« L'Indien ne demande rien, dit-il, qu'on le laisse en paix. La seule chose que nous puissions à la limite lui offrir est une assistance médicale pour l'aider à guérir de ces maladies que nous lui avons apportées et qu'il ne connait pas, le paludisme, la grippe, etc... Mais pour ce qui est du salut de son âme, la sienne est sans doute plus pure que celle de ces soit-disant « missionnaires » chargés de le mettre sur le droit chemin. Alors n'y touchons pas, c'est bien là le meilleur des services que nous pouvons encore lui rendre. »