Il meurt un homme par seconde. Il en va de lui comme de tous les autres. Un bourreau n'est pas un assassin. Cet homme est tadjik mais demain il sera angolais, irakien, afghan, syrien, tamoul, kurde, ivoirien. Personne n'a dit qu'il fallait être indifférent, mais on ne peut pas se sentir responsable du sort de chaque être humain qu'on rencontre.