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3.93/5 (sur 386 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Conrad, Montana , le 05/08/1971
Biographie :

Janet Skeslien Charles est originaire du Montana et depuis 1999, elle vit à Paris et travaille pour la bibliothèque américaine.
Elle a vécu deux ans à Odessa, en Ukraine où elle a enseigné l’anglais dans le cadre d’un programme de la fondation Soros. Cette expérience lui a inspiré un premier roman mordant, Les Fiancées d'Odessa, déjà publié dans une douzaine de langues.
Elle travaille actuellement sur son second roman qui devrait se situer à Paris

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Pascale Frey présente deux livres: "L'Accident de chasse" de Carlson et Blair, une biographie dessinée étonnante (Sonatine) et "Une soif de livres et de liberté" de Janet Skeslien Charles (J-C. Lattès), un roman plein de charme autour des livres et de la lecture.

Citations et extraits (96) Voir plus Ajouter une citation
Janet Skeslien Charles
À lui seul, son regard était capable de transformer le cerveau d’un homme adulte en fumier.
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Les malfrats ne se soucient pas de ceux auxquels ils font du mal. Ils racontent de belles histoires et on cherche toujours à se convaincre qu'ils avaient une bonne raison de faire ce qu'ils ont fait .
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—- La meilleure chose à savoir sur Paris ? C’est une ville où les gens lisent, déclara notre voisine.
Elle nous apprit que chez ses amis, les livres étaient aussi importants que le mobilier.
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Si j'étais sceptique quant aux âmes sœurs, je pouvais tout à fait accepter la notion de " sœurs de livres", deux êtres reliés l'un à
l'autre - à l'image des livres eux-mêmes- par la passion de la lecture.
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Toutes les femmes d'Odessa le savaient : les hommes s'en allaient. Ils partaient en mer ou à l'aventure, à la guerre ou chercher fortune, ils sortaient boire avec leurs compagnons de débauche. Mais les femmes, elles, restaient. Elles attendaient ; elles s'inquiétaient. Pénélope était la parfaite 'Odessitka'. Les femmes ne partaient pas. Les femmes ne demandaient pas le divorce. Les femmes subissaient. Elles apprenaient à l'école qu'elles vieillissaient plus vite, qu'elles étaient plus fortes, qu'elles vivaient plus longtemps, qu'elles portaient des enfants, qu'elles enduraient tout, point final. Il suffisait d'interroger n'importe quelle femme d'Odessa. Toutes disaient que les maris partaient à la guerre les uns après les autres, que Staline avait tué nos hommes et que maintenant, il y avait trop de femmes. Et qu'il n'y avait pas besoin d'être capitaliste pour comprendre la loi de l'offre et de la demande. (p. 281-282)
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La Bibliothèque était bien plus que des briques et des livres, son mortier était les gens de coeur qui s'y impliquaient.
P 16
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Boris était célèbre pour ses talents de bibliothérapeute. Il savait quels livres répareraient un coeur brisé, ce qu'il fallait lire par un jour d'été et quel roman choisir pour s'évader dans de belles aventures.
P 65
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[...] Boba disait toujours que les gens intelligents préféraient mettre les autres à l'aise plutôt que de souligner leur déplorable ignorance [...] (p. 320)
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A Odessa, selon l'usage, l'hôtesse offrait poliment et l'invité déclinait poliment. Après la Grande Guerre patriotique, comme les denrées étaient rares, l'hôtesse avait souvent peu de réserves et les invités ne voulaient pas lui retirer le pain de la bouche. Un système avait alors été mis en place. L'hôtesse offrait, l'invité refusait. Ainsi, personne ne perdait la face. Si elle était décidée, l'hôtesse proposait autant de fois que nécessaire. Alors seulement, l'invité cédait. Aujourd'hui, j'avais appris une leçon importante. En Amérique, les gens ne proposaient jamais deux fois. Quand on désirait quelque chose, il fallait se servir tout de suite. (p. 261)
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Janet Skeslien Charles
Les hommes importants ont des maîtresses, poursuivit-il. C’est un symbole de statut social, comme une montre en or.
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