L’art industriel était un établissement hybride, comprenant un journal de peinture et un magazine de tableau.
Le pont était Sali par des écales de noix, des bouts de cigares, des pelures de poires, des détritus de charcuterie apportés dans du papier.
Ainsi les jours s’écoulaient, dans la répétition des mêmes ennuis et des habitudes contractés.