On dit le vampire de Ropraz, note Mahaim dans le registre de ses observations, c’est une simplification populaire et terrifiée pour le violeur, le nécrophage, l’épouvantable mangeur de morts. Dans ces déserts, le symptôme du vampire durera tant que cette société sera victime de la crasse primitive : saleté des corps, promiscuité, isolement, alcool, inceste et superstitions qui infestent ces campagnes et créeront d’autres foyers d’exactions sexuelles et d’horreur sans merci.