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Citations de Jamie McGuire (335)


_ Je voudrais porter un toast! hurla t-il soudain.
Je me tournais. Il était monté sur une chaise et avait piqué sa bière au type qui se trouvais à coté de lui.
_ Au connard, lança-t-il à l'intention de Brad. Aux filles qui vous brisent le cœur, ajouta-t-il en me saluant. Et à l'horreur absolue que constitue la perte de sa meilleure amie parce que l'on a été assez con pour en tomber amoureux.
Il vida sa bière d'un trait et la jeta par terre.
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Tu sais pourquoi c'est toi que je veux ? J'ignorais que j'étais perdu jusqu'à ce que tu me trouves. J'ignorais que j'étais seul avant la première nuit que nous avons passée tous les deux dans mon lit. Avec toi, j'ai tout juste. Tu es celle que j'attendais, Poulette.
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― C'est terminé. Rentre chez toi.
― Mais c'est toi, chez moi.
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Je fixai les symboles verticaux sans comprendre.

— Qu’est-ce que c’est ?

— C’est de l’hébreu, répondit Travis avec un sourire tendu.

— Et ça veut dire quoi ?

— Ça signifie : « Je suis à mon aimée, mon aimée est mienne. »

— Tu... un seul tatouage, ça ne suffisait pas ? Il t’en fallait
deux ?

— Je me suis toujours dit que je le ferais le jour où j’aurais
rencontré la femme de ma vie. Je t’ai rencontrée... et je l’ai fait
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- Non, non, non. Je ne peux pas mourir parce qu'il y a trop de connards qui rêvent de prendre ma place ! Je suis capable de vivre éternellement rien que pour les emmerder !
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The way we couldn't seem to stay away from each other was unexplicable, but I didn't need an explanation anymore. I didn't even need an excuse. In that moment, I only needed him.
« I want you. »
« I need you to say it, » he said.
My insides were screaming for him and I couldn't stand it a second longer. « I'll say whatever you want. »
« Then say that you belong to me. Say that you'll take me back. I won't do this unless we're together. »
« We're never really been apart, have we ? » I asked, hoping it was enough.
He shook his head, his lips sweeping across mine.
« I need to hear you say it. I need to know you're mine. »
« I've been yours since the second we met. »
My voice took the tone of begging. Any other time I would have been embarrassed, but I was beyond regret. I had fought my feelings, guarded them, and bottled them up. I had experienced the happiest moment of my life while at Eastern, all of them with Travis. Fighting, laughing, loving or crying, if it was with him, I was where I wanted to be.
One side of his mouth turned up as he touched my face, and then his lips touched mine in a tender kiss. When I pulled him against me ; he didn't resist. His muscles tensed, and he held his breath as he slid inside me.
« Say it again, » he said.
« I'm yours. » I breathed. Every nerve, inside and out, ached for more. « I don't ever want to be apart from you again. »
« Promise me, » he said, groaning with another thrust.
« I love you. I'll love you forever. » The words were more of a sigh, but I met his eyes when I said them I could see the uncertainty in his eyes vanish, and even in the dim light, his face brightened.
Finally satisfied, he sealed his mouth over mine.
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Le jour où nous nous étions rencontrés, quelque chose avait changé en chacun de nous. Ce quelque chose, sans que l'on sache ce que c'était, nous avais rendu dépendant l'un de l'autre.Pour des raisons que j'ignorais, j'étais son exception, et j'avais beau lutter contre mes sentiments, il était la mienne.
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— Je t’interdis de me dire ce que je dois faire ! Je ne suis pas à toi, Travis !

Ses paroles firent germer une colère sourde en moi. Je pivotai, revins vers elle, posai les mains sur le lit et la regardai bien en face.

— MAIS MOI, JE T’APPARTIENS ! hurlai-je avec une telle puissance que je sentis le sang me monter au visage.

Abby me regarda elle aussi, refusant de battre ne serait-ce qu’un seul cil. Haletant, je restai en arrêt sur ses lèvres.

— Je t’appartiens, répétai-je, dans un murmure cette fois, ma colère s’effaçant pour laisser le désir l’emporter.

Abby leva les mains, mais au lieu de me gifler, elle prit mon visage et attira ma bouche sur la sienne. Sans hésiter, je la pris dans mes bras et la portai jusqu’à ma chambre. Je me laissai tomber sur le lit sans la lâcher.

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— À... à quoi tu joues, Benny? demandai-je, figée.
— Mick m’a appelé, ce soir. Il m’a dit que c’était toi qui réglerais sa dette.
— C’est pour lui rendre service. Je ne te dois rien, moi, répliquai-je sèchement.
Je sentais l’instinct de survie prendre le dessus. Benny posa ses deux coudes grassouillets sur son bureau.
— J’ai bien envie de lui donner une bonne leçon, à Mick. Et j’aimerais savoir si tu as vraiment de la chance, petite.
Travis bondit de son fauteuil et m’entraîna dans son sillage. Il me fit passer derrière lui et recula en direction de la porte.
— Josiah est de l’autre côté, jeune homme. Vous pensez passer par où pour vous échapper, exactement ?
Je m’étais trompée. Avant de réfléchir à la façon dont je pouvais peut-être amadouer Benny, j’aurais dû tenir compte du fait que Mick souhaitait avant tout sauver sa peau, et Benny gagner de l’argent.
— Travis... soufflai-je en voyant l’un des sbires du mafieux s’approcher.
Il se redressa, paré au combat.
— J’espère que vous savez, Benny, que si je liquide vos hommes, ce n’est pas par manque de respect pour vous. Mais j’aime cette fille, et je ne peux pas vous laisser lui faire du mal.
Benny éclata d’un rire grinçant.
— Alors là, je dois reconnaître, fiston, que de tous ceux qui ont jamais franchi cette porte, c’est toi qui as la plus belle paire de couilles ! Laisse-moi t’expliquer ce qui va se passer. Le plus grand, là, sur ta droite, c’est David, et s’il n'arrive[…]
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— Tu sais pourquoi c’est toi que je veux ? J’ignorais que j’étais perdu jusqu’à ce que tu me trouves. J’ignorais que j’étais seul avant la première nuit que nous avons passée tous les deux dans mon lit. Avec toi, j’ai tout juste. Tu es celle que j’attendais, Poulette.

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— Je sais qu’on est mal barrés, d’accord ? Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t’ai dans la peau comme jamais personne auparavant. Tu agis comme si tu me détestais, et l’instant d’après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu’il faut quand il faut, et je ne te mérite pas… mais putain, je t’aime, Abby. Je t’aime plus que j’aie jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n’ai plus besoin d’alcool, ni d’argent, ni de combats, ni de baise facile. Je n’ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi.

Quelques secondes s’écoulèrent sans qu’elle dise rien. Les yeux grands ouverts, elle semblait sous le choc, tentant d’analyser tout ce que je venais de dire. Elle battit plusieurs fois des paupières.

Je pris son visage entre mes mains et la regardai dans les yeux.

— Est-ce que tu as couché avec lui ?

Les yeux d’Abby brillèrent, et elle fit non de la tête. Sans plus réfléchir, je plaquai mes lèvres sur les siennes, glissai ma langue dans sa bouche. Elle ne me repoussa pas, au contraire. Sa langue vint à la rencontre de la mienne, et Abby agrippa mon tee-shirt pour m’attirer plus près d’elle. Un grognement de plaisir involontaire s’échappa de ma gorge, je la serrai dans mes bras.

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Ca fait des années que la famille ne s'est pas retrouvée pour Thanksgiving. Ils ont fait un effort pour venir parce que je leur avais promis un vrai repas. On n'a pas vu une femme aux fourneaux depuis la mort de Maman et ...
- C'est pas du tout sexiste, ce que tu dis ...
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« I don't get scared very often, » he said finally. « I was scared the first morning I woke up and you weren't here. I was scared when you left me after Vegas. I was scared when I thought I was going to have to tell my dad that Trent had died in that building. But when I saw you across the flames in that basement... I was terrified. I made it to the door, was a few feet from the exit, and I couldn't leave. »
« What do you mean ? Are you crazy ? » I said, my head jerking up to look into his eyes.
« I've never been so clear about anything in my life. I turning around, made my way to that room you were in, and there you were. Nothing else mattered. I didn't even know if we would make it out or not, I just wanted to be where you were, whatever that meant. The only thing I'm afraid of is a life without you, Pigeon. »
I leaned up, kissing his lips tenderly. When our mouths parted, I smiled. « Then you have nothing to be afraid of. We're forever. »
He sighed. « I'd do it all over again, you know. I wouldn't trade one second if it meant we were right here in this moment. »
My eyes felt heavy, and I took a deep breath. My lungs protested, still burning from the smoke. I coughed a bit and then relaxed, feeling Travis's warm lips against my forehead. His hands glided over my damp hair, and I could hear his heart beating steady in his chest.
« This is it, » he said with a sigh.
« What ? »
« The moment. When I watch you sleeping... that peace on your face ? This is it. I haven't had it since before my mom died, but I can feel it again. » He took another deep breath, and pulled me closer. « I knew the second I met you that there were something about you I needed. Turns out it wasn't something about you at all. It was just you. »
The corner of my mouth turned up as I buried my face into his chest. « It's us, Trav. Nothing makes sense unless we're together. Have you noticed that ? »
« Noticed ? I've been telling you that all year ! » he teased. « It's official. Bimbos, fights, leaving, Parker, Vegas... even fires... our relationship an with-stand anything ».
I lifted my head up once more, noticing the contentment in his eyes as he looked at me. It was similar to the peace I had seen on his face after I lost the bet to stay with him in the apartment, after I told him I loved him for the first time, and the morning after the Valentine's dance. It was similar, but different. This was absolute – permanent. The cautious hope had vanished from his eyes, unqualified trust taking its place.
I recognized it only because his eyes mirrored what I was feeling.
« Vegas ? » I asked.
His brow furrowed, unsure of where I was headed. « Yeah ? »
« Have you thought about going back ? »
His eyebrows shot up. « I don't think that's a good idea for me. »
« What if we just went for a night ? »
He looked around the dark room, confused. « A night ? »
« Marry me, » I said without hesitation. I was surprised at how quickly and easily the words came.
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“To douchebags!" he said, gesturing to Brad. "And to girls that break your heart," he bowed his head to me. His eyes lost focus. "And to the absolute fucking horror of losing your best friend because you were stupid enough to fall in love with her.”
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"Deux yeux fous émergeaient de la meute. Ceux de Mme Sisney. Elle se mouvait rapidement au coeur de la foule. Elle traversa la route et finit par atteindre Drew, assis par terre, qui se tenait la cheville à deux mains. Horrifiée, je la vis se jeter sur lui, agripper son costume de marque avant d’ouvrir grand la bouche. Drew la repousse de son mieux, mais c’était une femme forte, et son poids lui permet de le clouer au sol le temps de planter ses dents dans son épaule"
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« -Un jour je t'épouserai


Je souris


- Quand les poules auront des dents.


Il haussa les épaules


- C'est très possible avec les progrès de la science, les OGM, tout ça.


- D'accord alors quand tu danseras en string sur du Britney Spears, devant ton père. Voilà quand on se mariera. Il inspira longuement, profondément et souffla d'un coup


- Je relève le défi. »
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— Dis donc, t’es toujours aussi soupe au lait, ou est-ce que ça s’arrangera quand t’auras compris que je ne cherche pas à me glisser dans ta petite culotte ?

— Je ne suis pas soupe au lait.

Alors je me penchai pour lui murmurer :

— Je ne veux pas coucher avec toi, Poulette. Tu me plais trop.
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— Travis Maddox, vous êtes plutôt sexy quand vous jouez pas les enfoirés, souffla-t-elle avec une diction d’ivrogne ridicule.

— Heu… merci, dis-je en ajustant mes bras autour de sa taille pour ne pas qu’elle glisse.

Elle posa une main sur ma joue.

— Vous savez quoi, monsieur Maddox ?

— Quoi, ma belle ?

Elle sembla sérieuse, tout à coup.

— Dans une autre vie, j’aurais pu t’aimer.

Je la regardai longuement. Ses yeux étaient vitreux, elle était ivre, mais l’espace d’un instant, faire comme si elle disait vrai ne me parut pas si insensé.

— Je pourrais t’aimer dans celle-ci.


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- Je sais qu'on est mal barrés, d'accord? Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t'ai dans la peau comme jamais personne auparavant. Tu agis comme si tu me détestais, et l'instant d'après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu'il faut comme il faut, et je ne te mérite pas... mais putain, je t'aime, Abby. Je t'aime plus que je n'ai jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n'ai plus besoin d'alcool, ni d'argent, ni de combats, ni de baise facile. Je n'ai plus besoin que de toi. Je ne veux que toi.
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Chacun de notre côté, nous n'avions rien de particulier. C'était ce que nous composions tous les deux qui était exceptionnel.
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