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2.52/5 (sur 22 notes)

Nationalité : Espagne
Né(e) à : Madrid , le 08/1918
Mort(e) à : Sant Pere de Ribes , le 13/03/1996
Biographie :

Enrique Sánchez Pascual est un écrivain espagnol.

Il a écrit sous de nombreux pseudonymes dont
Heinrich Zimmer, Hans Klüberg, Karl Von Vereiter, Ludwig Kranz.

Il est étudiant en médecine lorsque éclate la guerre d’Espagne. Républicain, il s’exile en France lorsque les choses tournent mal. En France, il y rencontre sa future femme Angeles Abuli qu’il épousera et dont il aura 5 enfants : Christiane, Roland, Yolande, May et le scénariste de BD Enrique Sánchez Abulí (1945).

De retour au pays après la guerre, il aura quelques ennuis avec la justice et fera un séjour en prison, à la prison de Figueras. Une fois sorti, durant le second conflit mondial, il travaille à Madrid comme représentant d'un laboratoire pharmaceutique et il écrit des poèmes ironiques dédiés à la communauté médicale, jusqu'à ce que, encouragé par un ami écrivain, il décide de se lancer dans l'écriture, tentant sa chance dans le domaine de la littérature populaire, alors en plein essor.

Toute la famille s'installe alors à Barcelone, et l'homme poursuit alors une carrière prolifique dans diverses parutions de science-fiction mais aussi dans plusieurs autres genres, sous de nombreux noms de plume et différentes formes : romans, scénarios, poèmes, articles, pièces de théâtre, traductions, westerns, biographies, études historiques...

Cet auteur n'a quasiment jamais écrit sous son vrai nom et comptabilise au moins 36 pseudonymes, surtout à consonance anglo-saxonne pour la SF et germanique pour les romans de guerre. On recense pas moins de 350 romans écrits par lui.
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Source : amazon
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
« Je la serrai dans mes bras, tendrement, car elle était la seule chose qui me poussait encore à vivre. Lovée sur ma poitrine, elle ne disait rien, ne voulait rien dire des expériences qu'on faisait dans le baraquement « L » du Ranvier. Soudain, la porte s'ouvrit et le Kapo, le visage défait, m'interpela :
« — Docteur ! J'avais mis les corps des nains dans les chaudières, comme on me l'avait commandé, pour en ôter la chair avant d'envoyer les squelettes au Musée d'Ethnologie de Berlin...
« — Et bien ? lui demandai-je.
« — Des Polonais sont allés attiser le feu. Ils ont cru qu'on préparait un repas... et, ils ont bouffé les petits hommes ! ».

Source : Gerfaut
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- Parfait, voilà ton nouveau maître, Janira !
- Mais, je n'ai pas encore accepté, protesta Sleiter.
Le SS haussa les épaules.
- Comme vous voudrez ! Je la passerai à mes hommes...
Un frisson glaca l'échine de Sleiter. Mais la jeune fille n'avait même pas cillé.
C'était l'image même du fatalisme.
Sleiter s'entendit répondre, la voix blanche :
- Non... Je la prends...
Le Sturmbannführer hoqueta d'un rire gras.
- Vous m'en reparlerez, cher ami ! Ce n'est pas vraiment un cadeau, je vous l'assure. Et pour réchauffer au lit, faudrait lui foutre un lance-flammes aux fesses !
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Mains liées derrière le dos, Wulf et Koester furent obligés de s'agenouiller sur le bord de la route ? Tandis que Victor Ivanovich creusait une tombe pour Natacha, les partisans, à coups de crosse, enfoncèrent les douilles vides dans le crâne des " S.S..

A la cosaque !
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Ils pensaient avoir tout donné à leur Patrie : qui son bras, qui sa jambe, son œil, ses mains ou ses pieds, ou son visage brûlé par les lance-flammes russes...
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Elle frissonna et serra davantage son mince manteau contre son corps transi. Ce fut alors qu'elle entendit le cri, plutôt un rugissement, un grognement de bête sauvage...

Elle se secoua, regarda autour d'elle avec des yeux que la peur élargissait. Un autre grognement lui parvint, cette fois-ci distinctement, et elle se tourna vers l'espace obscur qui cachait l'accès d'une petite ruelle, en cul-de-sac, située à sa gauche.
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- Alors, chien de Nazi, on a peur de mourir pour son Führer bien-aimé ?
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