Sur le boléro il écrit: "Il est en train de composer quelque chose qui relève du travail à la chaîne (...) Il n'y a pas de forme, pas de développement, ni de modulation, juste du rythme et de l'arrangement. Bref, c'est une chose qui s'autodétruit, une partition sans musique, une fabrique orchestrale sans objet, un suicide dont l'arme est le seul élargissement du son (...) Tu vois, lui dit Ravel, c'est là, l'usine du boléro"