Il s’appelait Elzéard Bouffier. Il avait possédé une ferme dans les plaines. Il y avait réalisé sa vie. Il avait perdu son fils unique, puis sa femme. Il s’était retiré dans l a solitude où il prenait plaisir à vivre lentement, avec ses brebis et son chien. Il avait jugé que ce pas mourait par manque d’arbres. Il ajouta que n’ayant pas d’occupation très importante, il avait résolu de remédier à cet état de choses.