devoir démêler les fils afin de trouver "l'incroyable secret" !



Une très jolie bande dessinée qui prend par moment l'apparence d'un album pour enfant. La complexité de l'histoire demande pourtant un lecteur perspicace ! Jeux de mots, humour, décalage nous font suivre une aventure à la recherche des racines du jeune loup.



La fin étonnante répond bien à l'univers du conte avec l'émergence d'une dimension du merveilleux....



Un livre riche, dense, beau mais complexe !

Prenez un jeune loup et un lapin. Faites-en deux super copains qui jouent à se faire peur et vous obtiendrez une superbe histoire sur l'amitié et la différence sous le pinceau expert de Solotareff.



L'auteur est reconnaissable à la fois par son style graphique et ses couleurs tranchées, vives.



Loulou est un superbe album émouvant, intelligent qui aborde de façon sensible et tendre des thèmes pas toujours faciles. Une belle rencontre à lire et partager que l'on soit petit ou grand.

Une belle histoire d'amour naissant que Solotareff nous conte avec toute la spontanéité du discours enfantin avec ses interrogations face à des sujets plus ou moins graves, à tous ces changements qu'impliquent le passage de l'enfance à l'adolescence, aux périodes troublées, aux événements de l'Histoire qui nous touchent plus ou moins selon notre sensibilité.

Ce roman a trouvé pour moi une résonance avec l'actualité, m'a émue dans sa candeur et cette gravité juvénile face à la mort et à la maladie et pourtant terriblement optimiste.

Je connaissais et adorais déjà Solotareff pour son univers graphique si riche et coloré. On retrouve dans sa verve romanesque son amour de la vie et l'importance qu'accorde son oeuvre à l'amour et à l'attachement entre les êtres.

Tout ça dans le cadre d'une Bretagne aux accents d'autrefois, perdue dans un temps révolu et insouciant au merveilleux goût de sel.

Valentin était un chat comme tous les autres chats, sauf qu’il était d’une couleur vraiment unique, originale et… différente: le rouge, qui l’obligeait à rester à l’écart des autres chats, moqueurs. Il vivait seul, il se cachait dans la forêt. Un jour, pourtant, Valentin se sentit moins seul. Ce fut le jour où il sauva la vie à une chatte complètement blanche. Mais à la tombée de la nuit, le loup fait son entrée… Heureusement, ils parviennent à échapper à ses griffes. Ils continuent alors leur chemin dans la forêt, la nuit est tombée, et ils voudraient retrouver leur chemin.



C’est là qu’ils aperçoivent une maison : la maison de la sorcière. Le loup les suit toujours… Mais loin de là l’idée de les manger ! Non, ce que veut le loup, ce sont des médicaments pour soigner ses dents. Le loup parti, la sorcière veut engager les chats pour qu’ils chassent souris, lapins et rouge-gorge et qu’ils aillent lui chercher du lait au village. Les chats se rendent alors au village, boivent le lait et trouvent un grenier dans lequel s’installer. Car « Les chats sont comme ça : ils n’obéissent jamais ».



Grégoire Solotareff est un des auteurs les plus connus de la littérature jeunesse, avec notamment le personnage de Loulou immortalisé par le cinéma. Ses dessins sont caractérisés par des aplats de couleur pure, parfois modelés au pinceau, toujours soulignés d'un gros trait noir, et donnant à l'ensemble un caractère presque flottant.



Ici, avec son nouveau personnage, le chat Valentin, il ne déroge pas à ses principes de bases, et au niveau de la forme et de la singularité de ses traits et de ses décors, et au niveau du fond avec un appel à la différence et à la tolérance comme il a l'habitude de le faire .

Solotareff use également ici de son talent immense de désamorcer les situation potentiellement angoissantes et anxiogènes pour les enfants (le loup, la sorcière) par la pointe d'humour salvateur et inattendu. Un grand cru 2014 qui plaira aux enfants comme à leurs parents.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Deux adorables souris squattent la célèbre "chambre à coucher" de Vincent Van Gogh, peinte en 1888. L'artiste n'ignore pas leur présence, la tolère : c'est un "gentil", et "il s'en fiche".

Elle s'en donnent à cœur joie en son absence : barbotent dans sa bassine de rasage, jouent sur son lit, escaladent le fauteuil de l'ami Paul (Gauguin), utilisent ses pinceaux et crayons...



Formidable idée de proposer une incursion dans un tableau connu, et fidèlement reproduit ici. D'autant que cette œuvre, souvent affichée dans les écoles, est familière aux jeunes enfants.



Attention cependant. C'est un album, oui, rangé dans un des bacs 'Premières lectures' de notre médiathèque. Mais si les souris ont une allure toute mignonne, très enfantine, comme les animaux de Kimiko dans les livres pour 'tout-petits', l'ouvrage est plus ardu qu'il n'y paraît (beaucoup de texte) et peut mettre mal à l'aise. L'auto-mutilation de Van Gogh est évoquée, des explications sur les tourments de l'artiste me semblent indispensables auprès des jeunes lecteurs.



Pas avant 7-8 ans, donc. Mais je me pose toujours cette question en découvrant les sélections "école primaire" du Jury des Incorruptibles : les enfants qui maîtrisent la lecture s'intéressent-ils encore aux albums, autres que ceux d'humour (cf. Emile Bravo), ou de BD bien sûr ?

Un loup né blanc dans une famille de loup gris... ça fait tâche.

Plutôt que de l'accepter comme tel, le louveteau est abandonné seul dans la forêt en plein hiver.

Il survit pourtant .

Puis un jour, il rencontre un loup noir, seul lui aussi...



Une jolie histoire sur la tolérance, l'amitié et la différence. Un thème et un schéma narratif assez classique - non seulement depuis le Vilain petit canard d'Andersen - mais aussi pour la collection de l'école des loisirs.

Mais ce côté "déjà lu" n'empêche pas les petits lecteurs d'apprécier, et tant mieux !

Lecture assez plaisante dont la morale est surtout que les différences entre filles et garçons ne sont pas toujours aussi nettes qu'on pourrait le croire.

Quand on a déjà lu des livres de cet auteur, on a toujours un petit plaisir à retrouver son univers, sa façon de dessiner des lapins, des loups, des arbres.



Le pitch



Jeanne et Jean sont un frère et une sœur qui se promènent dans la foret et s'amusent toujours un peu à se faire peur. Un jour ils sont obligés de trouver un abri sur place pour passer la nuit car ils sont trop loin de chez eux. Mais Jeanne a faim et elle s'aventure seule dans la nuit. Elle va alors croiser Abraham le magicien.



Ce qu'ils en ont pensé

Ils ont été très sensibles aux couleurs du ciel et à l'atmosphère qui change selon les moments de la journée. Cet album évoque les peurs enfantines : peur du loup, peur du noir et cela a forcément un écho chez eux. Ils ont aimé aussi la façon dont l'auteur ménage le suspense et les surprend avec la révélation finale.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

De nombreuses histoires courtes.

Ici, les animaux, les lutins, les sorcières et le père noël nous font partager leur vie tout au long de l'automne.

C'est un petit monde rempli de sentiments divers toujours juste, dont on peut faire le parallèle avec le nôtre, avec une morale pour chacune des histoires.

Cela m' a fait sourire bien souvent, et c'est tellement empreint de bon sentiment et d'intelligence que c'était reposant comme lecture.

Je lirais avec plaisir les contes d'hiver, de printemps et d'été.

Entre lapins, belettes, éléphants, lutins, sorcières et le Père Noël en pleine préparation, on se ballade en forêt, entre feuilles mortes et premières neiges.

Entre anthropomorphisme animalier propre au genre et créatures mythiques des bois et forêts automnales, Solotareff nous mène par ces petits contes et ces illustrations toujours aussi particulières à des réflexions très matures pour un livre pour enfant. De quoi, lancer des débats avec les jeunes lecteurs ou créer des écritures inventives autour de ces morceaux choisis d'histoires. Une jolie lecture plein de fantaisie.

C’est grâce à l’anniversaire des 50 ans de l’Ecole des Loisirs que j’ai découvert ce livre. Lors d’un petit reportage sur leurs livres adaptés en dessins animés, visionné dans la Bibliothèque Municipale de Lyon, j’ai vu pour la première fois U, une licorne faisant amie avec Mona. J’ai pensé que ça pouvait plaire à mes enfants et je l’ai emprunté dès que je l’ai trouvé.

Dans l’ensemble, j’ai aimé parce que c’est une histoire sur la fin de l’enfance, sur l’amitié mais j’ai eu un peu de mal avec les personnages avec des formes et faces étranges et des liens entre eux, un peu difficiles à se rappeler, surtout pour des enfants. Les différentes scènes semblent assez hachées, sans véritable rapport parfois… Je suis curieuse de voir ce que ça peut donner en dessin animé, peut-être que cette impression ne sera pas. En tout cas, je conseille cet album pour le message d’amitié qu’il fait passer.

Voici la BD éditée chez l'éditeur Rue de Sevres qui reprend fidèlément la trame du film et en prolonge le plaisir avec ...férocité !!!

le Loulou de Grégoire Solotareff n'est pas un loup comme les autres ; végétarien, doux comme un agneau, il est de surcroit le meilleur ami d'un lapin qu'il connait depuis sa plus jeune enfance. Et Loulou est aimé par tout le monde puisque son incroyable secret a reçu le césar du meilleur film d'animation lors de la récente cérémonie des Césars. J'ai pu le rattraper en DVD juste avant sa conscrécation car le film sort en DVD le 18 avril prochain chez Dipahana.



Ce film, qui était sorti en salles en décembre dernier, reprend comme personnage principal le héros que Grégoire Solotareff a créé en 1989 dans son album simplement appellé Loulou et qui est un vrai classique de la littérature jeunesse.



Après un moyen métrage particulièrement réussi et délectable, sorti en salles il y a quelques années, Grégoire Solotareff a pris visiblement beaucoup de plaisir à nous faire retrouver Loulou et Tom quelques années après leur rencontres, qui profitent de la douce vie au pays des lapins avant d'entrer dans une roulotte où une bohémienne les invite à entrer. Et là, notre si adorable louveteau apprend une sacrée nouvelle ; lui qui croyait être orphelin a une maman qui l'attend à Wolfenberg, au pays des loups, prénomée Olympe . Du coup, sans hésiter une seconde, Loulou et Tom arrivent dans la cité des loups, alors en pleine réjouissance ; le fameux " festival de Carne" ( on appréciera le jeu de mot) est sur le point de commencer.

le Loulou de Grégoire Solotareff n'est pas un loup comme les autres ; végétarien, doux comme un agneau, il est de surcroit le meilleur ami d'un lapin qu'il connait depuis sa plus jeune enfance. Et Loulou est aimé par tout le monde puisque son incroyable secret a reçu le césar du meilleur film d'animation lors de la récente cérémonie des Césars. J'ai pu le rattraper en DVD juste avant sa conscrécation car le film sort en DVD le 18 avril prochain chez Dipahana.



Ce film, qui était sorti en salles en décembre dernier, reprend comme personnage principal le héros que Grégoire Solotareff a créé en 1989 dans son album simplement appellé Loulou et qui est un vrai classique de la littérature jeunesse.

Grégoire Solotareff a pris visiblement beaucoup de plaisir à nous faire retrouver Loulou et Tom quelques années après leur rencontres, qui profitent de la douce vie au pays des lapins avant d'entrer dans une roulotte où une bohémienne les invite à entrer. Et là, notre si adorable louveteau apprend une sacrée nouvelle ; lui qui croyait être orphelin a une maman qui l'attend à Wolfenberg, au pays des loups, prénomée Olympe . Du coup, sans hésiter une seconde, Loulou et Tom arrivent dans la cité des loups, alors en pleine réjouissance ; le fameux " festival de Carne" ( on appréciera le jeu de mot) est sur le point de commencer.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Encore un classique de la littérature jeunesse, mais celui ci j'en suis encore plus fou que mes gosses, et je l'ai en fait découvert d'abord par le biais de la superbe adaptation cinématographique.

Ici, la question des peurs enfantines est superbement détournée par l'auteur, qui choisit de détourner la question en posant une histoire d'amitié impossible entre le loup et le lapin.

Un livre qui m'a marquée enfant et qui enchante aujourd'hui mon fils.

Une belle histoire qui raconte l'enfance de Noël, un petit garçon choisi par les trois nains magiciens afin de les aider à distribuer les cadeaux, le 24 décembre. Plus tard, il apprend à fabriquer lui-même les jouets et devient le Père Noël lorsque ses trois compagnons le jugent prêt à accomplir, seul, cette mission.

Une histoire bien écrite qui donne envie aux enfants de croiser les trois nains magiciens Pomme, Pouce et Cochonnet afin de devenir eux aussi le Père Noël.