Il ne tuait pas le temps : c’était le temps qui le tuait. Il se roulait dans l’immense lit de Prato, dévoré par la fièvre du marbre ; le désir le torturait de tenir entre ses mains un maillet et un ciseau, de pénétrer la pierre cristalline, de sentir la poussière âcre et douce s’agglutiner dans ses narines ...