Alors dans cette réflexion qui me dénudait honteusement devant moi-même, je compris que j'étais encore un être médiocre et quelconque.
Que je n'avais pas encore assez souffert pour avoir dans le ventre la rage de lutter à mort pour ma liberté.
J'étais encore un chien qui, malgré les coups, attendait la gamelle.
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