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Critiques de Hiro Mashima (1093)
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Fairy Tail, tome 1

CHALLENGE PETITS PLAISIRS ( 21/40)



Dans un univers de fantasy, les mages s’organisent en guildes et gagnent ainsi un meilleur accès à différentes missions, ce qui leur permet de se faire de l’argent et d’aider les gens. Fairy Tail est une de ces guildes, particulièrement réputée pour son efficacité… ainsi que son manque total de considération pour les dommages matériels collatéraux.



Nous suivons Lucy, une jeune mage constéllationniste, qui rêverait d’en être un jour membre. Elle se voit entraînée malgré elle dans une affaire d’imposture et se fait sauver par Natsu et son chat volant Happy. Ce jeune homme un peu à l’ouest, mais au sang bouillonnant, est lui aussi magicien et maîtrise le feu. Coup de bol, il fait partie de la guilde de Fairy Tail et propose à Lucy de l’intégrer, pour son plus grand bonheur.



Alors, c'est vrai les dessins ressemblent beaucoup à One Piece pour ne citer que lui, Natsu fait penser à Luffy, mais qu’est-ce que c’est bien fait et qu’est-ce que c’est bon ! Hiro Mashima a énormément progressé depuis Rave et témoigne ici d’une maîtrise graphique stupéfiante, dans son style hérité d’Akira Toriyama. Ses planches présentent des dynamiques puissantes et des angles travaillés. Elles mettent en valeur un rythme ultra-soutenu.



On ne s’ennuie jamais. L’auteur réussit un mélange inattendu entre la fantasy, l’action et l’humour décalé. Les membres de Fairy Tail sont enflammés comme pas possible et se tapent dessus pour un oui ou pour un non. L’univers de magie très shônen s’avère attrayant et bien construit. Pas trop de dépassement de soi, pas de but du style « devenir le plus fort du monde », mais beaucoup d’aventures et de plaisanteries. L’humour, détonant et omniprésent, donne la cadence dans ce titre qui ne se prend pas au sérieux.



Ce ton colle parfaitement avec la spontanéité et la fraîcheur dont fait preuve Mashima pour écrire son manga : au jour le jour, comme il en témoigne dans la postface du deuxième volume.



A ce jour 42 tomes sont sortis, et je fait une deuxième lecture en y prenant toujours autant de plaisir. Par contre si vous cherchez des arc intenses qui durent pendant 5-10 tomes comme dans Bleach, One Pièce ou Naruto, ce n’est pas le cas ici. Les plus gros arcs s’étendent sur 3-5 tomes grand maximum. Mais attention ils n’en sont pas moins intéressant pour autant. Personnellement j’ai un gros coup de coeur pour l’arc Edolas qui apporte énormément à la connaissance de la guilde et de l’univers de Fairy Tail.



Ce manga est une bouffé de fraicheur, l’humour est simple mais efficace, les cases sont parfaitement claires et lisibles et surtout on ne suit pas qu’un seul personnage. La ou dans certains shonens commencent avec un héros et rajoutent ensuite toute une équipe, Fairy Tail prend à contre-pied en nous présentant très tôt la quasi totalité de la guilde.



A savoir également que plusieurs spin-offs sont en cours, notamment le très attendu Fairy Tail Zéro avec Mavis Vermilion comme héroïne principale et racontera la création de la Guilde de Fairy Tail.

Affaire à suivre pour les fans :)
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Fairy Tail, tome 1

Durant les années 1990 j’ai été un manga addict enchaînant titres sur titres… avant de finalement passer à autres choses avec la généralisation des séries dépassant les 50 tomes. Maintenant que la médiathèque municipale est bien achalandée dans ce domaine, je m’y remets de plus belle. En tant qu’amateur fantasy, mon premier s’est porté sur le phénomène "Fairy Tail"…

L’univers des mangas est pleins de conventions à et de gimmicks éculés, et la galaxie shonen est de loin la plus touchée par les effets de modes en étant régulièrement victimes de guerres des clones… Mais cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un titre aussi impersonnel. Je ne connaissais pas du tout l’auteur Hiro Mashima, et pourtant j’ai l’impression de le connaître son style et ses idées depuis une éternité tellement tout est repiqué d’ailleurs. C’est quand même bien dommage pour un mangaka qui n’a jamais subit l’influence d’une école ou d’un mentor de n’avoir pas su apporter de véritable plus-value personnelle à ses nombreux emprunts / hommages…





Déjà de loin, on peut facilement croire que les personnages de "Fariy Tail" sont interchangeables avec ceux de "Bleach" ou de "One Piece".

Mais en fait on ne fait que suivre les modes du moment qui simplifient un charadesign et des décors déjà assez simples dans le but de pouvoir dessiner plus facilement et plus rapidement (pour faire plus de pages plus vite quoi). J’ai cru voir au départ qu’on effectuait des reprises du "Shaman King" d’Hiroyuki Takei, mais en fait on puise largement dans le "Hunter X Hunter" de Yoshihiro Togashi, le plus doué des héritiers d’Akira Toriyama (auquel les tomes suivants empruntent tellement de trucs que cela en devient gênant : cadrage, concepts, personnages…)

Citons également en vrac (outre tous les trucs à la "Dragonball", mais ça c’est presque devenu un passage obligé ^^) :

- les monstres de "Dragonquest"

- les invocations de "Final Fantasy"

- l’humour burlesque de "Muscleman"

- les pépés bombesques de "Code Geass"

- les symboles astrologiques de Masami Kuramada



Natsu lui-même (dont le nom signifie « été » en japonais) présente de faux-airs du guerrier fashion victim de "Secret of Mana", et son maître-sortilège est repiqué au Hiei de Yoshihiro Togashi ("Yu Yu Hakusho").



Nous entrons dans l’univers par les yeux de la jeune Lucy qui rêve d’intéger Fairy Tail, la guilde de magiciens la plus hype du moment. On nous présente donc des magiciens hipsters qui doivent s’inscrire dans une guilde, pour ensuite partir en train ou en voiture avec leurs potes pour accomplir des quêtes de difficulté croissantes dans le but de récolter de l’argent, de l’expérience et du loot… quand ils n’affrontent pas d’autres guildes, clandestines parfois… Les geeks addicts aux MMORPG arcanepunk ne peuvent qu’adorer !

Toutefois on sent trop et trop rapidement un esprit racaille dans le langage faussement djeun avec des « salut les nazes », « ferme ta gueule », « dégage vieux shnock », « ça me gonfle » et autres « c’est quoi ce délire ? » (mais peut-être est un problème de traduction ?). Les runnings gags à base de gros seins et de petites culottes relevant du fanservice lourd pour otakus relou n’aident pas non plus. D’ailleurs on retrouve dès le départ les sylphides adolescentes à longues jambes et à forte poitrine avec lesquelles les auteurs vont jouer à la poupée barbie durant toute la série (mini jupes, mini shorts, bikinis, costumes de soubrette ou de bunny girl…). Ces faux-rebelles se croient brillants et branchouilles et se présentent comme des badass, mais je les ai vus comme des branlous qui passent leur temps à zoner, à picoler et se bastonner… comme tous les has been de la téléréalité (qui n’a rien de réel puisque tout y est forcé et artificiel)… C’est un peu la transposition de l’esprit bozoku à la nouvelle geek generation !^^



Le manga est hyper rythmé : on alterne sans aucune pause les blagounettes de Happy le chat ailé, les enflammades de Lucy l’invocatrice constellationistes et les pétages de plomb à répétition de Natsu le magicien du feu fort en gueule et en combat à mains nues… Mais cela grimace en permanence et c’est la foire aux caricatures limites Super Deformed, et comme d’habitude depuis pas mal d’années déjà les combats sont illisibles… (Soupir.)

Les 2 histoires de ce tome ne sont des prétextes à une suite ininterrompue de gags burlesques et de délires loufoques :

- les 3 compères affrontent lors de leur première association Salamander, un mage négrier spécialisé dans traite des adolescentes (Soupir.)

- à la demande du petit Romeo, les 3 compères partent à la rescousse du magicien Macao qui a disparu dans la montagne, mais en affrontant le démon Balkan, Lucy se retrouve piégé entre un gorille pervers est son minotaure macho aux mains baladeuses (Soupir.)

Par contre le fil directeur de Natsu en quête d’Ignir, le dragon qui lui a servi de père adoptif, et qui finalement se voit dans tous les fils à la recherche de leur père, m’a plutôt touché. Cela sent le vécu de la part d’Hiro Mashima et c’est peut-être la seule véritable touche personnelle de cet attrape-tout (effectivement il a perdu son père assez jeune et a plus ou moins été élevé par son grand-père).





Maintenant que j’ai fait mon deuil du manga d’aventure, j’espère aborder le tome 2 avec l’état d’esprit adéquat pour apprécier cette succession non-stop de gros délires arcanepunk ! ^^
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Fairy Tail, tome 2

Durant les années 1990 j’ai été un manga addict enchaînant titres sur titres… avant de finalement passer à autres choses avec la généralisation des séries dépassant les 50 tomes. Maintenant que la médiathèque municipale est bien achalandée dans ce domaine, je m’y remets de plus belle. En tant qu’amateur fantasy, mon premier s’est porté sur le phénomène "Fairy Tail"…

L’univers des mangas est pleins de conventions à et de gimmicks éculés, et la galaxie shonen est de loin la plus touchée par les effets de modes en étant régulièrement victimes de guerres des clones… Mais cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un titre aussi impersonnel. Je ne connaissais pas du tout l’auteur Hiro Mashima, et pourtant j’ai l’impression de le connaître son style et ses idées depuis une éternité tellement tout est repiqué d’ailleurs. C’est quand même bien dommage pour un mangaka qui n’a jamais subit l’influence d’une école ou d’un mentor de n’avoir pas su apporter de véritable plus-value personnelle à ses nombreux emprunts / hommages…





Ayant fait mon deuil du manga d’aventure à la lecture du tome 2, j’ai démarré le tome 2 avec de bonne résolutions pour partager les délires de l’auteur.

Las, le premier récit de ce volume consacré à l’opération « Day Break » est particulièrement médiocre : il faut récupérer un livre chez un vilain digne d’un Bob l’éponge, entouré de sbires qui ne ressemblent à rien menés par un bodybuildeuse est-allemande déguisée en soubrette (qui pour ne gâcher est repiquée à Yoshihiro Togashi…). Ça hurle, ça grimace, ça cabotine, ça pète des câble dans tous les sens et en permanence. Pour moi, ce fut pénible à lire !

Cette histoire de message paternel caché dans un sortilège littéraire, joliment mis en scène, aurait pu rattraper le tout. On sent encore une fois que tout ce qui touche aux valeurs familiales revêt une importance particulière pour l’auteur au vu de son vécu (voir critique du tome 1). Mais tout est gâcher par cette planche où le magicien romancier s’ampute de la main droite car trop honteux d’avoir écrit le pire livre de sa carrière (à moins qu’il ne s’agisse de l’inverse)… Dans un chambara brut et sans concessions, j’aurais déjà tiqué, mais là dans un shonen léger, joyeux et délirant c’est un peu beaucoup n’importe quoi…



A ce stade, on passait de la badasserie à la fadasserie, et j’étais parti pour mettre 1 étoile sur 5 et bien rager comme il faut…

Mais miracle, on introduit dans le second récit le très fun et très cool personnage d’Erza Scarlet. Enfin un personnage avec un peu de classe qui ne passe son temps à s’époumoner en cabotinages stériles, enfin quelqu’un de sérieux parmi les magiciens branlous et racailles de Fairy Tail ! (bon on fera encore du fanservice relou pour otakus, puisque qu’elle possède tout un dressroom de Barbie guerrière et dominatrice… ^^)

Erza recrute Natsu et Grey pour châtier Eisen Wald, une guilde clandestine dirigée par Shinigami Eligoal, un aéromancien au look gothique à souhait (tous les airs de ressemblance avec Bleach ne sont sûrement que pures coïncidences… ^^). Equipés de Lullaby, la flûte de mort, ces derniers mènent une attaque terroriste contre la gare d’Oshibana (sûrement une relecture de l’attaque au gaz sarin du métro de Tokyo par la secte Aum Shinrikyō le 20 mars 1995).





J’enchaîne avec optimisme sur le tome 3…
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Rave, tome 35

Suite et fin des combats d'Haru, ses amis et alliés :-)



La couverture de ce tome dénote un peu par rapport à son contenu. On y voit Haru et ses amis continuant leur voyage. Le mangaka a voulu garder le thème de 'voyage sans fin' pour que l'illustration ne fasse pas 'dernier volume' puisque, pour lui, Haru et ses amis poursuivent leur voyage encore et encore comme l'auteur et comme nous (dixit une citation de Shiba).



La première page de ce tome nous permet de nous remémorer les 10 formes de l'épée d'Haru, la Rawelt. Elle a un peu changé de nom à cause de la 9ème et 10ème forme de la 'Ten commandments' que Shiba contrôlait.



Le combat final d'Haru et Elie sera rude, du point de vue physique et émotionnel, pour nous comme pour eux. Haru sera obligé de déployer toute sa force et son courage face à un ennemi hors norme, Rushia a fusionné avec ses Dark Bring et est devenu surpuissant. Il faudra également beaucoup de courage à Elie pour lancer son attaque ultime pour sauver leur monde.



À la fin de ce combat, une surprise de mauvaise augure va se produire, une des prophéties concernant Elie va malheureusement se réaliser... Elie redeviendra une page blanche...



Bien évidemment, la fin est heureuse pour nos amis et on aura le plaisir de voir Haru et Elie se marier :-)



Même s'ils n'étaient pas toujours gagnants dans les combats, pour cette ultime bataille, ils devaient en sortir vainqueurs sinon toute cette série n'aurait aucun sens ^^ Par contre, je n'aurais jamais imaginé un déroulement pareil. Le mangaka a extrêmement bien réfléchi à son manga et aux éléments qu'il voulait y faire apparaître !! Pari réussi d'après moi !!



Je recommande donc chaudement cette série et, pour ma part, je vais me l'acheter sous peu pour pouvoir la relire sans me presser et pour en déguster tous les graphismes :-)



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Rave, tome 16

Voici la suite des aventures du Rave Master et de ses amis !!



Au fil des tomes, on finit par apprécier tous les personnages faisant partis de la bande d'Haru même les plus petits. J'ai donc été ravie que le pingouin Ruby prenne un peu d'importance, autre qu'avec sa richesse, et qu'il puisse aider Haru dans la mesure de ses moyens.



Haru et ses amis sont toujours en plein combat entre différents ennemis et pas tous au même endroit. Un des rares inconvénients de ces « méchants » vient de leur caractère, ils sont souvent imbus d'eux-même et très très lourds dans leurs remarques jusqu'à ce qu'ils se fassent battre par l'un ou l'autre des amis d'Haru. Ces amis sont tous puissants à leur façon et évoluent beaucoup le long des tomes. Ils apprennent ainsi à mieux maîtriser leur art comme Müsica, le silver claimer, que l'on voit beaucoup combattre dans ce tome.



Müsica arrive enfin à tenir la promesse qu'il avait fait à son maître avant sa mort. Le combat sera rude, il y perdra une amie et y gagnera une arme puissante.



Chacun des amis d'Haru a une mission à remplir venant de leur passé, outre le fait de le suivre et de l'aider dans sa propre quête.



En tout cas, au vu de la fin, la suite promet d'être très intéressante et palpitante :-)



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

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Je reviendrai vous voir

Lire un manga, c'est généralement faire un voyage au Japon, mais avec cet ouvrage, c'est un petit tour dans l'âme japonaise que l'on effectue.

Dans le contexte difficile de l'après tsunami, Nobumi part pour Fukushima apporter de l'aide aux victimes, spécialement aux enfants dont il se sent proche en tant que dessinateur de livres jeunesse.

Le travail des sauveteurs est bien analysé, leurs forces et leurs faiblesses sont visibles.

Les sinistrés font preuve d'une dignité remarquable, ils ne veulent pas être plaints et remercient ceux qui les aident. Le tout avec une grande pudeur typiquement japonaise.

L'histoire est simple, voire naïve, mais n'oublions pas qu'elle s'adresse à des enfants. Et l'ensemble donne tout de même un album touchant, avec quelques scènes émouvantes, comme lorsque Nobumi imagine la vie d'avant quand il retrouve des objets dans les décombres, ou lorsqu'il éprouve de la culpabilité lors de son retour à Tokyo.

Le message essentiel est qu'il ne faut jamais se décourager devant l'immensité de la tâche à accomplir. Même une toute petite action peut avoir son importance : un tout petit bout de terrain nettoyé apporte une immense satisfaction, et donne en fin de journée le sentiment d'avoir fait quelque chose d'utile.

Je reviendrai vous voir est un manga très particulier, par son histoire, mais aussi par ses auteurs : de nombreux mangakas y ont contribué, créant chacun un personnage, faisant ainsi une œuvre collective, comme si tous, à l'image des sauveteurs voulaient apporter leur petite contribution pour panser les plaies après le drame national.

Merci à Babelio et aux éditions Akata pour cette jolie lecture.
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Fairy Tail, tome 36

Une nouvelle histoire de tournoi : c’est simple et efficace donc très plaisant !



Jienma en pétard bannit Sting et Rog de la guilde des Saber Tooth et dans un moment d’humeur bute Lecter, le chat magique de Sting qui submergé par la chagrin pète un câble et tue son maître… Ce qui ne dérange absolument pas sa fille Minerva qui prendre le contrôle des opérations.



Dans le cimetière draconique découvert par Gajil, Wendy lance un sort d’invocation et c’est le fantôme de Jilkonis le dragon de Jade qui répond à leurs questions :



Et Hiro Mashima, pourquoi as-tu attendu le tome 36 pour développer un background simple mais sympa au lieu de miser dessus dès le tome 1 ? Ça me dépasse totalement…



C’est ensuite Arcadios qui se lance dans les grandes révélations :



Mais au final Arcadios se fait limoger, Lucy et Yukino, indispensables au projet Eclipse 1, se font arrêter, et la princesse Jade E. Fiore prend les choses en main pour lancer le projet Eclipse 2 ! mdr



Le dernier jour du Grand Tournoi de la magie est consacré à une bataille royale ! Toutes les équipes prennent position dans la ville illusoire élaborée dans l’arène : un candidat adverse mis hors de combat rapporte 1 point, et un leader adverse mis hors de combat rapporte 5 points…

Les combats font rage un peu partout, avec pas mal de rebondissements, mais Fairy Tail passe à l’action pour remporter la victoire finale en appliquant le plan de bataille de Mavis la stratège des fées ! (court mais chouette combat entre Grey et Rufus, la créativité de Grey l’emportant sur la magie du souvenir de Rufus pour le plus grand plaisir de Jubia ^^)

Pendant ce temps, Natsu, Wendy et Mirajane sont en opération commando exfiltration pour libérer Lucy et Yukino… Mais tout ce beau monde tombe dans un piège !

La présentation des « loups affamés », la guilde exécutrice des basses œuvres du royaume de Fiore, est présentée de manière désormais clichée : ça fait 20 ans que le tous les shonen font comme ça, et Hiro Mashima réutilise cette ficelle à chaque arc du manga… (Soupir : il faut changer de disque hein, car c’est d’autant plus cliché qu’ici en dépit de tout le teasing réalisé, ils vont tous se faire éclater en quelques pages !)
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Monster Hunter Orage, Tome 1

La bonne humeur d’Hira Mashima me manquait, et comme les derniers tomes de "Fairy Tail" tardaient à être rendus à ma médiathèque, je me suis rabattu sur "Monster Hunter Orage". Nous sommes avec cette série dans le cadre de produits dérivés, puisqu’il s’agit d’une adaptation d’une franchise à succès de Capcom, l’un des géants du jeu vidéo au Japon.





Comme le mangaka a largement puisé dans les MMORPG pour créer Fairy Tail, les guildes de chasseurs, les équipes de classe, les braconniers et l’unité anti-braconnier ont comme un sentiment de déjà vu. Sinon dans un univers où tout est calqué sur l’obtention d’ingrédients sur la dépouilles des monstres pour devenir de plus en plus puissants pour affronter des monstres de plus en plus puissants, tout le message écolo sur les chasseurs qui préservent les ressources et la protègent les espèces en voie d’extinction tombe complètement à plat…

Niveau personnages Hira Mashima ne change guère d’inspiration : après Haru = printemps dans "Rave", Natsu = été dans "Fairy Tail", Aki = automne dans "Monster Soul", voici Shiki = hiver pour "Monster Hunter Orage"… Et à ses côtés Eilee qui combine le look de Cherry en plus âgée, le caractère d’Erza, les mimiques de Lucy, des couettes et un serre-tête à oreilles de chat (un strong independant girl badass avec un lourd passé affublée d’accessoires tantôt kawai tantôt sexy comme une prostipute cosplayeuse ? C’est encore une fois n’importe quoi !)

Hiro Mashima est-il naïf ou sincère ou quand il écrit « ce qui compte dans le manga, c’est de trouver des trucs et des machins pour le lecteur puisse prendre du plaisir. » Alors OK on soigne les armes, les armures et les monstres, et on a des persos stylés BG, badass ou kawai, avec des boobs et des petites culottes pour les fansboys et des pectoraux/abdominaux pour les fangirls, mais aussi des répliques nekketsu l’esprit du combat et/ou shonen sur la force de l’espoir et de l’amitié appliquées au pied de la lettre avec un premier degré assez lourdingue. Le développement des personnages, de l’univers et de l’intrigue par contre on n’en carrément rien à foutre !





Shiki Ryûhô, seul chasseur maîtrisant les armes du vent, veut réaliser le rêve de son maître. La solitaire Eilee, que sa précédente expérience de chasse au sein d’une équipe a rendu aigrie, veut réaliser le rêve de son père. Cela tombe pied le père d’Eilee était le maître de Shiki, donc après avoir alliées leurs forces pour vaincre Rathian la vouivre de feu femelle, ils partent en quête de Miogaruna, la légendaire guivre éclatante !

En chemin il rencontre la forgeronne Sakuya, qui depuis la disparition de son père mène un combat désespéré le monstre dénommé Dermaïos. Après une grosse baston où on apprend la triste vérité (en raison de son vécu personnel, Hiro Mashima n’est jamais aussi bon que lorsqu’il évoque les sentiments familiaux), elle décide d’accompagner le duo en tant que fusarbalètrière…

Pendant ce temps Koolong, qui a toujours été amoureux d’Eilee décide de devenir le rivale de Shiki (ficelle shonen bien connue, mais de moins en moins bien maîtrisée il faut bien l’avouer), et se retrouve contacté par le mystérieux et sinistre Shadow…
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Fairy Tail, tome 1

Une sympathique série fantastique pleine de punch.

Le fil conducteur est l'amitié entre Lucy et Natsu mais pour l'instant il ne s'agit que d'un enchaînement de quêtes. Celle-ci sont l'occasion d'enchaîner les gags et les démonstrations de force de la part de nos magiciens. C'est loufoque, les dessins sont sympathiques mais pour que celà devienne vraiment addictif, il manque une intrigue qui nous tienne en haleine. je pense que je continuerai un peu la série pour voir si l'intrigue apparait et parce que c'est un bon moment de bonne humeur.
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Fairy Tail, tome 45

Durant les années 1990 j’ai été un manga addict enchaînant titres sur titres… avant de finalement passer à autres choses avec la généralisation des séries dépassant les 50 tomes. Maintenant que la médiathèque municipale est bien achalandée dans ce domaine, je m’y remets de plus belle. En tant qu’amateur fantasy, mon premier choix s’est porté sur le phénomène "Fairy Tail"…

L’univers des mangas est pleins de conventions à et de gimmicks éculés, et la galaxie shonen est de loin la plus touchée par les effets de modes en étant régulièrement victimes de guerres des clones… Mais cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un titre aussi impersonnel. Je ne connaissais pas du tout l’auteur Hiro Mashima, et pourtant j’ai l’impression de le connaître son style et ses idées depuis une éternité tellement tout est repiqué d’ailleurs, à commercer par "One Piece" le best-seller d’Eiichirō Oda avec lequel il a travaillé (et auquel il emprunte la formule, le worldbuilding, les personnages, les situations, et parfois les découpages et les mises en scènes : au secours les gros repompages voire les plagiats !). C’est quand même bien dommage pour un mangaka qui n’a jamais subit l’influence d’une école ou d’un mentor de n’avoir pas su apporter de véritable plus-value personnelle à ses nombreux emprunts / hommages…









Dans ce tome 45, la lutte de Fairy Tail contre Tartaros continue !

- Natsu doit contrer le pouvoir d’absorption de Franmars (je vous fais grâce des incohérences des pouvoirs du personnage), et comme contre Boo dans "Dragon Ball" il faut lui faire « recracher » les âmes absorbées pour l’affaiblir puis le vaincre (enfin, c’est plutôt le personnage qui est pris au piège de sa propre connerie)

- la « réquisition » de Mirajane contrant la « macro » de Seiola de la Lune Pâle, on se dirige vers un bon vieux combat entre filles donc vers un déluge de booberies, Hiro Mashima’s touch oblige… Oui mais non, après le droit de quota de flashback Elfman arrive à la rescousse ! (Notons que le Hell’s Core ayant été saccagé de fond en comble, les membres de Tartaros ne peuvent plus ressusciter à l’infini)



Mald Gheel, le roi des enfers (impossible de savoir s’il s’agit d’un démon créé par Zeleth ou d’un véritable roi-démon ayant pris la tête de la Porte des Neuf Démons : une lacune de plus dans les scenarii d’Hiro Mashima), déclenche le plan Alegria qui transforme la forteresse volante de Tartaros en Pluton Grim le monstre volant qui absorbe tous ceux qui entrent en contact avec lui (encore un énième repompage de "Dragon Quest"… ça devient une maladie à ce niveau là)

Mais par un caprice du destin, ou plutôt d’Hiro Mashima, Lucy n’est pas absorbé par le monstre et doit lutter seule contre tous les démons de Tartaros : it’s survival time ! Aquarius propose de se sacrifier pour qu’elle puisse invoquer le Roi des Esprits… qui détruit Pluton Grim en un seul coup avant de se fritter avec Mald Gheel qu’il réussit à pétrifier, tandis que Lucy utilise Urano Metria pour détruire définitivement Jackal !

Tous les membres de Fairy Tail ayant été libérés du maléfice, la lutte reprend de plus belle…





"Fairy Tail" c’est pour moi un petit plaisir, car l’auteur dégage tellement de bonne volonté et de bonne humeur qu’il utilise les codes du genre sans trop tomber dans les clichés malgré la répétitivité, et pour ne rien gâcher ses dessins ne font que gagner en qualité au fil des tomes. Quand il fait du bon vieux nekketsu c’est cool, quand il fait des loufoqueries à la "One Piece" (toujours signalées par un « C’est quoi ce délire ! ») j’accroche moyen, et quand il fait du trop de fanservice c’est carrément nul à chier. Qui aime bien châtie bien : je ne suis pas dupe de ses limitations : le mangaka a du mal avec son propre côté fanboy de telle ou telle œuvre, et s’avère assez peu sûr de lui, se laissant trop facilement influencer par ses assistants, ses éditeurs ou ses lecteurs. Il est d’une grande sincérité dans ses postfaces où il évoque ses hésitations, ses erreurs mais aussi ses souhaits quant à l’évolution du monde du manga. Somme toute, il m’est finalement assez sympathique !
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Fairy Tail, tome 33

Une nouvelle histoire de tournoi : c’est simple et efficace donc très plaisant !





Le tome précédent se terminait sur une funeste vision prémonitoire de Carla, un cliffhanger d’autant plus facile qu’on sait qu’Hiro Mashima a balancé ça sans savoir où il va…



La deuxième épreuve consiste en la course de chars d’assaut, qui est bien au désavantage des chasseurs de dragons Natsu, Gajil et Sting victimes du mal des transports. Et malgré les ruses des autres concurrents, c’est au final Bacchus des Quattro Cerberos qui remporte la course !



Pour les combats en solo on a une série de duels où chaque participant fait un pari :

Kuro Hebi (Raven Tail) vs. Toby Ololta (Lamia Scale)

Elfman vs. Bacchus => chouette combat à la "Yuyu Hakusho" plein de répliques 100% nekketsu où Elfman mise sur l’endurance et Bacchus sur la force !

Mirajane vs. Rearlight (Blue Pegasus) : un combat de poses avec des boobs, des boobs et encore des boobs !!!

Kagura Mikazuchi (Mermaid Heel) vs Yukino Agria (Saber Tooth) => chouette combat encore une fois (Mais on en fait des caisses sur la 13e clé d’or, celle du Serpentaire, donc on ne reparlera jamais pas la suite…)

Bref, à la fin de la journée la guilde des Raven Tail vire en tête.



Pendant ce temps, Natsu empêche Wendy d’être enlevée par de mystérieux rassiveurs (fausse pise éventée aussitôt lancée puisque c’était Lucy qui était visé et pas Wendy).Whaou Arcadios, tu es le chef de la sécurité du royaume de Fiore et tu ne sais pas quels sont les types de magie utilisés par les candidats au tournoi de magie que tu organises ? Pire, il te faut attendre ledit tournoi pour dénicher une constellationniste ??? Mort du rire, vu que n’importe quel geek du royaume de Fiore peut avoir réponse à tes questions en ouvrant le Weekly Sorcerer… (Soupir) Quant à tes aux répliques insistant sur le fait qu’il te faut les 12 clés d’or pour faire aboutir le projet éclipse, comme d’habitude la suite viendra les contredire !



Sinon Miliana raconte son histoire à Erza (qui se résume à venger de Gerald et à arborer une grosse poitrine) et Yukino Agria qui après été exclue de la guilde des Saber Tooth suite à sa défaite à Kagura Mikazuchi (dans une scène pleine de boobs) propose ses services à la guilde de Fairy Tail (dans une scène pleine de boobs)…

Les pages bonus sont bien fendardes avec les otakus du royaume de Fiore qui se jettent sur le numéro spécial du Weekly Sorcerer consacré aux photos de nu de la bimbo Jenny Rearlight, sauf que c’est toute la guilde des Blue Pegasus qui défile au grand complet en tenue d’Adam avec un Fried Justin qui se régale et un Ichiya qui s’en donne à cœur joie au grand dam des lecteurs… mdr





Un tome qui m’a bien plu, servi par des dessins vraiment bien maîtrisés avec un découpage nickel chrome et des arrière-plans parfois de toute beauté.
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Fairy Tail, tome 15

"Fairy Tail" est un manga qui peut plaire à tout le monde car il a été conçu comme tel. Il y a tellement de trucs différents dedans que tu es obligé d’aimer un de ses éléments : des chats parlants faisant office de comic relief, des dragons intelligents faisant office de mystères lostiens, des persos classieux et stylés, des bastons à la DBZ et des filles dénudées pour les garçons, des magical girls et des mecs torse nu pour les filles, et bien sûr beaucoup (trop) de boobs !

Un tel fanservice en devient carrément gênant. Hiro Mashima franchit allègrement la frontière du ecchi et parfois celle du hentai (Mirajane âgée de 12/13 ans toute de cuir dévêtue avec cuissardes à talons aiguilles, mini-short et brassière décolletée… c’est complètement abusé !)

Cela casse régulièrement l’ambiance, notamment avec Erza Scarlett la strong independant woman badass trop souvent résumée à une paire de nibards sur pattes. Les héroïnes n’ont besoin d’être aussi souvent dénudées, et pourtant on recours aux gros plans, plongées et contre-plongées sur les seins, les fesses et l’entre-jambe pour mettre en valeur grosse poitrines et petites culottes sans parler des tenues affriolantes et des poses suggestives. Et quand deux nanas s’affrontent cela peut vite devenir n’importe quoi !

Et pourquoi faire autant de fanservice puant le marketing? Parce que le mangaka, toujours sincère et plein de bonne volonté dans ses postfaces, est bien conscient que son best-seller se caractérise par une faible originalité, tout étant repiqué d’ailleurs*, et une forte répétitivité, chaque arc reprenant les éléments qui ont fait le succès du précédent… (car c'est dans les tomes de transition qu'il y a le plus de fanservice)



Je n’en suis qu’au tome 15 et Hiro Mashima a déjà utilisé pluisieurs fois ce qui est déjà son schéma préféré :

- méchants attaquer Fairy Tail

- Fairy Tail pas content

- équipe Natsu affronte équipe méchants

- Nastu se bat en duel contre le big boss adverse, mais se fait latter

- grâce au pouvoir de l’espoir et de l’amitié Natsu latte le big boss adverse en 2 attaques

- mais en fait les méchants n’étaient pas si méchants et tout le monde se réconcilient ! Happy end !!!



Suis-je trop sévère avec Fairy Tail ? Oui, car ce n’est pas qu’un petit manga drôle avec des boobs, c’est aussi le shonen mainstream le mieux dessiné du moment. En lâchant du lest sur le cabotinage cartoonesque, les charadesigns deviennent assez cool. Les décors et les découpages sont bien fichus et les scènes d’action roxent du poney (même si parfois un peu gâchées par les onomatopées, les exploz et la malédiction boobesque). Et Hiro Mashima a vraiment un le don pour octroyer un capital sympathie à tous ses personnages, mêmes à ceux qui ne servent à rien.





Vaut pour les tomes 13, 14 et 15



Comme à chaque transition entre chaque arc, on pense ses plaies. Ici les anciens compagnons d’Erza font leurs excuses puis leurs adieux, ayant décidé de partir à l’aventure pour se réadapter au monde extérieur (au lieu de le faire en compagnie d’amis dans un lieu tranquille… allez comprendre !)

Un journaliste du Weekly Sorcerer vient couvrir l’inauguration du nouveau siège de la guilde (détruit lors de la guerre avec Phantom Lord). Évidemment Erza se sent obligée de s’afficher en Bunny Girl, tandis que pour attirer l’attention sur elle Lucy propose de se mettre à poil (comme à chaque chapitre… ^^). On apprécia le clin d’œil au Tortue Génial de "Dragonball", puisque le vieux Makarof se rince l’œil en matant les serveuses en tenue sexy... On accueille également les nouveaux membres Jubia Lusker et Gajil Redfox, autrefois adversaires de Fairy Tail qui font devoir faire leurs preuves pour s’intégrer (une grande tradition initiée par Goku dans "Dragonball" et développée par Daï dans "Dragonquest").

Mais pourquoi avoir transformé Jubia en "Card Captor Sakura" de CLAMP ? Cela n’avait pas suffit à Hiro Mashima de transformer Erza Scarlett en "Cutey Honey" (la première et très sexy magical girl de l’histoire du manga, création de Maître Go Nagai).

Passons au désormais traditionnel foreshadowing !





Dans cet arc du Fairy Battle, la bande de Raijin (dont on n’avait jamais entendu parler auparavant…) rapplique pour prêter main-forte à Luxus dans son pronunciamiento au sein de la guilde de Fairy Tail.

Mais l’auteur se donne d’abord un prétexte pour faire du fanservice à la pelle avec un concours de beauté faisant intervenir toutes les magical girls de la guilde (ouf Erza a le bon goût se déguiser en lolita gothique et pas en héroïne de ecchi).

C’est là qu’intervient la team Luxus avec Ever Green qui a pétrifiée toutes les concurrentes du concours de beauté. Pour sauver les pin-ups de la guilde, tous les magiciens se lancent à leur poursuite, pour tomber un à un dans les pièges de Fried qui les obligent à se battre les uns contres les autres.

Pourquoi Nastsu et le néophyte Gajil n’ont pas le droit de participer au Fairy Battle ? Gros mystère, grosse incohérence ou grosse ficelle ? On ne le saura jamais…







"Fairy Tail" c’est pour moi un petit plaisir, car l’auteur dégage tellement de bonne volonté et de bonne humeur qu’il utilise les codes du genre sans tomber dans les clichés, et pour ne rien gâcher ses dessins ne font que gagner en qualité au fil des tomes. Quand il fait du bon vieux nekketsu c’est cool, quand il fait des loufoqueries à la "One Piece" c’est moyen, quand il fait trop de fanservice c’est nul. Qui aime bien châtie bien... To be continued !





* Au hasard sur le fond ou sur la forme :

- Lucy qui reprend le fouet de Jessica dans "Dragonquest VIII"

- Luxus Dear qui est mixte de Souther et Raoh ("Hokuto no Ken)"

- Leo du Lion qui reprend les attaques d’Ayor du Lion ("Saint Seiya")

- Even Green qui reprend les discours d’Algol de Persée ("Saint Seiya")

- Gajil qui emprunte carrément ses répliques à Végéta ("Dragonball Z")

- Bixrow emprunte carrément look et pouvoirs au courant" Shaman King"

- le personnage de Reby pourrait intégrer sans problème un manga Yoshihiro Togashi

- les pièges magiques de Fried tout droit sorti de "Hunter X Hunter" ou "Yuyu Hakusho"

- Ezra en mode multi épées qui ressemble furieusement au Gilgamesh de "Fate Stay Night"

- le combat de Mirajane contre Fried est dans le style de "Bastard !!" (ou de "Darkstalkers" ^^)

- les pyromanciens Natsu et Hiei ("Yuyu Hakusho") partagent le même contrecoup pour leurs maîtres sortilèges

Je pourrais poursuivre dans cette voie car c'est parfois des planches entières qui possèdent un air de déjà vu ! Mais on est obligé d’avoir aimé au moins un des titres "repompés"… ^^
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Fairy Tail, tome 1

Après être partie à la poursuite du One Piece, me voilà à embarquer pour Fairy Tail. Cela me donnait envie car ce manga est très populaire apparemment, aussi bien l'animé que les livres que j'ai retrouvé dans beaucoup de bibliothèques. Etant donné que j'avais envie d'étendre mes horizons, je me suis lancée et je ne suis pas déçue. C'est vraiment drôle... combien de fois j'ai ri toute seule en lisant ce manga? Je n'ai même pas pensé à compter! C'est frais, pas très difficile à comprendre pour le moment; les dessins sont vraiment top (je sens que je vais m'éclater à tenter d'en reproduire quelques uns...), soignés et les émotions/traits du visage/mimiques des personnages sont parfaitement réalistes. Petit plus: les personnages principaux sont vraiment attachants. J'adore la frimousse de Natsu, Happy est tout mignon et Lucy en voit de toutes les couleurs avec ces deux-là...

Ce manga me plaît beaucoup... Vite! Il faut que je me mette à l'animé pour un double plaisir à plonger dans l'univers de Fairy Tail.
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Rave, tome 32

Suite des aventures d'Haru et ses amis !!



Nous assistons à la fin du combat entre Shakma et nos 2 amis, Haru et Elie. Il s'agit d'un mage très puissant qui n'hésite pas à insulter Elie pour qu'elle soit hors d'elle et commette l'irréparable en déclenchant l'Aetherion de façon incontrôlée. Malheureusement, pour lui, depuis qu'elle a retrouvé sa mémoire, elle maîtrise beaucoup mieux sa magie.



En même temps, Rushia lance le compte-à-rebours de ce monde et les 4 rois du mal sortent de l'ombre pour s'allier à lui. Au vu des quelques pages qui leur sont consacrées, les combats à venir pour Haru et ses amis vont être rudes et très difficiles. Ils semblent bien plus puissants que tous les méchants que nos amis ont eu à affronter jusqu'à présent...



Dans ce tome, grâce à Müsica, nous en apprenons plus sur la neuvième et dixième forme de la 'ten commandments'. Nous avons également la réponse à la question que je m'étais posée par rapport à la neuvième forme, il y a déjà quelques tomes.



Avant la grande bataille qui s'annonce, nos amis s'octroient un petit moment de repos et de déconnade. Müsica et Julia, un brin trop saouls, essayent avec un plan scabreux qu'Elie et Haru s'avouent leurs sentiments mutuels. Malheureusement, et pour notre plus grand plaisir, cela foire complètement et tourne en bagarre générale. Je crois qu'ils avaient bien besoin de décompresser un grand coup avant les combats avec Rushia et les rois du mal.



La suite s'annonce donc très stressante pour nos héros, et pour nous aussi car on les suit depuis tellement longtemps qu'on ne veut pas les perdre de façon tragique...



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Rave, tome 30

Suite des aventures de nos amis dans leur quête !!



Le début de ce tome n'annonce absolument rien de bon pour Haru et ses amis !! Malgré tous leurs efforts, Rushia est entré en possession des 5 Mother Dark Bring, ceux-ci ont déclenché une réaction en chaîne et ont créé un Dark Bring encore plus puissant que les Mother.



Haru a enfin en sa possession les 5 fragments de rave. Par contre, pour qu'ils reviennent à leur forme originelle, il faut qu'Elie retrouve la mémoire.



Au moment où ils s'y attendent le moins, de nouveaux alliés se présentent à eux, il s'agit d'une partie des habitants de la ville du temps, les concitoyens de Sieg.



Un dessin est vraiment superbe dans ce tome où on voit tous les amis d'Haru et Elie décidés à en découdre avec un puissant mage, encore plus fort qu'Haja, pour qu'ils puissent aller sur la tombe de Resha.



Suite à une brèche dans le temps, Sieg, Haru et Elie se retrouvent dans le passé, au temps de Resha. Malencontreusement, ils modifient certains éléments d'histoire et Elie en apprend plus sur Resha et sur elle-même. Comme nous, Sieg commence à se douter de certaines choses en ce qui concerne Elie.



Au vu de la fin de ce tome et des révélations qui nous sont dévoilées, la suite va être des plus intéressantes, mouvementée et chargée d'histoire. C'est arrivé à un tel nombre de tomes que l'on se rend compte que l'auteur avait vraiment bien réfléchi à son manga et à l'histoire qu'il voulait voir se développer.



C'est donc un très bon shônen d'actions, d'aventures, de bravoure et de courage à toutes épreuves ainsi que de nombreuses leçons sur l'amitié et du fait de ne pas se fier aux apparences... :-)



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

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Rave, tome 25

Suite des aventures de nos amis :-)



Lors d'un combat avec les Blue Guardians, les alliés de D.C., nos amis se découvrent de nouveaux alliés. Ceux-ci vont, par la suite, les aider à retrouver le spectre d'Elie piqué par un membre des Blue Guardian au milieu de la confusion.



Nos amis vont tout faire pour le récupérer car s'il est utilisé à mauvais escient et par la mauvaise personne, il peut détruire leur monde. Certains de leurs plus anciens alliés, extrêmement blessés dans les tomes précédents, les rejoignent à bord d'un vaisseau volant ennemi pour retrouver ce fameux sceptre.



Lors de la recherche dans cet immense vaisseau, nos amis vont aller de surprises en déconvenues et de combats en résultat mitigé. Ils ne peuvent pas gagner à tous les coups ^^



Elie va également apprendre beaucoup de choses sur ce sceptre et sur la magie qu'elle porte en elle.



Certains dessins de visages sont absolument superbes surtout ceux représentant la jeune femme qui entre en scène dans ce tome.



Nos amis se sont légèrement éloignés de leur quête du dernier fragment de Rave mais sur leur trajet, ils apprennent beaucoup de choses sur la magie d'Elie, la mémoire des étoiles et Rave.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Rave, tome 21

Suite des aventures et combats du Rave Master et de ses amis :-)



Pendant un moment de quiétude pour toute la bande, Rushia, fils de King et chef des D.C., apparaît devant eux. Haru et lui vont se battre jusqu'à épuisement des 2 côtés. Ils ne sont pas forcément de la même force et pourtant, Haru peut devenir un vrai démon si on touche à ses amis, même s'il est à bout de forces.



J'avais déjà remarqué que les sentiments étaient un puissant moteur pour Haru mais pas à ce point. Quand il considère quelqu'un comme son ami, si celui-ci est mortellement touché lors d'un combat, Haru va littéralement sortir de ses gonds et tout massacrer. Il peut être très gentil voire un peu idiot suivant les situations mais il n'est absolument pas fréquentable si on fait du mal à ses amis...



Certains éléments d'histoire se mettent finalement en place petit à petit. Dans ce tome, nous avons de plus amples informations sur la mémoire des étoiles, l'endless et sur le rôle que pourrait jouer Elie. Va-t-elle un jour retrouver sa mémoire ? Que va-t-elle découvrir derrière son amnésie ?



Grâce à Sieg, nous en apprenons un peu plus sur lui et sur son peuple où ils sont tous dotés de magie pour protéger le temps. Il n'était donc pas seul dans cette quête. Malheureusement, maintenant, il est seul pour aider Elie et Haru à rejoindre la mémoire des étoiles. Même certains puissants s'allient à d'autres plus puissants encore en prenant leurs belles paroles pour la vérité.



Le chef du peuple de Sieg s'est allié aux D.C. en pensant bien faire pour son peuple et pour la sauvegarde du temps. Mais au vu des précédents agissements de D.C., je dirais plutôt qu'il s'est fait embobiner. À voir dans l'avenir si je me trompe...



En tout cas, Sieg nous montre une partie de son pouvoir. Il peut être très puissant s'il le décide. Il me tarde de voir la fin de son combat avec ce membre de D.C..



À la fin de ce tome, grâce à une comparaison faite par l'auteur, nous voyons l'évolution de son graphisme entre le tome 2 et 20 pour les personnages d'Haru, Elie et Plue. Nous obtenons également de plus amples informations sur la neuvième forme de l'épée de Rave et sur sa fabrication par le grand-père de Müsica.



La suite au prochain épisode :-)

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Rave, tome 12

Dans ce tome, nous terminons les combats commencés dans le précédent principalement grâce à l'aide d'un ancien ennemi d'Haru et sa bande. Il n'y a eu donc plus de peur que de mal avec ces combats. Malgré tout, cela leur a permis de se rendre compte qu'il ne faut pas se reposer sur leurs lauriers et qu'il faut être en permanence prêt au combat. Ils vont donc s'entraîner d'arrache-pied pour être prêt à toutes les éventualités.



Grâce à quelques retours dans le passé, nous en apprenons un peu plus sur l'enfance de Müsica au moment du décès de son maître.



Ce tome est également très riche en surprises et découvertes pour Elie qui, suivant les endroits, commence à retrouver la mémoire sur son passé et sur la magie qu'elle porte en elle.



La fin de ce tome est plus calme pour nos héros et ils auront enfin droit à un repos bien mérité avant de repartir à l'aventure et à la recherche des 2 derniers fragments de Rave.



La suite au prochain épisode :-)

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Rave, tome 23

Suite des aventures du Rave Master et ses amis :-)



Le moment de calme pour nos amis continuent encore un peu au village de la danse où Elie éblouit tout le monde avec la danse de Resha. Certains graphismes de sa danse sont absolument superbes, tout en finesse du trait et en clarté des détails.



Malheureusement, ce calme apparent se termine trop vite à mon goût quand des alliés de D.C. détruisent tout sur leur passage pour pouvoir capturer Elie. Tout le monde, villageois compris, vont prêter main-forte à Elie et ses amis pour combattre ses nouveaux alliés de D.C.. Nous aurons ainsi le plaisir de revoir Let et Julia en excellente forme.



Une jeune femme va être capturée à la place d'Elie. Celle-ci et sa bande vont tout faire pour la récupérer en un seul morceau.



Après quelques jours de repos, revoici venu le temps des combats et des batailles pour nos amis et leurs alliés. De nombreuses personnes s'allient à eux quand ils voient la force de caractère de chacun de nos amis et la quête qu'ils ont entrepris. Malheureusement, les rangs de D.C. s'agrandissent de la même façon et voire même plus vite... :-(



La suite au prochain épisode :-)

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Rave, tome 20

Suite des aventures de nos amis : Haru, Müsica, Elie et les autres :-)



Dans ce tome, nous allons assister au combat entre Shuba, un ancien ennemi du Rave Master, et Deep Snow, son successeur dans l'organisation D.C. Ils vont tous les deux se battre au-delà de leurs forces pour des raisons différentes mais toutes aussi fortes. Ils nous dévoileront chacun leur tour un peu de leur histoire et passé. On apprend ainsi à mieux les connaître même si ce ne sont que des personnages secondaires, je pense néanmoins qu'on les retrouvera prochainement :-)



Suite à une indication de Shuba dans le tome précédent, Haru et ses amis découvrent un nouvel allié et des informations supplémentaires sur la mémoire des étoiles, qui fait également parti de la quête d'Haru. Cette mémoire universelle va également leur apprendre ce qui se passe dans le monde à leur insu et ce qu'a commencé à préparer l'organisation Demon Card (D.C.). Nos amis ne sont pas au bout de leurs surprises et elles ne sont pas toutes de bonne augure...



Dans ce tome, nous découvrons enfin la neuvième forme de l'épée « Ten commandments » d'Haru. Cette forme est très belle mais également très dangereuse pour son utilisateur et ceux qui l'entourent. Comment va s'en sortir Haru ? C'est la seule forme de l'épée à ne pas utiliser à cause de sa dangerosité et de sa nature démoniaque...



À quoi peut bien servir cette forme si elle ne peut être utilisée sans danger pour son propriétaire ? Peut-être le saurons-nous dans la suite de cette série. En tout cas, la suite promet d'être passionnante au vu des révélations faites dans ce tome :-)



La suite au prochain épisode :-)
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