Pour ses livres, Côme construisit à différentes reprises des sortes de bibliothèques suspendues, qu'il mettait tant bien que mal à l'abri de la pluie et des rongeurs ; il les changeait continuellement de place, selon ses études et ses goûts du moment ; ils considéraient les livres un peu comme des oiseaux et ne voulait pas les voir immobilisés dans des cages.