- J'exerce un métier qui m'est propre. J’image que je suis le seul au monde... Je suis un détective privé.
- Alors vos visiteurs... ?
- Des gens qui ont quelques soucis et cherchent des éclaircissements.
- J'écoute leur histoire.
- Ils écoutent mes commentaires.
- J'empoche mes honoraires.
- Ceci étant, la répartition me semble plutôt injuste. Vous avez fait tout le travail dans cette affaire. J'y ai gagné une femme, Jones les honneurs, mais à vous, que vous reste-il ?
- A moi, cher Watson... à moi...
- Il reste toujours... la solution à sept pour cent.
Tu me fais pas peur !
J'ai chié des trucs plus flippants que toi !
Et voici l'instant dramatique de la destinée quand vous entendez un pas dans l'escalier et ne savez pas s'il apporte le bien ou le mal !
-Et le chien ?
-Porte cette canne derrière son maître. Les marques de dents sont bien visibles. La morsure est trop large pour un fox-terrier, mais pas assez large pour un dogue. Ce pourrait être... Oui, par Jupiter, il s'agit d'un épagneul frisé !
-Mon cher ami, comment pouvez-vous en être si sûr ?
-Pour la simple raison que je peux voir le chien sur notre palier...
Nous étions prêts à leur régler leur compte.
Il n'y avait pas de pouls. Sa chair était froide et pâle, et j'ai vu des traces de lividité cadavérique,ces tâches sombres formées par un afflux de sang quand le cœur s’arrête. Même la bouche et les yeux n'étaient plus humectés. Cette misérable créature était un macchabée, point.
Watson, vous n'êtes peut-être pas une lumière par vous même mais vous êtes un conducteur de lumière.
Je trouve que tous les éléments s'agencent extraordinairement bien. Ce qui m'amuse, c'est de penser à Lestrade qui s'est lancé sur la mauvaise piste!
-Vous ne pouvez pas le soupçonner! Il est mort!
-Je l'ai été aussi, rappelez-vous.Et ils le sont mais cela ne semble nullement les déranger.